Combien ont été nombreux les débats sur le sujet des femmes, leurs droits et leur égalité avec les hommes. Leurs revendications, plus que légitimes, ne sont pas contestables car, pour tout être humain normalement constitués, il est indéniable que les femmes ont trop longtemps été prises pour des esclaves soumises à deux cent pourcent au Maître de maison : l’homme ou plutôt l’ours des cavernes faisant office de mari. Malheureusement leur « libération », bien que très justement fondée, je le répète, n’a fait qu’attiser le conflit et ouvrir de nouveaux champs de bataille.
L’homme et la femme moderne ont totalement perdu de vue le travail le plus important dont ils ont la charge depuis le début des temps. C’est-à-dire la continuité et l’éducation de l’espèce humaine. Pour ce faire, notre instinct nous dicte que nous devons former famille et jusqu’à une époque qui n’est pas si lointaine, tout cela faisait partie de nos mœurs. Mais voilà les temps où le « partenariat » du couple faisait que l’homme partait à la chasse et la femme s’occupait du foyer est révolu. Malheureusement, la bêtise d’une majorité a pour habitude de transformer les bonnes intentions en fiasco retentissant. Si au départ l’homme partait à la chasse ce n’est pas pour « punir » , martyriser ou assouvir sa femme, sinon pour la protéger du danger en restant à l’abri dans sa hutte ou sa caverne. Notons bien que celui-ci n’était en rien obligé de revenir apporter la boustifaille à sa grosse si ce n’est par amour ou goût du partage. Notons également qu’il fallait à l’homme une confiance sans égal pour confier sa progéniture à sa femme. Confiance partagée par cette dernière qui laissait sa vie entre les mains d’un être qui partait et ne pouvait très bien pas revenir. Donc, originellement ce partage des tâches n’était qu’une confiance réciproque. Les choses ont bien changées et ce n’est pas forcément la faute de l’homme en lui ou de la femme en elle-même, mais de ceux ou celles pour qui la réflexion et la sagesse sont absent de leur patrimoine génétique. En se civilisant, ce schéma a pour un temps été le même. L’homme au boulot et la femme au foyer. Et cela aurait pu durer encore longtemps si nous n’avions pas compté sans l’incommensurable bêtise de l’être dit humain qui cherche toujours le moyen de contrôler son prochain. Les ours des cavernes ont naturellement vu en cette organisation la possibilité de priver leur compagne de toute liberté en les clouant à la maison et en leur imposant ainsi une totale dépendance tant morale que financière. Jouant sur ce sentiment » d’être le dindon de la farce » les gouvernants, eux aussi très enclins à constamment vouloir contrôler la vie des autres afin de « tirer leur épine du jeu », nous ont martelés avec la liberté de la femme. Ils pouvaient être sûr que, devant le nombre incalculable d’abrutis ( nous ne pouvons pas les nommer autrement) qui profitaient de cette situation pour maintenir leur moitié dans l’esclavage des tâches ménagères, ils allaient trouvé une réponse à leur revendication. La femme se libère donc et reçoit le droit de travailler afin de ne plus dépendre du gros lourd faisant figure de mari. Les résultats ne sont pas une amélioration de la vie des femmes et ni du mari, malgré que l’on nous a fait miroiter qu’avec deux salaires, la famille du couple vivrait mieux. Les deux salaires ne suffisent toujours pas. Voir les montagnes de crédits que chaque couple a sur le dos. Même plus à même de pouvoir acheter une simple paire de lunette sans la prendre à crédit !
Les divorces ne font qu’augmenter car chaque élément du couple ne travaille plus pour sa famille mais pour lui-même. A tel point que chacun à son compte en banque. Il n’y a plus partage sincère mais chacun paie sa part comme nous le ferions avec un étranger. En réponse aux ours des cavernes qui les étouffaient, bonne partie des femmes ( celles avec une cervelle d’oiseau) n’en font qu’à leur tête et préfère vivre seule que mal accompagnée. Que l’on ne vienne pas me dire que cela est un avantage pour elle car, il n’y a qu’à entendre les réclamations des mères célibataires. Cette libération les a mises au four et au moulin. Avant, elles n’avaient que leur foyer à organiser et maintenant… elles ont aussi un patron à satisfaire ! Bref, la famille ne peut que s’en ressentir et nous comptons aujourd’hui avec un nombre incalculable de célibataires pleurant leur solitude dans leur coin. Nous comptons également avec une quantité sidérale de stressés, schizophrènes et autres maladies mentales. La sagesse dit: chassez le naturel et il revient au galop. Et c’est ce qui se passe car malgré cet enthousiasme de la liberté tous et toutes cherchent de nouveau à se caser un jour ou l’autre. Nous voilà avec des familles recomposées ( pour ne pas dire décomposées) par centaines de mille ! Ce qui est également une grossière erreur car l’amour d’un père ou d’une mère ne pourra en aucun cas se manifester pour l’enfant de l’autre. Retour à la case départ.
Le modernisme ne signifie pas chacun chez soi, ou chacun pour soi. Car ce schéma ne fonctionne pas. Voyons le taux de suicide chez les ados qui a grimpé au septième ciel depuis que les parents sont « modernes ». Voyez la délinquance, la drogue, tout ceci n’est que le résultat de familles décomposées. La famille et l’organisation familiale traditionnelle, celle ou la femme restait au foyer n’est pas une si mauvaise solution, si les gouvernants pensaient à autre chose qu’à des lois inutiles. Car, fonder une famille, une vraie, à long terme, est plus rentable pour la nation que ce que nous vivons aujourd’hui. Fonder une famille est un véritable travail. La faute n’est pas au citoyen si madame est obligée de « travailler » pour maintenir sa famille. La faute n’est pas au citoyen si madame est obligée de travailler pour avoir une indépendance financière mais à tous ceux qui nous gouvernent. La femme est différente de l’homme. Dame nature leur a donné le pouvoir d’enfanter. De par nature , elles sont plus à même de rester à la maison pour faire grandir notre descendance. Ce qu’il ne faut pas comprendre comme une condamnation à vie…non, le temps de former l’esprit de leurs petits, de maintenir un rythme de repas, de propreté, de complicité avec leurs petits. Tout cela pour leur équilibre et également celui de notre future société. Le travail de la femme devrait être reconnu et rémunérer à sa juste valeur. Elles ne dépendraient plus du maigre salaire de leur mari et sauraient que leur travail n’est pas inutile. La femme a le droit à sa liberté. Elle peut et pour son épanouissement, elle doit travailler, mais lorsque l’on décide de former une famille ceci devrait être considérer comme un véritable emploi. Un des deux..mari ou femme a le devoir de rester à la maison pour maintenir le bateau à flot. C’est ce que tout gouvernement censé devrait imposer.