Conseiller immobilier, un métier d’avenir

Que ce soit en agglomération ou dans les zones rurales, les transactions immobilières ont connu depuis quelques décennies un rythme croissant qui a favorisé l’émergence de nouvelles vocations comme le métier de conseiller immobilier.

L’immobilier est une valeur sûre qui draine un chiffre d’affaires croissant, conséquence de la montée des prix de vente des terrains comme de la construction, mais également du turn-over rapide des transactions et échanges commerciaux dans les locations et la vente.

Un accompagnateur qui facilite les transactions

Le conseiller immobilier est une activité professionnelle de plus en plus prisée, se plaçant en tant qu’accompagnateur vis-à-vis des vendeurs et acquéreurs qui ressentent le besoin d’être informés et rassurés par une personne compétente qui prend en charge les différentes démarches parfois complexes pour un public non professionnel.

Le conseiller immobilier possède les outils juridiques et techniques qui permettent au vendeur  comme au bailleur d’un bien d’effectuer ses démarches dans le cadre précis des obligations légales qui peuvent évoluer au fil du temps. Il se révèle un précieux facilitateur dès le début des transactions.

Une profession évolutive

La profession de mandataire immobilier possède de nombreuses facettes qui nécessitent autant de compétences à acquérir grâce à une solide formation qui sera mise à jour régulièrement puisque cette profession réglementée est soumise à évolution constante.

Le rôle du conseiller immobilier ne s’arrête pas à la mise en vente ou à la location d’un bien, mais il accompagne tout au long du processus vente-achat, les différents partenaires. Il évalue les biens, rédige le mandat de vente, effectue les visites, s’occupe de l’offre d’achat, assiste au compromis de vente jusqu’à l’acte authentique qui finalise la transaction entre vendeur et acquéreur.

Le profil du conseiller immobilier

Le profil idéal de ce commercial spécialisé implique le sens du contact et l’adaptabilité. Mais il possède également tact et diplomatie, talent de négociateur et doit savoir répondre à toutes les questions que vendeurs et acquéreurs se posent lors de leur transaction.

Cette profession indépendante requiert également des compétences en communication et doit savoir utiliser les nouveaux concepts qui permettent au marché immobilier une parfaite lisibilité sur le réseau internet.

Les métiers du diagnostic immobilier

D’autres métiers de l’immobilier ont également le vent en poupe, il s’agit des diagnostiqueurs qui interviennent avant la mise en location ou la mise en vente d’un bien.

Bailleurs et vendeurs ont l’obligation de soumettre leur construction à des examens et contrôles approfondis, portant sur la santé parasitaire du bien, la présence d’amiante, la mise au norme gaz et électricité, la surface réelle (loi carrez) et autres nuisances qui pourraient mettre en danger la sécurité des individus ou porter atteinte au bien immobilier.

Le diagnostiqueur intervient avec son matériel au domicile des propriétaires, sur rendez-vous, pour constater les éventuelles défaillances. Il rédige ensuite un compte-rendu détaillé apportant des conseils de correction afin de signaler au vendeur comme à l’acquéreur les éventuels vices cachés. La profession de diagnostiqueur immobilier est une activité réglementée qui nécessite une solide formation dans de nombreux domaines.

L’immobilier, des métiers de passion

Tous les professionnels de l’immobilier sont passionnés par leur métier, l’habitat, les constructions. Ils sont parfois issus des professions du bâtiment, mais ils peuvent tout aussi bien être des commerciaux qui ont envie de se spécialiser, ou des amateurs de décoration et d’architecture qui ont envie de relier passion et ambition à travers une activité immobilière qui va leur assurer un avenir plus prometteur. 

Ce métier leur promet une dynamique nouvelle tout en respectant leur autonomie et leur liberté puisqu’il peut se pratiquer dans une certaine mesure à partir du domicile, et sur rendez-vous, octroyant une large place à une autogestion confortable du temps de travail.