Le transréalisme : synthèse des philosophies ?


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Le transréalisme est un terme proposé pour signifier que l’idéal humain se concrétise par la culture du respect.

Il est donc logique de tenter de le démontrer, en comparant cette affirmation à toutes les pensées philosophiques, qui, à travers le temps, élaborent l’évolution de la conscience des Hommes.

Je développe cette recherche sur le blogue www.transrealisme.org, en commençant par des articles dans la rubrique « débats », afin de permettre aux lecteurs de participer et de parfaire la réflexion.

Les conclusions seront, ensuite, consignées dans le tome III (Approfondissement du concept), de la rubrique « une expérience passionnante ».

La démarche peut apparaître aussi ambitieuse que prétentieuse de la part d’un quidam qui n’a pas reçu de formation philosophique adaptée, et qui invite, en outre, le plus grand nombre à s’y inscrire.

Mais, notre Époque ne découvre-t-elle pas que le sort de l’Humanité dépend, toujours davantage, d’un plus grand nombre ?

Et, depuis toujours, nul ne saurait contester que la pensée de chacun a possibilité de s’épanouir : il suffit d’y croire et de le vouloir.

En effet,

la possibilité d’être ou de penser, chacun en est doté ;

le désir de mieux être à l’égard de soi et des autres, d’être libre et considéré, chacun le partage ;

le « connais-toi, toi-même », n’est l’exclusive de personne ;

mais, tout dépend de la capacité à bien s’exprimer par l’écriture et de la volonté de consacrer du temps à la réflexion, à l’échange, car, à la connaissance de soi, il convient d’ajouter celle des autres.

L’évolution idéale repose, à l’évidence, sur le développement des possibilités de l’écriture, afin d’approfondir, partager et développer sa réflexion, et, accroître, ainsi, la lucidité que le bonheur de l’un est vain, sans celui des autres.

Toute pensée philosophique est animée par la quête du bonheur.

Le transréalisme prétend que cette recherche ne progresse que par le développement de la culture du respect.

Pour transformer cette prétention, en évidence, il convient de repérer si la pensée des philosophes était en osmose avec l’idéal de respect, ou en quête de ce dernier, sans le distinguer précisément et, en conséquence, sans le citer, précisément.

Certes, le respect apparaît, aujourd’hui, comme un besoin crucial. Comment expliquer, alors, que l’irrespect soit un comportement qui se perpétue dans le monde actuel ?

Cela tient au fait que ce qui est ressenti, comme un besoin, n’est pas encore suffisamment bien appréhendé dans l’esprit des Hommes, toujours prisonniers de leurs comportements primitifs de dominants/dominés.

Pour s’en libérer, ils doivent réaliser suffisamment, que le respect de soi, des autres, de la nature, correspond à la recherche d’harmonie de leur conscience, à leur idéal, à leur bonheur.

Si on ne précise pas le but, on ne saurait l’atteindre.

Pierre Gouverneur