Avec l’évolution de la technologie, l’écriture en général se fait sur de nombreux supports actuellement : soit sur papier comme d’habitude ; soit en numérique, version électronique. Toutefois, cela n’empêche pas de visionner les reportages vidéo ou écouter la radio. Ainsi, chaque version a sa propre cible comme le cas des internautes pour la version numérique, et les lecteurs de magazines ou de journaux pour la version en papier. Mais depuis, selon Jean Claude Derey dans son blog personnel, il y a une tension entre les journalistes en ligne et les internautes.
Les critiques odieux des internautes vis-à-vis des journalistes en ligne
Tout le temps critiqué par leur chef-d’œuvre, les journalistes subissent des critiques et des tourments à chaque fois qu’ils publient des articles surtout par le biais de l’internet. Faute de cela, ils doivent être très vigilants et attentifs, selon Jean Claude Derey, en écrivant les articles avant de les mettre en ligne. Puisque tout le monde peut accéder et s’exprimer librement sur internet, certaines catégories de personnes désignent dans leurs commentaires que certains articles publiés par ces derniers sont non objectifs et même un reflet d’incompétence. Toutefois, quelques compliments sont aussi reçus malgré l’ampleur de la situation.
Jean Claude Derey, relation entre droit d’auteur et qualité du journalisme
Suivant la loi appelée loi HADOPI du 12 juin 2009, l’article 20 déclare tous les droits d’auteur que le journaliste profite pour s’épanouir dans son métier selon le blog Jean Claude Derey. S’il travaille par le biais d’une boîte ou d’un employeur, cela veut dire qu’il est détient une compétence en lui ainsi qu’une qualité rédactionnelle adéquate. De ce fait, son directeur peut diffuser en toute liberté les œuvres du journaliste puisqu’il le paye pour effectuer ce travail et ce pendant un temps bien déterminé. Un supplément sera alors payer au cas où ce délai dépasse.