Aussi étonnant que cela puisse paraître aux yeux de certains, la maîtrise de l’anglais n’est pas encore répandue dans tous les pays. Ainsi, pour les entreprises, percer un marché étranger dont les habitants parlent peu, mal ou pas du tout l’anglais est souvent impossible sans le secours d’un traducteur ou d’un interprète chevronné.
Dans un contexte de mondialisation des échanges, la traduction permet de communiquer efficacement avec les locuteurs d’une autre langue. Mais comment choisir le bon traducteur, le bon interprète ou le bon cabinet de traduction? Quels critères assurent les meilleurs résultats?
Des compétences et des méthodes sérieuses
Pour être efficace, une traduction doit répondre à certaines exigences. Si vous recherchez comme plusieurs une fluidité totale du texte et un contenu adapté, il est indispensable de faire appel à un professionnel spécialisé, à un expert qui connaît parfaitement les techniques et méthodes rédactionnelles qui donneront tout son poli et tout son impact à vos traductions.
Une société de traduction digne de ce nom s’appuie sur une démarche rigoureuse qui s’intéresse aussi bien à l’intention de l’auteur qu’au contexte dans lequel l’information est produite et au public à qui elle s’adresse.
Le bon traducteur se passionne pour la recherche, il se documente sur chaque sujet. Mais ce n’est pas tout : une traduction de qualité comprend une ou plusieurs relectures par des tiers aguerris qui vérifieront :
- le fond (la fidélité de la traduction),
- la forme (le style),
- l’exactitude terminologique,
- la syntaxe et l’orthographe.
Une traduction à l’image de l’entreprise
Le traducteur le plus prisé par l’entreprise tentera d’abord de comprendre les gènes de celle-ci : son identité, sa mission, son image de marque… Parce qu’un traducteur digne de ce nom fait beaucoup plus que traduire des mots. C’est toute une culture qu’il transpose dans une autre langue.
Bien comprendre une entreprise, c’est s’intéresser à son identité et à son marché, mais aussi à son fonctionnement, à sa structure, aux rapports dynamiques qu’entretiennent entre elles ses diverses équipes comme les services ou les unités fonctionnelles.