En ce qui concerne les offres proposées sur le marché sur poker en ligne français, le moins que l’on puisse dire est la rentrée a été chargé et que les offres se sont faite nombreuses et abondantes. Cependant, un autre aspect du poker en ligne est aussi à prendre en compte du coup, c’est que dans cette abondance d’offres, nombre d’entre elles proviennent de sites illégaux échappant au contrôle de l’ARJEL (Autorité de Régulation des Jeux en ligne).
De ce fait, cette rentrée fut également une rentrée pour les moins chargée pour l’ARJEL qui doit sans cesse lutter contre les sites de poker en ligne illégaux et dans cette action elle a une nouvelle fois dû à avoir recourt à la justice pour contraindre les FAI (fournisseurs d’accès internet) à « l’aider » dans cette démarche. En effet, le problème qui se pose à l’ARJEL est quem si l’on prend par exemple le cas des salles de poker en ligne, nombre d’entre elles sont illégales mais propose tout de même leurs services en ligne via les FAI qui laisse l’accès ouvert pour les joueurs qui souhaitent se rendre sur des sites illégaux. Donc, ce que demande l’ARJEL est que lorsqu’un site de poker en ligne (par exemple) est identifié comme frauduleux, que les FAI bloquent l’accès des joueurs à ces salles.
Ce n’est pas la première fois que l’ARJEL ait à contraindre les FAI à « travailler » pour elle de la sorte, seulement cette mesure semble être une façon de gagner quelques batailles sans pourtant prendre les vraies mesures pour gagner « la guerre » contre l’offre illégale. En effet, on estime actuellement à environ 800 000 le nombre de joueurs français qui iraient régulièrement sur les sites illégaux jouer à des jeux malheureusement non disponibles sur les sites agrées par l’ARJEL.