COUGUAR : FÉLINE D’ÂGE MÛR CHERCHE JEUNE LIONCEAU !

COUGUAR : FÉLINE D’ÂGE MÛR CHERCHE JEUNE LIONCEAU !

 

Couguar : femme d’âge mure chassant de jeunes hommes pour relations sexuelles uniquement. Ce nouveau mot est effectivement attribué aux femmes ayant dépassé les 40 ans (d’autant d’années que vous voudrez !) et qui jettent leur dévolu sur de jeunes amants, dans un but sexuel uniquement. Bien sûr, tout le monde à l’habitude de croiser un homme à l’allure de papa, voire de papi, accompagné d’une jeune donzelle d’une vingtaine d’années, pas plus de trente en tout cas. Voilà que les femmes aussi revendiquent leurs petits poulets, puisque les « sugar dady » exhibent leurs poulettes !

 

Sans vouloir être rabat-joie, ni collé monté (je fus une couguar en mon temps !), il faut comprendre que par nature et dans l’équilibre des choses, les couples hétérosexuels et homosexuels se forment généralement dans une tranche d’âge identique ou avec une marge de manœuvre d’une dizaine d’années maximum. C’est vrai qu’il est de mise que ce soit l’homme le plus âgé, probablement parce que les femmes sont considérées comme plus matures plus tôt que le sexe  opposé. Or, les couguars n’ont pas l’intention de former un couple avec leurs proies : elles veulent juste… les dévorer ! Que pensez-vous du fait d’être attirée par un garçon qui a l’âge de votre fils ? Idem pour les hommes attirés par les amies de leur fille. N’y a-t-il pas quelque chose qui cloche ? Quand je vois que Madonna, qui refuse de vieillir (un jour, elle va se découdre sur scène, à force de se faire « rafistoler » !), commence à jeter son dévolu sur des mannequins qui ont l’âge de sa première fille, je comprends où elle en est… Je suis passée par là.

 

Très souvent, une femme d’âge mûr chassera dans la catégorie 20 à 35 ans pour se prouver qu’elle est encore belle, qu’elle peut encore plaire et à des hommes plus jeunes qu’elle. C’est ce que je m’étais dit, après mon divorce, à 38 ans : si je séduis des p’tits jeunes entre 20 et 25 ans, je gagne plus d’air miles pour retrouver ma  confiance en moi et en ma féminité, broyées par un mariage catastrophe : quel mauvais lien j’ai fait là ! Et c’était plus fort que moi. Je n’étais plus du tout intéressée par les hommes de mon âge (trop facile !), dénués d’intérêt à mes yeux, dans ma quête de reconstruction. Après plus de trois années de haine nourrie à l’égard des hommes, à cause de mon mari, je ne sortais plus, recroquevillée sur moi-même. Puis la vie a repris le dessus et quand j’ai recommencé à sortir, je suis tombée sur un jeune de 20 ans (j’en parle dans mon 2e livre qui sortira à l’automne 2011) et alors que je n’avais, à son égard, aucune intention sexuelle, à force de discuter avec lui, je me suis retrouvée dans son lit. Je me suis sentie tellement flattée d’avoir été choisie et d’avoir eu le plaisir d’initier, que j’ai voulu reproduire ce sentiment de puissance avec d’autres : je plaisais à des gars qui avaient 20 ans de moins que moi, ça c’était une preuve de ce que je valais ! En fait, ce n’était qu’une belle preuve de ma névrose…

 

Ce qui est comique, c’est qu’il y a un type de femmes pour ça : en fait, vous pouvez, passé 40 ans, courir après des petits jeunes, il y en a toujours un qui aura la « courtoisie » de répondre à votre appel au sexe. Ne sommes-nous pas, nous les femmes de quarante, cinquante et plus, le fantasme des jeunes hommes sabre au clair ? Eux sont également flattés d’attirer l’attention d’une femme mûre qui sait ce qu’elle veut, a souvent de l’expérience en matière de sexe et est souvent complètement désinhibée ! En plus, ils savent qu’elles ne s’accrochent pas (enfin, ne devraient pas !), n’ont pas envie de vivre avec eux et d’avoir des bébés : c’est pour le plaisir sexuel uniquement. Mais parfois, l’un des deux s’attache, voire les deux. C’est le piège dans lequel je suis tombée avec Jim (15 ans de moins que moi).

