08_Chauve-souris

LA PEUR DU CORONAVIRUS : RÉALITÉ OU FICTION ?

Sur quoi reposent les mécanismes de la peur ? Quel est le pourcentage de fiction et le pourcentage de réalité, quand vous êtes terrifié ? Coronavirus : soyons réalistes.

Faites le ratio : nombre de décès vs la population mondiale de 7,7 milliards d’individus !

L’humain est comme une voiture : une mécanique avec des rouages. La bonne nouvelle, c’est que, si un moteur est réglé pour faire avancer un véhicule, vous avez, vous, plusieurs façons de monter votre propre mécanique. Une fois la mécanique montée dans votre tête, soit vous êtes terrifié aux moindres infirmations inquiétantes ou dramatiques, soit vous êtes capable de faire face à chaque événement sagement. D’autant que, la plupart du temps, vous avez « tricoté » les facteurs qui vous font paniquer, car ils ne sont pas la réalité. Observons le mécanisme de la peur face au coronavirus : les médias savent mettre en avant ce qui terrifie, annonçant le nombre de morts. Considérer juste le chiffre est terrifiant, mais si on le ramène dans son contexte : la population mondiale, en 2020, est de 7,7 milliards d’êtres humains. Faites le ratio… Le virus est à « tête chercheuse » et affecte principalement les personnes en situation de faiblesse au niveau immunitaire ou au niveau de certains organes. Faites-vous partie des personnes à risque ou risquez-vous de le refiler à quelqu’un d’autre parce qu’il ne vous affectera pas ? Si vous restez confiné, aucune raison que vous l’attrapiez, si vous êtes à risque. Si vous ne l’êtes pas, respecter les consignes de sécurité quand vous sortez vous en protégera. On vous demande simplement de patienter… Mais l’impatience est une attitude d’enfant…

Nos aïeux mourraient de… rire !

Franchement, nos aïeux, s’ils n’étaient pas déjà de l’autre côté, mourraient non pas du coronavirus, mais de rire ! Ils se sont battus dans des guerres, chacun à la leur façon, quel que soit leur camp, et ils risquaient leur peau chaque jour, résistants comme mon grand-père et son frère ou militaires, et de bien d’autres façons. Aujourd’hui, c’est une guerre de confinement, pas une guerre de tranchées : on ne vous demande pas de descendre dans les rues avec une arme (heureusement !), on vous demande de rester tranquille chez vous. Mais, les enfants gâtés que vous êtes, dans cette garderie géante qu’est ce monde, trépignent d’impatience et meurent, non pas de la maladie, mais de trouille ! Reconnaissez qu’une grande majorité d’entre vous n’est pas exposée. Que si vous respectez les consignes, vous vous en sortirez. Et voilà que la première personne annoncée décédée du COVID-19, au Québec, vivait à 30 kms de chez moi (Joliette). Mon Dieu, ont pensé les gens du coin, ça se rapproche, ça devient une réalité ! Tout le monde serre les fesses, mais se ruent sur du papier toilette ! Sauf que… à la finale, ils ont réalisé que ce n’est pas le coronavirus qui a emporté la dame décédée… De la fausse information, il y en a. Et c’est à vous de décider si vous prenez du recul ou si vous tombez dans la psychose que les médias sont en train de créer.

Les mécanismes de la peur

Votre cerveau ne fait pas la différence entre ce que vos yeux lui envoient comme informations et les images que vous créez dans votre imagination, parfois trop débordante. Vous lisez ou entendez le nombre de décès (je vous rappelle que c’est sur une population de plus de 7,7 milliards d’individus) : ça, c’est la réalité. Mais votre imagination se met à tricoter en vous déconnectant du bons sens : vous vous voyez déjà mort (ça réveille de vieilles mémoires ancestrales : la peur de mourir), alors que vous n’êtes pas à risque ; Si vous savez que vous n’êtes pas à risque, vous raisonnant, vous imaginez qu’il n’y aura plus de papier toilette et vous filez en acheter ; Ou encore qu’il n’y aura plus rien à manger (alors que les magasins sont visiblement toujours livrés) et vous faites des réserves de toutes sortes de denrées non périssables ; Vous imaginez ensuite que vous n’avez plus d’argent (de toute façon, il n’y aura plus rien dans les magasins, à ce que vous croyez !), vous allez finir à la rue, mendiant édenté, mais, de toute façon, il n’y aura personne pour vous refiler une pièce ou un sandwich, car la pandémie aura tué le monde entier ! Et tout ça parce qu’il y a effectivement une pandémie (c’est une réalité), on vous demande de rester chez vous pour la contrôler et vous êtes en sécurité, bien au chaud, le ventre plein, avec ceux que vous aimez (ou non : et là ça peut devenir un cauchemar que vous n’aviez pas imaginé !). Alors, y a-t-il de quoi être terrifié, dans votre cas ?

