PROCHAIN LIVRE DE PASCALE PIQUET : « SI LA LIBIDO POUVAIT PARLER… » (Intrigues, humour, érotisme !) – Béliveau Editeur (à paraître en septembre 2024 au Québec et février 2025 en Europe)
Très rare ou peut-être même est-ce la première fois qu’une coach certifiée spécialisée en dépendance affective se lance dans la littérature érotique. Est-ce paradoxale ? Pas du tout. C’est tout à fait connexe à ses activités puisque, comme elle le dit si bien « le sexe est le ciment du couple ». Et qui dit perte de libido pour votre partenaire de vie dit abstinence pour vous et vice versa. Après le succès du « Syndrome de Tarzan », de « Gagnez au jeu des échecs amoureux » et des livres qui ont suivi, en passant par « La jungle des comportements humains » (plus axé sur la vie en entreprise), tous parus chez Béliveau éditeur, Pascale Piquet nous livre son septième ouvrage : « Si la libido pouvait parler… » (Intrigues, humour, érotisme !).
Vous découvrirez un kaléidoscope d’histoires, parfois imbriquées les unes dans les autres, toutes colorées, teintées d’humour, d’intrigues et, bien sûr, d’érotisme. Le style d’écriture de Pascale reste inimitable, vivant, drôle, espiègle et musical. Les phrases ont un rythme qui rend la lecture agréable et qui vous piège : quand vous mettrez le nez dans cet ouvrage, vous ne pourrez plus en sortir ! Chaque nouvelle parle de galipettes et finit par… une pirouette ! Effectivement, la plupart du temps (voire même à chaque fois !), la fin vous surprendra. Et vous remarquerez plusieurs particularités spécifiques à l’auteure dont le vocabulaire utilisé : aucune grossièreté. Toutes les grivoiseries sont dépeintes dans des mots métaphoriques et pourtant très suggestifs : un feu d’artifice de mots différents pour décrire toutes sortes de scènes érotiques. Un proche de Pascale, homme dans la quarantaine, auquel elle a demandé de lire son manuscrit, lui a répondu, alors qu’elle lui demandait s’il avait résolu l’énigme d’une nouvelle spécifique : « Rien à faire de l’énigme, je me suis régalé avec toutes les scènes que tu as décrites ! ». Les hommes y trouveront leur compte aussi.
Et n’allez surtout pas croire que l’auteure s’appuie sur sa propre expérience ou dépeint ses propres fantasmes, car, si vous lui posez la question, elle vous répondra que c’est son imagination qui a tricoté chaque histoire. Et elle rajoutera, avec humour, que Stephen King n’a pas organisé des meurtres pour être en mesure de les décrire. Elle a précisé, au dos du livre, en dessous du résumé : « Souvenez-vous, en lisant ces nouvelles érotiques, que ce ne sont pas mes fantasmes, ni mes désirs que j’ai couchés sur papier : ce sont peut-être les vôtres. Les miens resteront secrets… ».
Et si votre libido pouvait parler, que vous dirait-elle ?… Reste-t-elle muette ? Fait-elle des « monologues » ou des « dialogues » à deux ou à plusieurs ?