AVEZ-VOUS UN PROBLÈME AVEC L’ABONDANCE… DES AUTRES ?
L’abondance vous arrive par bonne programmation : vos parents vous l’ont enseignée ou des expériences de vie heureuses vous ont démontré que c’était possible pour vous ou encore, manquant de tout dans votre enfance, vous avez décidé d’aller la chercher. Dans un cas comme dans l’autre, vous ferez l’envie d’un bon nombre de personnes qui, au lieu d’y travailler, de vous voir comme un exemple, préfèreront vous dénigrer. Pourquoi l’argent des autres vous dérange-t-il tant ?
L’argent ne fait pas le bonheur. Je le sais pour recevoir dans mon bureau des personnes très riches qui n’avaient pas accès, malgré les millions accumulés, à la sérénité. Mais le bonheur fait l’argent. Quand vous êtes heureux dans votre job et que vous avez une belle stabilité émotionnelle et financière, peu importe vos revenus, vous êtes capable de gagner de l’argent et d’en mettre de côté. Le secret, c’est de gagner de l’argent, sans le faire exprès ! Un couple dont la passion est d’élever des chèvres et de vendre du fromage sur les marchés, ayant leur terre, cultivant leur potager et vivant chaque jour dans le bonheur d’être éleveurs mettront de l’argent de côté pour améliorer leurs biens immobiliers : ils peuvent gagner 30 000 $ /22 500 € par an, ce sera suffisant pour en épargner. Alors qu’une personne qui en gagnera 150 000 $/€ ne mettra rien de côté, par besoin de dépenser. Dépenser pourquoi ? Pour se rassurer, pour épater la galerie, pour s’entourer de tout le luxe qui, à ses yeux, va avec sa fonction, pour le ‘qu’en-dira-t-on’, le jugement des autres. Ce n’est pas de l’abondance, puisque cette personne n’en profite pas : elle surveille simplement la tête que font les voisins, quand elle sort avec sa voiture de luxe toute neuve…
Remarquez comme les gagnants du loto deviennent encore plus pauvres, une fois leur fortune dépensée, dans un délai d’une année. Pourquoi ? Parce qu’ils ne savent pas gérer l’abondance. Donc, ils la perdent. Cela s’apprend ! Les jeunes stars font de même : dès que l’argent rentre, ils s’achètent la maison de rêve à Hollywood et toutes sortes de biens de consommation futiles, pour jouer avec leur pouvoir d’achat, comme on joue avec une baguette magique. Puis leur gloire décline, leur étoile commence à ternir, arrosée d’alcool, de drogue et d’abus divers et variés et les paparazzis les photographient totalement délabrés dans la rue, ayant tout perdu. Et la question qui vient immédiatement est : pourquoi n’ont-ils pas placé leur argent au lieu de le dépenser ? Parce que gérer l’abondance, c’est une éducation. À travers l’argent, vous pouvez également mesurer la stabilité de quelqu’un : un radin ou un dépensier manifestent un déséquilibre, à travers leur relation avec l’argent. Pour le premier l’insécurité financière ne s’arrêtera jamais, plus il aura de millions, plus il en voudra : c’est une roue qui est lancée et qu’il ne peut plus arrêter. Pour le second, incapable d’économiser, il dépensera tout ce qu’il a, tout ce qu’on lui prête, tout ce qu’il emprunte pour des futilités, sensées le rassurer, améliorer son bien-être, ce qu’il n’obtiendra jamais. Vous l’avez compris : c’est le vide qu’ils essaient de combler, l’un avec l’argent, l’autre en le dépensant pour s’entourer de toutes sortes de choses qui sont sensées le rassurer. Ni les millions, ni les objets ne peuvent rassurer quelqu’un : juste le rendre très riche ou très endetté, mais jamais heureux.
Pendant les 10 dernières années, je n’ai géré que des dettes : il fallait que je rembourse tout ce que la dépendance affective m’avait fait distribuer aux uns et aux autres. J’avais surtout distribué l’argent des banques ! Il fallait donc rembourser. Mais gère-t-on vraiment des dettes ? En fait, je me contentais de prier le dieu de la carte Interac (carte de paiement direct), chaque fois que je la passais pour faire mes courses : je les trouvais tellement longues les secondes qui me séparaient du « paiement accepté », car parfois cela affiché « carte sans fonds ». « Oups, quel imbécile ce banquier, je lui avais dit de mettre des fonds sur ma carte ! Je suis désolée » et je me retirais sur la pointe des pieds, rouge cramoisie, laissant mes denrées à la caisse. Je n’allais plus voir mes comptes, ayant adopté la politique de l’autruche (ce que tu ne vois pas ne sais pas ne te fait pas mal !), car le peu d’argent que je gagnais provoquait à peine une minuscule remontée, un tout petit soubresaut dans le fond du compte… de la banque, pas du mien ! Je passais mon temps à déshabiller Paul pour rhabiller Jacques et les deux finissaient à poil tout le temps ! Alors, j’ai appris à travailler dans le plaisir, dans tout ce que j’aime pour remonter mes dettes, me donnant droit à l’abondance. Ma plus grande richesse, c’est d’avoir le temps de prendre soin de moi. Et quand je parle d’abondance, cela signifie pour moi dans tous les domaines : activités professionnelles qui me passionnent, domiciles que j’affectionne, avoir des amis proches et formidables et l’argent qui rentre sans y penser. Souvent, je vous entends dire « Je ne veux pas être riche, juste ce qu’il me faut pour vivre »… Et pourquoi ne voulez-vous pas être riche ?! Pourquoi mettez-vous, d’ores et déjà des bâtons dans les roues de l’abondance et des limites ?! Moi, je prends tout ce que la vie me donne. Et ce qu’elle me donne, maintenant que je suis bien alignée dans mes six niveaux logiques, j’ai appris à le gérer : gérer les dettes, je savais faire, mais gérer l’argent qui rentre, j’ai pris un coach financier pour ça.
