Le Maroc est un pays de merveilles, d’hospitalité, et de richesses multiples dont on cite le bon cœur de ses citoyens, un pays où tout se base sur la foi en Dieu et surtout en soumission de la volonté de notre Grand Dieu pour leurs destins, de leurs chances et de leurs malchances certes de même.
Une telle introduction cache surement une tristesse derrière ce voile en paragraphe voire même une déception, une tristesse qui se confirme sur les états des lieux sur son territoire, une réalité qui se manifeste en paradoxe, et un début d’article qui va surement révéler tout un défilement de contraste si imposant en face d’un profil si idéal ci cité.
La réalité va s’entamer par ce qu’on observe dans notre quotidien, de l’instabilité dans la sécurité de citoyen, l’inflation de chômage, par le grand déphasage de ce qui est déclaré tous les jours dans les medias comparé à la vérité qui laisse bouche bée le citoyen surpris de l’ampleur de la dérive morale et humaine, la ou il se trouve, on se demande tout le temps ; est ce vrai que c’est notre Maroc ou nous vivons !
Que des crimes commis par jour, par les grands matures, par les jeunes et parfois par les femmes. Leurs nombres par jour ne cessent de s’accroître, on dirait que les moyens de sanctions ne sont plus efficaces vu la dérive des dealers qui commence à se former en groupes : soit pour se faufiler dans des réseaux de vente de la drogue ou encore pour s’améliorer dans des techniques d’agressions des citoyens et de s’accaparer de leurs biens même en plein jour.
La police marocaine ne cesse d’accomplir son devoir la nuit comme le jour, ainsi que la justice en cas des preuves accablantes, des peines allant d’un an à 20 ans, leurs sont infligés pour un transfert direct dans les prisons ou leurs formations auront plus de poids en perfectionnement avec des similaires qui y résident déjà avec tout le confort de séjour doublement alimenté : une famille qui les visitent avec un apport déguisé de la drogue et nourriture, et un staff de prison qui prend soin des incarcérés en VIP vu leurs richesses qui se gèrent encore librement dehors par le reste de réseau en dealer mafieux.
De ce fait, la sanction et la peine deviennent une pause en réflexion pour les criminels qui sont jamais débranchés de monde extérieur puisqu’on trouve en leurs possessions des portables, et des connections ainsi que leurs doses par jour de drogue, ainsi que la naissance entre eux de tout genre de perversion inimaginable.
Qui pourra mettre fin à cette boucle qui se boucle de crime au Maroc, la récidive est toujours plus violente puisqu’on trouve des criminels une fois dehors des prisons, commettent les plus cruels meurtres des leur premiers jours. L’Union soviétique bien jadis a pu trouver la solution de déraciner ce fléau et bien d’autres pays l’ont suivi. Ils transféraient les prisonniers selon leurs profils de cruauté en crime à des camps de travail forcé, sans pitié des données de climat ni de conditions humaines en vigueur pour parfaire et étendre leurs génies civils et les conduites en artères de leurs villes.
Pour le Maroc, la seule voie qui lui reste pour aboutir à un frein efficace contre le phénomène de crime est de suivre le même sentier. Un criminel tueur doit payer de sa force qui doit être dégradée en châtiment par la force de pouvoir de la justice légale pour servir sa patrie, et un mafieux de la drogue aura une meilleur désintoxication sous un soleil de sud de Maroc pour servir de leçon pour ceux qui oseraient emprunter la même voie, au lieu de voir les deux prendre de poids de corps dans une prison en crèche de repos pour se préparer à d’autres malheurs une fois libres en dehors des pénitenciers.
Sur quel pilier de gouvernement peut-on compter pour le forcer à générer cette loi en vigueur ?
Est-ce sur le parlementaire qui ne se soucie que de ses affaires personnelles face à l’ignorance de ses ex élus.
Est-ce sur le ministre de la justice qui n’a jamais de temps libre en face de ses différents face à ses concurrents de partis d’oppositions.
Ou encore sur les medias qui ne font que remplir leurs pages par des spots en flash de publicité pour assurer leurs gains journaliers de vente.
Décidément, la seule voie de secours est le Roi de Maroc qui ne cesse de protéger ce pays et d’intervenir quand la sécurité de citoyen marocain est menacée à fond de chez lui.
Les pays développés sont partis d’une simple source de base, ceux qui gouvernent sèment une graine de fleur pour que la descendance renifle sa senteur, et pour notre Maroc, chaque gouvernement doit justifier ses comptes d’exercices pour être jugés autant que gérant d’entreprise, ne serait ce que de mettre en garde les futurs élus en pouvoir devant leurs natures de foi en pouvoir espéré.