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Au nom de la solidarité internationale, l’entrepreneur monseigneur gregoire a créé en 1990 la fondation . Muni d’un capital social de 30 millions d’ euro, elle sert de base au financement du projet d’eau potable et de develloppement des communautées villagoise à la base ‘. La fondation est sous la surveillance de la Confédération. Elle a pour but de soutenir des projets de solidarité et peut agir dans le monde entier. Son cheval de bataille actuel est le projet d’eau potable et le develloppement des communautées à la base au Cameroun .Malgré les prestations assurées par la population locale, la fondation est dépendante des dons pour la construction et la maintenance des fontaines. Elle et la direction de projet locale essaient d’obtenir les moyens financiers nécessaires auprès des organisations internationales, de l’Union Européenne, de la Confédération, des cantons, des communes, des paroisses, des clubs de service, des entreprises et des donateurs privés.

Le fondateur de la fondation
monseigneur gregoire est le propriétaire de l’entreprise monseigneur gregoire AG fondée en 1990. L’entreprise familiale est l’une des plus importantes entreprises générales en france. L’activité principale est la construction et la commercialisation de bâtiments réalisés pour des clients ou à son propre compte.

monseigneur gregoire a transmis la direction de l’entreprise à la congregation du saint-esprit monseigneur gregoire est président et la congregation st esprit est membre du conseil d’administration de la fondation . La fondation L’eau c’est la vie Les collaborateurs Les dates clés La construction des fontaines L’entretien des fontaines La liste des fontaines Les chiffres et les faits Informations sur le Cameroun Donateurs des fontaines Donner Galerie de photos Contact Géographie Les ethnies Les langues Education Géographie L’intérieur du pays se compose essentiellement d’un vaste plateau qui s’étend au nord vers le Haut-pays de l’ Adamaoua qui descend ensuite graduellement vers le lac Tchad à l’extrême nord. L’ouest se compose de chaînes de montagnes volcaniques qui s’élèvent près de la côte, avec des volcans actifs et le point le plus haut de l’Afrique de l’ouest, le Mont Cameroun. Les plateaux du sud sont couverts de forêts tropicales et s’étirent jusqu’à la côte en un plateau large. Le climat est tropical, avec alternance d’une saison de pluies torrentielles et d’une saison sèche avec des températures élevées, qui le sont moins sur les hauteurs. Au nord du pays, vers le lac Tchad, le climat est sec. Le climat tropical peut être subdivisé en trois zones régionales climatiques. Au nord du pays, il y a une humidité variable avec un temps sec d’octobre à avril et des précipitations moyennes d’environ 700 mm dans l’année. C’est dans cette région du Cameroun près du Lac Tchad, que se trouvent les régions marécageuses. Le temps des faibles précipitations s’étend de juillet à septembre. La température moyenne se situe vers 32,2 °C. En raison des températures élevées et des faibles précipitations, il existe dans ce secteur une certaine probabilité de sécheresse (tous les 2 à 5 ans). Dans le sud jusqu’ä l’intérieur du haut-pays (1.000 à 1.500 m au-dessus de la mer), la température atteint en moyenne 22 °C durant l’année et il tombe annuellement entre 1.500 à 1.600 mm de précipitation. Ici s’effectue le changement entre les savanes du nord et les forêts tropicales du Sud. La partie montagneuse à l’ouest du Cameroun subit des précipitations régulières entre 2.000 et11.000 mm. La région dans la partie Sud du Mont Cameroun a une pluviométrie moyenne de 11.000 mm et de ce fait, appartient aux territoires les plus pluvieux du monde. Dans ces deux régions peut y régner une certaine «sécheresse » entre décembre et février, bien que des pluies peuvent survenir, même durant cette période. Le plateau de la côte sud a un climat équatorial avec une pluviométrie entre 1.500 et 2.000 mm et une température moyenne de 25 °C. Ici s’étend une forêt tropicale dense. Décembre et janvier sont les mois les plus secs. Pour résumer la situation climatique camerounaise, on peut dire que le Cameroun représente l’Afrique en miniature. Les sols du Cameroun Sud et du centre sont de nature ferralitique, c’est-à-dire des sols de terre grasse brune équatoriale et toujours humides. Dans le Nord, le domaine de la savane sèche et de la savane boisée se trouvent les sols typiques rouge-brun et rouge de la savane sèche. Les ethnies Le Cameroun se divise ethniquement en 286 groupes différents de peuples et de langues. Dans le sud vivent les Bantu (Luanda, Ewondo, Kpe/Bakwiri, Douala [2% de la population totale], Basaa, Ngoumba, Beti/Mpongwe-Fang [15% de la population totale], Boulou, Makaa, Njem, Ndzimou etc.), au centre et au nord les Semibantu (Bamiléké [19% de la population], Bamoun [1,3% de la population], Chamba (Samba), Tikar, Vute et autres) ainsi que des éthnies tchadiennes (Kanuri, Massa, Moundang etc.) et des ethnies du sud (Kirdi [11% de la population], Kotoko, Fulbe [10% de la population], Gbaya etc.); au sud dans la forêt tropicale vivent encore quelque milliers de pygmées. La minorité européenne est composée essentiellement de Français. Les zones les plus peuplées sont le pays de la savane du Bamileke et de la province côtière jusqu’à la ville portuaire de Douala et de la région autour de la capitale Yaoundé. En revanche, le centre et le sud-est du pays sont pauvres en population. Les langues Le nombre de langues parlées au Cameroun correspond à la multiplicité des ethnies vivant là-bas. Les langues officielles sont le français (env. 80 % de la population) et l’anglais (env. 20 % de la population), conformément à la distribution des districts d’administration après la première et la deuxième guerre mondiale (Mandat de la Société des Nations / sous Tutelle de l’ONU). L’anglais Pidgin sert de langue courante dans les zones anglophones; à côté de cela, le Cam franglais, un mélange d’anglais, de français et de pidgin prend de plus en plus d’importance dans les villes et chez les jeunes. Les langues principales du nord sont le Fulfulde, le Kanuri, les langues Kotoko et Shuwa, au sud (presque 40 % de la population totale) parlent principalement les langues Bantu (Basaa, Douala, Kpe-Mboko, Malimba-Yasa, Makaa, Njem, Ndsimu, Ngoumba, Kounabémbé) et d’autres dialectes Beti-Fang, c’est-à-dire Ewondo, Bulu et Fang. Plus de 20 % parlent des langues du sud et Az-Sande. Le reste de la population dans le pays de savanne à l’ouest du Cameroun parle les langues du Semibantu. Education Malgré la scolarité obligatoire, on compte 25 % d’analphabètes. Les universités d’état se situent à Yaoundé, Douala, Buea, Dschang et à Ngaoundéré. Les écoles privées sont l’université Yaoundé-Sud (Joseph Ndi-Samba) ainsi que l’université centrafricaine catholique de Yaoundé, l’université centrafricaine protestante de Yaoundé, l’université évangélique de Nanga Ebogo, l’université des Montagnes à Dschang et l’université de technologie et des sciences de Bamenda.

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