 

Je pensais être à l’abri de m’attacher en butinant dans la catégorie « qui démarre sa vie » et je croyais également qu’ils seraient « détachables » à la demande, comprenant que j’étais trop vieille pour une vie à deux. J’ai fait des dégâts, bien involontaires : l’un a eu un accident de voiture, un autre s’est presque fait virer de son travail parce qu’ils pensaient à moi toute la journée (à ce qu’ils m’ont dit !), puis il y eut celui dont j’étais devenue l’obsession et qui n’était plus capable de fonctionner. Moi, mon objectif, c’était de faire une croix sur la crosse de mon révolver dès que l’un d’entre eux m’avait embrassée : un trophée de plus sur mon tableau de chasse, encore des airs miles ! M’embrasser était la preuve absolue qu’ils me trouvaient à leur goût, puis je voulais me sauver pour en attirer un autre, pour augmenter ma collection. Bien sûr, parfois, je couchais avec eux, mais pas pour jouir, par pur narcissisme : histoire de voir dans leurs yeux les milliers d’étoiles qu’il avait découvertes dans la constellation des nouvelles positions ! Je dois dire qu’en France, un certain nombre de femmes me doivent une fière chandelle : j’en ai formés plus d’un !

 

Puis un jour, Jim a croisé ma route et je me pensais protégée, à tous les niveaux ! Eh bien non, la névrose a frappé ! Les autres petits poulets n’étaient pas assez déséquilibrés pour répondre à mon propre déséquilibre, donc ils étaient Desperados et moi Trou noir affectif. C’est pourquoi me rencontrer les faisait déraper. Avec Jim, pour lequel je n’avais pas plus ni moins d’intérêt que pour les autres, il y a eu la samba du « je te fuis, tu me suis, je te suis, tu me fuis ». Et le piège s’est refermé… Autant sur lui que sur moi. Je tenais un trophée que je ne voulais plus lâcher, renvoyant mon image à travers lui : j’étais une femme de 38 ans avec un beau garçon de 23. Quand j’y pense aujourd’hui, cela me paraît tellement absurde : je n’ai plus aucun intérêt pour les jeunes poulets. Ce qui est fou, dans mon histoire, c’est que le dernier amant que j’ai eu, donc Jim, il y a de cela 9 ans, avait tout juste passé les 26 ans… L’autre jour, un ami me propose de me présenter quelqu’un et quand je demande son âge, il me répond : 63 ans ! « Laisse-moi remonter les paliers doucement », lui ai-je répondu ! Passer de 26 à 63, je n’y suis pas encore prête ! Un homme de mon âge, dans la cinquantaine, serait plus adéquat.

 

Curieusement, j’attire encore les jeunes. Vous pouvez avoir la cinquantaine et plus et avoir un corps en forme et une mentalité dynamique, avec une âme d’enfant toujours en éveil (ne pas confondre avec l’enfant intérieur qui représente les peurs : l’âme d’enfant, c’est la faculté de s’amuser et de s’émerveiller). Et même si votre corps, après plusieurs grossesses, a augmenté la surface à aimer, si votre esprit est resté jeune, vous attirerez de jeunes amants : c’est ce que vous dégagez dans votre Site Internet Subliminal qui aimantera une catégorie d’âge inférieure à la vôtre. Attention, nous barbotons à 98 % dans la névrose : donc un petit poulet de grain sera attiré par le côté maman d’une femme mûre (je vous entends grincer des dents, mais c’est la réalité !). Je n’ai jamais eu de rondeur, mais que croyez-vous qui a attiré Jim dans mes filets ? Et les autres aussi ! Il me prenait pour sa maman, sa maîtresse, celle qui rattrape tous ses mauvais coups, qui supporte tout, qui est indulgente, qui pourvoit à tout, etc. J’étais tout, sauf une compagne digne de ce nom. Parce que pour être « compagne et compagnon », il faut être deux adultes. J’étais une mère avec un deuxième enfant. Incestueuse bien sûr, puisque le sexe était de la partie : c’est bien la seule chose qui nous rapprochait, avec la névrose !