L’abondance, c’est l’abondance ! Laissez-la donc rentrée, avec tous les cadeaux qu’elle peut vous faire : l’amour, l’amitié, le bien-être, la joie, la bonne humeur, la stabilité financière, allez hop, je prends tout ! L’abondance est une reconnaissance de votre travail sur vous et d’une activité que vous avez exploitée brillamment. C’est un juste retour des choses, la récompense de votre bel état d’esprit, de tout ce que vous avez mis en oeuvre pour y arriver. Bien sûr, je vous vois venir : vous allez râler après ceux qui sont nés dedans ou qui l’acquièrent très facilement, parce que c’est inné. Aucun effort à faire de leur part, l’abondance a frappé à leur porte et ils l’ont laissée entrer. Et alors ? Tant mieux pour eux ! Mais ils sont rares : la plupart des « nouveaux riches » ont fait faillite, ont reconstruit, parfois plusieurs fois, avant d’y accéder. Nombreux sont ceux qui se sont battus comme des lions, qui avaient le don et qui l’ont fait fructifier, parce qu’ils croyaient en eux. J’ai eu le plaisir de lire la biographie de Pierre Daudelin, écrite par Colette Chabot : « Le succès – Made in China – L’intelligence de l’enfant qui ne savait pas lire, ni écrire » (http://www.editionsfrancophonie.com/details.cfm?id=373). Quel beau message envoyé à ceux que les études boudent ! Pierre Daudelin est allé la chercher cette abondance, malgré un sérieux handicap, parce qu’il y croyait. La réussite et l’abondance sont en chacun de nous, pour peu que nous souhaitions les développer. Mais cela ne signifie pas devenir milliardaire à tout prix ! L’argent et l’amour ne peuvent être des objectifs : ils sont des avantages collatéraux du bonheur d’être soi. Encore une fois, l’abondance ne se mesure pas aux montants affichés sur votre compte en banque, mais à votre capacité à vivre heureux, avec ce que vous générez.
Vous remarquerez que ceux qui ont fait de leur passion une activité sont heureux : ils gagnent leur vie en s’amusant. C’est mon cas : j’aime passionnément toutes les activités que je fais (coaching, conférences, formations en entreprise, chronique à la radio et sur le web, écrivain et vidéaste !) et du coup, ça me rapporte de l’argent. N’en déplaise à ceux qui m’envoient des messages en me reprochant de vendre des outils sur mon site ! Jusqu’à présent, j’ai beaucoup travaillé pour les banques ! Et vivre d’amour et d’eau fraîche, nue sur une île paradisiaque, dans la simplicité volontaire n’est pas mon projet. L’argent est une belle reconnaissance de mon travail, mais je ne travaille pas pour l’argent. En revanche, l’abondance frappe à ma porte de plus en plus souvent et je la laisse entrer. J’assume parfaitement ce qu’il se passe dans ma vie. Et je tiens à souligner, au passage, qu’il y a beaucoup d’informations sur mon site, pour comprendre ce qui est nécessaire pour sortir des pièges. Vous avez tendance à penser que je suis payée pour faire de la radio et les émissions de télévision : c’est faux. C’est un échange de bon procédé : les médias me donnent de la visibilité et je leur fais un « show ». Quand je vais à Québec pour faire de la radio, quand je prends de mon temps pour parler au Saguenay-Las-St-Jean ou à Sept-Îles, ni les frais ni la prestation ne sont payés. Chaque chronique que j’écris sur le web est là pour vous éclairer, si vous le souhaitez. Alors la jalousie qui fait dire à certains que des gens comme moi font ça pour l’argent est totalement déplacée. Tout ce que je fais, je le fais parce que ça m’amuse, totalement consciente que je ne m’adresse qu’à 2 % de la population, quand les 98 %, inconscients de leur inconscience, préfèrent regarder ailleurs ou critiquer. Ceux qui vendent de la névrose aux névrosés font bien plus d’argent que moi : ils ont 98 % du marché !
Pourquoi l’abondance des autres vous fait-elle tomber dans des comportements négatifs ? Parce que, pour vous, vous n’y croyez pas. Donc, vous crachez sur celle des autres. Pas de raison que les autres aient ce que vous n’avez pas. Cette réaction prend ses racines, en partie, dans la religion catholique : l’abondance n’est pas bien vue. Pourtant, c’est la même église qui agite sous le nez des pauvres des ciboires en or, des objets ostentatoires, de la richesse qui dégouline du Vatican. Si quelqu’un est riche, ce n’est pas parce qu’il est intelligent, c’est sûrement parce qu’il est malhonnête ! Facile, non ?! D’autres admirent ceux qui réussissent et les prennent pour exemple : voilà la bonne attitude. Comment quelqu’un qui réussit fait-il pour réussir ? Voilà la bonne question. Vous rapprocher de ceux qui ont du succès vous permettra de recueillir les informations qu’il vous faut pour créer votre propre abondance : il faut d’abord y croire. Alors que cracher sur ceux qui sont plus riches que vous, c’est essayer d’atteindre ceux qui sont plus hauts que vous, mais vous savez ce qu’il se produit si vous crachez en l’air… ?! Ça vous retombe immanquablement sur le nez.
Une fois de plus, les gens heureux sont heureux du succès des autres. Qu’est-ce que ça dit de vous, quand vous critiquez ceux qui réussissent ?…
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