La taille douce est un type d’élagage qui vise à préserver la santé et à maintenir la beauté des végétaux. Elle consiste alors à élaguer les arbres de façon raisonnée et sélective pour ne pas nuire à leur stabilité écologique. Contrairement à l’élagage drastique ou sévère qui peut affaiblir les végétaux et compromettre leur durabilité, la taille douce aide à maintenir leur résistance aux agressions environnementales. Explorons dans cet article tout ce qu’il faut savoir sur cette pratique.
Définition et principe de la taille douce
La taille douce est une méthode d’élagage qui consiste à tailler les arbres de façon mesurée pour qu’ils puissent préserver leur forme, leur santé et leur croissance structurée tout en réduisant leur impact sur leur entourage.
Si la taille drastique consiste à enlever de grosses branches et parfois même des branches principales, l’élagage raisonné se focalise plutôt sur de petites branches en réalisant des coupes nettes et légères pour garder la structure naturelle de l’arbuste et encourager sa croissance. En procédant à ce genre de taille, on évite d’occasionner de grosses blessures à l’arbre pour ne pas compromettre son équilibre. Effectivement, un élagage drastique peut causer des blessures graves, une réduction de la résistance aux agressions extérieures ou pire la mort de l’arbuste.
La taille raisonnée par contre permet de conserver l’aspect général des végétaux et contribue à la préservation de l’environnement en réduisant les interventions humaines sur les arbres qui jouent un rôle important dans l’écosystème. Pour procéder à ce genre d’élagage, il vaut mieux solliciterl’intervention d’une équipe de professionnel comme cette entreprise d’élagage à Évreux sur ce site : elagueur-paysagiste-eure.fr ayant les compétences, le savoir-faire et tous les équipements requis.
Comment réaliser une taille douce ?
La réalisation de la taille douce varie en fonction de l’espèce végétale à tailler, de son cycle de vie, de son volume et de son âge. Cependant, voici les étapes clés à respecter :
- L’observation de l’arbre
Avant de procéder à l’élagage, il faut observer attentivement l’arbre pour repérer les branches problématiques qui doivent être enlevées. Cette observation permet aussi de définir l’objectif de l’opération. Pour réaliser ce diagnostic préalable, il faut recourir aux services d’un élagueur qualifié et expérimenté.
- L’élimination des branches problématiques
La deuxième étape de cette pratique et l’enlèvement des branches malades, endommagées et dangereuses pour sécuriser l’arbuste et ses environs. Pour ce faire, il faut utiliser des outils adaptés, propres et bien affûtés.
- L’éclaircissage des branches
Après l’enlèvement des branches abîmées, il faut éclaircir l’arbre pour améliorer l’entrée de la lumière et de l’air dans le feuillage. Il s’agit de tailler les branches encombrantes et qui s’entrecroisent.
Quel est le bon moment pour procéder à une telle pratique ?
En règle générale, la meilleure saison pour pratiquer la taille douce est pendant la phase de dormance, notamment en hiver pour limiter le stress des coupes. L’arbre pourra ainsi focaliser ses ressources sur la guérison des plaies. Toutefois, il est déconseillé d’élaguer durant les saisons de gel au risque d’endommager l’arbuste. Il est aussi recommandé de réaliser une taille douce en été pour enlever certaines branches abîmées ou malades. A noter qu’un élagage raisonné réalisé dans les règles d’art n’est que bénéfique pour l’arbre concerné. Il permet en effet de préserver sa santé et son équilibre, de favoriser un développement harmonieux et de limiter les risques de maladies.