APRÈS 11 ANS DE CÉLIBAT ET D’ABSTINENCE, PASCALE PIQUET, AUTEUR DU BEST-SELLER « LE SYNDROME DE TARZAN » ET « GAGNEZ AU JEU DES ÉCHECS AMOUREUX » RENCONTRE SON ROI !
Quelle étrange sensation : pendant les huit dernières années, je vous ai parlé de mes 40 ans de névroses et voilà qu’à bientôt 53 ans, je vais vous parler d’amour. Eh oui, vous l’avez deviné : je suis amoureuse ! Au terme de 11 ans de célibat et d’abstinence, après avoir été soupçonnée d’être une homosexuelle refoulée, une vieille fille aigrie ou une célibataire endurcie, j’ai rencontré l’homme de ma vie. Vous avez été nombreux à me demander, public comme médias, après la publication de mon premier livre et best-seller « Le syndrome de Tarzan » (Béliveau éditeur), fin 2006, si j’avais quelqu’un dans ma vie. Je sentais bien que beaucoup d’espoir se cachait derrière cette question, espoir qui volait en éclats quand je répondais, avec le sourire, « pas encore« . D’autant que je m’étais engagée à vous raconter comment j’aurais enfin croisé l’homme de ma vie, dans mon prochain livre. Il est sorti, « Gagnez au jeu des échecs amoureux« , publié chez Michel Lafon en 2012, mais j’y avouais, avec humour, être encore célibataire.
Souvent, je vous ai expliqué que c’est l’Univers qui vous fait vous rencontrer, quand les deux sont prêts : condition sine qua non. Il faut que les deux soient prêts, sinon l’un rejetterait l’autre et la relation échouerait… L’Univers n’est pas fou et pas question pour lui de « griller » une relation ! Je disais à mes amis que la première chose que je demanderais à cet homme serait : « Que faisais-tu ces deux dernières années ? », car je me sentais prête à être en couple, pensant que c’est lui qui ne l’était pas. Avais-je raison ?… Vous le découvrirez plus loin. Vous vous demandez certainement comment l’Univers l’a placé sur ma route. Figurez-vous que je le connaissais déjà, mais je ne le voyais pas comme un « candidat » et lui non plus, d’ailleurs. Mon métier de coach, conférencière et écrivain me permet de rencontrer beaucoup de monde et des personnes vivant à différents endroits. J’ai toujours plaisir à revoir ceux et celles avec lesquels j’ai des affinités et prendre un repas ensemble, à l’occasion. C’est le cas quand je vais travailler à l’étranger : Paris, Casablanca ou ailleurs. Des amitiés se créent et nous les entretenons grâce aux nouvelles technologies. Depuis bientôt deux ans, je communiquais avec cet homme, comme avec d’autres, rencontré au gré de mes activités et une relation s’était créée, à distance, par e-mails interposés. Une relation innocente, car nous n’avions jamais, ni l’un ni l’autre envisagé quoi que ce soit d’autre. Nous échangions donc et de confidence en confidence, de questions en réponses, de message en message, nous entrions dans l’intimité l’un de l’autre et je le coachais, sans vraiment en avoir conscience. Il se posait beaucoup de questions sur ses relations passées, sur la vie affective et les comportements humains et, coach un jour, coach toujours, je l’aidais amicalement à s’y retrouver. Et ce, pendant deux années… Voilà ce qu’il faisait : célibataire depuis tout ce temps-là, ayant lu mes livres, il réglait simplement son passé et je l’appuyais. L’Univers est farceur !
Puis, il y a plusieurs mois, bien que nous n’ayons pas réussi à nous voir depuis un bon bout de temps (ce qui arrivait souvent à cause de nos agendas respectifs), nous passâmes finalement une soirée, sans la moindre arrière-pensée, ayant plaisir à nous retrouver, en toute amitié. Le temps filait, nous avions plaisir à être ensemble, à ce point que nous n’avions pas conscience que nous ne voulions ni l’un ni l’autre y mettre un terme. Et comme cela a dû vous arriver aussi, nous avons discuté beaucoup, avant de décider, à regret, qu’il était temps de partir chacun de son côté. Alors, pour se dire au revoir, comme je le fais souvent, nous nous sommes fait un câlin amical… et je ne suis plus jamais ressortie de ses bras. Bien sûr, comme je le recommande systématiquement, nous n’avons pas eu de relations sexuelles avant de longues discussions, favorisées par la distance, pour savoir si nous étions arrivés aux mêmes conclusions et si nous ressentions les mêmes sensations : il était important, après 11 ans, d’offrir cette virginité retrouvée au meilleur des hommes pour moi. Et il en était bien conscient, mais pas du tout impressionné, confiant. Nous sommes entrés dans cette relation comme on entre dans les eaux cristallines et turquoises des pays chauds : sans la moindre hésitation, d’un même pas, sans aucun doute, avançant l’un vers l’autre au même rythme. Chaque minute passée en sa compagnie, physiquement ou par téléphone et Internet me confirmait que je faisais le bon choix. Vous l’aurez compris, c’est une relation longue distance. Je l’ai d’ailleurs assez claironné que ça ne pouvait pas être autrement, pour diverses raisons que vous m’aurez entendue exposer dans les radios, chroniques, conférences et autres. Je souhaitais un homme aussi passionné et occupé par ses activités que je le suis moi, mais libre de passer du temps de qualité, toutes affaires cessantes, pour se consacrer à celle qui partage sa vie, mais pas forcément la même maison, ni le même pays.
