Ou ce qui rapporte de gros dividendes.
Hakeem le Sage vivait à Bagdad. Beaucoup de personnes venaient lui demander conseil, qu’il donnait gratuitement, sans jamais rien demander en retour.
Un beau jour, un jeune homme, qui avait dépensé beaucoup d’argent et n’avait obtenu que très peu en retour, est venu le voir.
Il lui a demandé : “Dis-moi, toi qui es sage, que devrais-je faire pour recevoir le maximum de ce que j’ai investi ?”
Hakeem lui a répondu : “Quelque chose qui est acheté ou vendu n’a aucune valeur, à moins qu’elle ne contienne quelque chose qui ne peut pas être vendu ou acheté. Cherche cet ingrédient inestimable.”
“Mais quel est cet ingrédient inestimable ?”, le jeune homme insista.
Le sage lui a alors répondu : “Mon fils, l’ingrédient inestimable de tout produit qui est sur le marché est l’honneur et l’intégrité de celui qui l’a créé. Considère son nom avant d’acheter.”
Le commerce n’est pas un jeu de solitaire. Quelles que soient les circonstances, nul ne peut s’y livrer s’il est seul. Un homme ne peut pas s’acheter à lui-même ni se vendre à lui-même. Si, en vue d’une combinaison financière, sa main droite acquiert ce qu’offre sa main gauche, il n’a point fait là une affaire.
Qu’un fermier tanne une peau de bête et s’y taille une paire de bottes, il ne fait pas là une transaction commerciale. Que ce même fermier et sa femme se mettent ensemble au travail et produisent deux paires de bottes pour leur usage personnel, pas davantage ils n’ont fait oeuvre de commerçants.
Mais que notre fermier, sa paire de bottes terminée, l’échange avec son voisin contre 5 litres de blé, et voilà : il a fait une affaire.
Toute affaire comporte l’échange d’un objet contre un autre en vue du profit ou de la convenance de chacune des 2 parties.
Le nombre de gens intéressés dans une même affaire est absolument illimité. 1000 ouvriers peuvent participer à la fabrication d’un piano qui sera échangé contre une automobile construite par un autre millier d’ouvriers.
Mais la « fabrication » est une chose et le « commerce » en est une autre. Plus d’un industriel a été acculé à la banqueroute, au désastre, pour avoir négligé cette vérité essentielle et cependant bien simple que pour faire une affaire, il ne suffit pas de fabriquer.
Une seule personne peut assumer entièrement la fabrication d’un article : pour que ce même article puisse être l’objet d’une transaction, 2 personnes sont nécessaires. Ainsi la production ne devient efficace qu’après l’entrée en jeu d’une action nouvelle : vendre.
Qu’on me laisse appliquer cette vérité au fabricant anglais par exemple. S’il faut ajouter foi à la moitié de ce qui a été dit à propos de ses erreurs, c’est lui surtout qu’elle concerne.
Celui qui fabrique des marchandises d’après ses penchants personnels et selon ses propres conceptions, qui continue à sortir des modèles passés de mode, et sans conformité avec les besoins du public, celui-là est demeuré sourd au principe du premier axiome : « Pour faire une affaire, il faut être au moins 2. »
Le monde entier reconnaît que les marchandises anglaises sont de bonne qualité, qu’elles sont « honnêtes », « solides ». En général il leur manque cependant quelque chose, c’est de répondre totalement aux exigences de l’acheteur local.
N’oubliez pas la personne qui joue « l’autre rôle » ; n’oubliez pas son importance. Ses désirs ne sont pas nécessairement insensés parce qu’ils diffèrent des vôtres : C’est là un des principes essentiels de la pratique des affaires.
L’honnêteté procure de plus gros dividendes
Plus ou moins, une transaction commerciale participe de la nature de son contrat. Invariablement, elle a ses 2 côtés, et chacun d’eux a son importance. Ils n’ont pas comme les aspects adverses d’un penny « pile et face ». Dans les affaires, les 2 côtés sont « face ».
Je le répète, le commerce est un jeu qu’on pratique à 2. Et c’est pourquoi l’affaire la plus probe survivra infailliblement à celle qui l’est moins. C’est pourquoi l’honnêteté procure de plus gros dividendes que la malhonnêteté. Et c’est pourquoi on n’a jamais fondé de maison de commerce de 3 générations avec la tromperie et le bluff.
Donc pour vendre il faut connaître les secrets de la réussite en affaires. Sans une maîtrise parfaite de ces secrets , il vous sera alors très difficile de vendre quoi que se soit. Heureusement, il existe un livre où sont contenus les secrets de la réussite en affaires.
Il est maintenant à votre disposition si vous voulez vraiment réussir à vendre n’importe lequel de vos produits. Pour atteindre vos objectifs et mener enfin la vie que vous avez toujours voulu avoir , procurez-vous dès maintenant les 16 secrets de la réussite en affaires. Et les choses ne seront plus jamais comme avant.
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