 

D’ailleurs, souvent dans ce cas de figure, c’est la femme qui paie pour son jeune étalon : quand vous êtes installée dans la vie, financièrement et autrement, et que vous croisez quelqu’un qui démarre la sienne, ayant moins de revenus que vous, la tentation de tout payer vous prend. Il risque de s’y habituer, si vous le voyez souvent… Petit à petit, pour ne pas perdre le privilège d’être « honorée » par un gars plus jeune que vous, vous allez « cracher au bassinet », puis tout supporter pour conserver ses faveurs : il a le dessus sur sa maîtresse plus âgée et risque d’en profiter… Une couguar n’a pas l’intention d’installer une relation : elle veut juste une nuit de sexe. Comme on dit en Amérique du Nord une « one night ». Dès que vous vous installez dans une « relation d’amitié avec compensation » (fuckfriend), il y a un risque d’attachement et de domination du jeune sur la femme vieillissante. Quand les cinquantenaires fréquentent certains établissements dans lesquels elles savent y trouver des gigolos, le contrat est clair : elles paient, ils leur donnent du sexe et chacun repart de son côté. Je le dis souvent en boutade (quoi que !) : Jim m’a coûté très cher et j’aurais mieux fait de me payer des gigolos, ils auraient au moins fait semblant de m’aimer le temps de la relation… sexuelle !

 

Je me souviens également des commentaires des hommes de mon âge, voire plus âgés, quand j’étais accompagnée d’un jeune amant : ils se sentaient bien plus vexés que nous ne le sommes, nous les femmes, face à un cinquantenaire qui exhibe une jeunesse de 20 ans. Mais les réflexions que j’essayais à l’époque étaient du style, un peu cru : « Il est certainement trop jeune pour vous envoyer en l’air, il doit manquer d’expérience. Si vous voulez un amant, un vrai, téléphonez-moi ! ». « Aux âmes bien nées, la valeur n’attend pas le nombre des années ! » (« Le Cid » Pierre Corneille) : au niveau du sexe, c’est vrai, alors qu’au niveau de la maturité, je suis plus mesurée, car le nombre des années fait la différence. Néanmoins, celui qui m’aura le plus surprise, au niveau du sexe, restera ce jeune de 20 ans… Je vous rappelle au passage, Mesdames, que si les hommes de votre âge regardent les plus jeunes que vous, cela ne signifie pas que vous n’êtes pas désirables : cela signifie simplement qu’ils sont névrosés, refusent de vieillir, ont peur de la mort et se font croire qu’ils restent jeunes, bien qu’ils se ridiculisent. Ça va mieux ?!

 

C’est vrai que c’est toujours flatteur d’être courtisée par un jeune homme, passé la quarantaine. C’est la belle démonstration que vous plaisez à une catégorie plus difficile à séduire, à ce que vous croyez. Peut-être que cette expérience vous tente, pour vous amuser, et si tel est le cas, étant célibataire, vous avez le droit d’aller jouer dans le bac à sable des jeunes poulets. Cela peut être une expérience amusante. Certaines se sont spécialisées et quand elles ont envie de sexe, elles savent où chasser : seulement pour la nuit, pas pour la vie. Mais attention : si vous êtes en déséquilibre affectif, il se peut que vous tombiez dans le piège de croire qu’il vous aime, que vous l’aimez, étant flattée par la différence d’âge et pendant qu’il vous fait miroiter toutes les belles nuits à venir, il a les deux mains dans votre porte-monnaie et vous dépouille tranquillement de votre argent et de votre confiance en vous, qu’il est en train de broyer : car vous serez prête à tout et surtout à vous ridiculiser, pour garder cette image de vous, complètement erronée.

 

Les couguars sont également des formatrices, mais devinez donc quel est l’effet pervers du fait de former vos jeunes amants ? Ils font ce que vous leur avez enseigné, manquant totalement d’imagination ! En ce qui me concerne, je ne chasse plus, depuis longtemps, dans les bacs à sable, pas plus que dans les maisons de retraite, ne recherchant ni un fils, ni un père, ni à me sentir flattée : je souhaite un homme de mon âge, de mon expérience de vie, avec une expérience sexuelle bien à lui !

 

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