Dans le cas où vous avez un malus assurance auto assez considérable, il se peut que votre assureur ne compte plus vous assurer, ou, vous impose une prime assez importante. Il faut tout de même rappeler qu’un assureur peut légalement se séparer de son assuré, comme il a été indiqué dans les clauses du contrat d’assurance, en référence au préavis de 2 mois comme pour les assurés, et ce, sans justification. Le malus ne peut être pas non plus, la seule raison d’une résiliation de la part de l’assureur, il se peut que le cas présent puisse aussi présenter des faits plus graves, tel un accident lié à l’alcoolémie, un délit de fuite, l’absence de permis de conduire, et toute sorte de non ou de fausse déclaration de la part de l’assuré… Ainsi, pour mieux assister ces derniers dans leurs situations, on découvre maintenant ce qu’est l’assurance malus, qui est une catégorie d’assurance prise en charge par des compagnies entièrement spécialisées pour les conducteurs avec malus.
Pourquoi un assuré est-il refusé par son assureur ?
L’assurance malus est une formule adaptée pour les conducteurs refusés par les compagnies d’assurance classiques. Il existe pour cela différentes raisons qui motivent une compagnie d’assurance à refuser un assuré :
– Trop de sinistres recensés.
– Présence de fausses déclarations lors de sa souscription.
– Les primes annuelles non acquittées.
– Les dégâts commis au volant et relatifs à l’alcoolémie.
L’assurance auto malus : La formule adaptée
Les compagnies d’assurance auto malus sont parfaitement habituées dans le traitement de ces types de dossiers, et proposent ainsi des services bien adaptés à la situation (cotation adaptée aux risques et immédiate, retour rapide…).
Elles acceptent presque tous les profils de conducteurs à malus, hormis le cas d’alcoolémie récidiviste. Ce cas est un véritable problème pour toute compagnie d’assurance, ce qui impose souvent la réalisation d’une visite médicale « obligatoire », notamment pour les conducteurs plus de 70 ans.
Des primes restent effectivement à disposition, bien qu’elles soient inférieures par rapport à celles proposées par un assureur classique. Cependant, même une prime assez considérable reste moins efficace face aux conséquences de l’alcoolémie au volant, qui, en moyenne, engendre 2 accidents mortels sur 5. Une situation qui impose souvent une forte sensibilisation de la part des compagnies d’assurances, pas seulement en guise de prévention des risques, mais aussi, pour leur permettre d’inciter les assurés à prêter attention sur ce point pour mieux régulariser leurs statuts d’assurés, et surtout, d’éviter ce cas de malus pour profiter normalement de tous les avantages issus de son assurance auto.