En fait, il a tous les critères que j’avais listés, le principal étant que je voulais un homme extraordinaire, entendre « qui sort de l’ordinaire ». Cette relation a donc débuté il y a plusieurs mois : la distance aidant, nous avons vraiment appris à nous connaître en relation, car, jusque-là, nous nous connaissions en tant que célibataires. C’est amusant de découvrir la version Pascale Piquet équilibrée, en couple. Nous nous découvrons mutuellement dans cette nouvelle situation. Bien évidemment, comme moi, il était prêt à entrer en relation, quand nous nous sommes revus. J’ai toujours dit que je souhaitais un homme qui serait célibataire, dans l’idéal, depuis au moins une année. Il lui en a fallu deux pour se libérer du passé. Vous comprendrez que je ne voulais rien dévoiler tant que je n’avais pas l’assurance que c’est une belle relation, afin d’être capable de vous en parler. Comme vous le savez aussi, puisque vous me lisez, j’ai traversé une zone de turbulences avec campagne de salissage à la clef et il est devenu très clair pour lui et moi qu’il n’était pas question qu’il en subisse des dommages collatéraux. Le coup très bas qui m’avait été porté ne devait toucher que moi, dans un monde où 98 % de la population est capable de donner dans le négatif et le toxique. Mes névroses, je les ai livrées aux critiques et aux gens mal intentionnés, sachant qu’à travers tout ça, je toucherai ceux qui en ont besoin et veulent changer. Mais mon bonheur, pas question que je le livre en pâture aux imbéciles. Donc, nous avons pris la décision de taire son identité. Même mes amis les plus proches ne savent pas qui il est et respectent cette décision : vivons heureux, vivons cachés. Et quand vous décidez de ne rien dire, cela signifie rien. Je suis tenue, dans mon métier, au secret professionnel et ma langue, je sais la tenir. Il n’est pas question pour moi de livrer des bribes de sa vie aux uns et aux autres, même amis, car cela s’appelle trahir, quand on s’est engagé à se taire. Je sais, vous qui me suivez, que vous me comprenez et respecterez cette décision. Quant à certains autres, que je nomme affectueusement « les imbéciles », ils raconteront que j’ai tout inventé et que de lesbienne, je suis passée à mythomane et que je me suis créée un petit ami imaginaire : si vous voulez !
J’ai également pris la décision de rafraîchir « Le syndrome de Tarzan » en y apportant de nouvelles informations et en vous parlant de ma nouvelle relation. Je serai franche et je vous livrerai mes états d’âme, comment je me suis sentie et lui aussi, si la théorie que j’avançais s’est retrouvée vérifiée, si je me suis trompée et comment : bref, je vous dirai tout, sauf son identité. Mais ce sera la vérification des principes expliqués dans mon second livre « Gagnez au jeu des échecs amoureux » que vous retrouverez dans la nouvelle version du premier. Et si je dois vous faire un bref résumé, l’amour, c’est encore plus beau que ce que je pensais et pour répondre à une personne qui me demandait, sur ma page facebook, si je vivais « la fusion des premiers temps », je répondrais que je vois de quoi elle parle, pour l’avoir vécu souvent et dans la névrose, mais cette fois-ci, je parlerai plutôt d’osmose. La seule inconnue, dans notre belle histoire est de savoir si la distance aura raison de notre relation ou si, au contraire, elle la renforcera.
Alors, si vous souhaitez que je vous parle d’amour, suivez-moi sur ma page facebook et la nouvelle version du « Syndrome de Tarzan » sera à votre disposition en numérique sur mon site à la fin de l’été et en version papier début 2015, vendu au Québec et en Europe. Suivez cette actualité sur ma page professionnelle facebook !
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