Regardez le sketch de Jean-Marie Bigard puisque des rumeurs courent sur le fait que des expériences étaient faites sur des chauve-souris, en Chine, dont l’une se serait échappée (ne le dites surtout pas à Jean-Marie : il a peur des chauves-souris !) et aurait provoqué la pandémie (réalité ou fiction ?!) : moquez-vous de vous-même en regardant cette vidéo et associez la chauve-souris au virus, ça vous fera desserrer les fesses ! https://www.dailymotion.com/video/x5bduq

VOTRE COACHING PRIVÉ À DISTANCE PAR SKYPE
Où que vous soyez dans le monde, Pascale peut vous coacher !

Pascale Piquet

Auteure et conférencière

Dès le premier appel, vous vous sentirez déjà mieux :

www.pascalepiquet.com

Sans vous déplacer, recevez un « coaching » dans le confort de votre domicile avec des séances organisées en fonction de votre emploi du temps.

Quoi de plus simple et facile ?

Quels que soient les problèmes engendrés par votre manque de confiance et d’estime (la dépendance affective), vous pouvez les régler rapidement en faisant appel à la spécialiste qui, grâce aux nouvelles technologies, vous rendra visite dans votre salon !

L’efficacité du coaching par skype a été démontrée et les résultats sont très satisfaisants : quel soulagement de pouvoir faire appel aux services de Pascale Piquet avec autant de simplicité et facilité. Le bonheur est à portée de votre main, il suffit de le décider et de prendre rendez-vous avec la spécialiste de la dépendance affective qui se tient à votre disposition pour répondre à vos questions.

Le bonheur est un chemin qui se choisit, laissez-moi vous accompagner, même à distance !

Appelez Pascale au:
00 1 450 886 0585

Dépendance affective et dépendance amoureuse…
Vous reconnaissez-vous ?

VIE PRIVÉE

  • Vous vivez avec une personne qui vous fait souffrir, mais vous n’avez pas la force de la quitter ?

  • Vous venez de rompre, que ce soit votre décision ou la sienne, et vous souffrez le martyre ?

  • Vous souhaitez rompre mais vous ne savez pas comment vous y prendre ?

  • Vous êtes célibataire et la solitude vous pèse car vous désespérez de trouver la bonne personne ?

  • Vous ne voulez plus de relations affectives car vous avez déjà trop souffert ?

  • Vous êtes prisonnier d’un triangle amoureux, que vous soyez l’amant, la maîtresse ou que ce soit vous qui trompiez votre partenaire ou elle/lui qui entretient une relation avec une tierce personne et vous voulez en sortir ?

  • Vous vivez de l’insatisfaction chronique, vous traînez une tristesse depuis votre enfance, dont vous ne réussissez pas à vous débarrasser ?

  • Vous souhaitez améliorer votre situation professionnelle ?

  • Votre vie vous échappe ? Vous cherchez le bonheur ?

  • Vous souhaitez développer votre confiance et votre estime ?

  • Vous aimeriez vaincre la dépendance affective ?

  • Vous souffrez du rejet et de l’abandon ?

VIE PROFESSIONNELLE

  • Vous subissez du harcèlement au travail ?

  • Vous avez peur de tomber en épuisement professionnel (burnout) ?

  • Vous éprouvez des difficultés d’intégration dans votre équipe de travail ?

  • Vous souhaitez apprendre à manager une équipe ou développer vos habiletés dans ce domaine ?

  • Vous avez des difficultés à trouver un emploi stable ?

  • Vous désirez changer d’orientation professionnelle ?

  • Vous avez des difficultés à vous faire respecter ?

  • Vous souhaitez apprendre à résoudre les conflits ?