Arrêter le sexe

ARRÊTER LE SEXE ?

« Arrêter le sexe ??? Mais je ne pourrais pas ! » vous répondra une grande partie de la population célibataire. Pourtant, dans certains cas, c’est la meilleure décision… « Baiser » ne signifie pas « exister » et c’est parfois bien cher payé pour une étreinte frénétique et un orgasme de quelques secondes. Je dis bien « un » et pas « deux » : il y en a souvent UNE qui est lésée… Quand vous faites n’importe quoi avec n’importe qui parce que vous pensez que ceux qui ne « baisent » pas sont des laissés pour compte, vous vous prostituez et gratuitement en plus ! Que direz-vous d’arrêter le sexe pour vous retrouver et vous demander ce que vous voulez vraiment ? Car, soyez-en conscient, le sexe peut être une compulsion…

Vous avez peut-être arrêté de fumer, de boire, de vous droguer ou de manger du sucre. Mais quand faut-il arrêter le sexe ? Quand vous réalisez que vous utilisez les autres ou êtes utilisé pour assouvir un faux besoin qui affecte à la finale votre moral : quand vous vous sentez aussi vide avant ou après avoir copulé. Certes, une catégorie de la population est sevrée sans le faire exprès : quand le sexe a déserté votre vie, ce n’est pas forcément de votre volonté, mais le combat a cessé faute de combattant et personne n’est tombé dans vos filets pour copuler, depuis un certain temps. Cela dit, une femme trouvera plus facilement un amant, si elle se donne à n’importe qui, alors que les hommes doivent plus « patiner ». Est-ce une bonne idée d’envoyer une photo en gros plan de votre zizi en érigé au deuxième message échangé sur les sites de rencontres ou les réseaux sociaux ? Il y a mieux comme argument de séduction !

Vous « baisez » pour remplir un vide, alors que tout ce que vous voulez, c’est de l’affection, des bras qui vous entourent et qui vous rassurent en échange d’une pénétration ou/et d’une fellation… Le pire, c’est qu’une fois l’affaire faite, il remonte son pantalon et disparaît : pas de bras, pas de réconfort, rien de ce que vous souhaitiez en retour. Idem pour celui qui croit que la belle en détresse sexuelle va lui être reconnaissante parce qu’il l’a nourrie ce soir-là, y mettant tout son cœur, son corps et les formes dans l’espoir de la prendre pour la vie, dans ses filets. Elle ne donnera pas suite non plus, repue et ayant déjà dans la tête sa prochaine proie. Comment vous sentez-vous après avoir servi de poupée gonflable ou de vibrateur sans électricité ?

Arrêter le sexe quand il n’a ni queue ni tête et qu’il vous apporte un orgasme (ou même pas !) de quelques secondes lors d’un « coït rapidus » serait-il une sage décision ? Cela vous permettrait de réfléchir à la différence entre « baiser » (relations sexuelles névrotiques pour assouvir un besoin qui n’est pas forcément comblé) et faire l’amour : pour faire l’amour, il faut s’aimer soi, aimer votre partenaire et réciproquement. Voilà ce qui est réellement nourrissant. Bien sûr, vous pouvez également « faire la sensualité » (avoir du beau sexe entre adultes consentants, les deux ont du plaisir, mais aucun sentiment), mais ça va un temps. C’est comme apprendre l’équitation sur un cheval de bois à bascule et ne jamais en monter un vivant. Le fin du fin, c’est faire l’amour, une fois que vous aurez terminé la « baise », expérimenté la « sensualité » et que vous souhaiterez connaître le Nirvana (Cf. « Gagnez au jeu des échecs amoureux » écrit par Pascale Piquet chez Béliveau éditeur).

J’ai connu l’ivresse de la séduction à travers le pouvoir qu’elle vous confère sur le sexe opposé : ça m’a fait partir dans la mauvaise direction. Je n’avais pas compris le bien-fondé, ni sur quoi devait reposer une relation intime équilibrée. Un beau jour, j’ai arrêté le sexe et j’ai commencé mes réflexions sur le sujet. De fil en aiguille, j’ai restructuré mes pensées pour comprendre que c’était « faire l’amour » que je souhaitais et les conditions étaient claires : la seule façon d’y accéder, c’était de rencontrer un homme que j’aimerais et qui m’aimerait, ce qui ne m’était jamais arrivé auparavant. Quand les médias, à l’occasion de sujets coquins, me demandaient : « Quel est le fantasme de Pascale Piquet ? » et que je répondais « Faire l’amour avec un homme », connaissant mon passé, ils me regardaient avec des yeux ronds qui formaient deux points d’interrogation. Mais après 11 ans de célibat et d’abstinence, j’ai compris que je voulais accéder à un autre niveau que celui terre à terre du sexe. Je voulais les sentiments profonds qui accompagnent cette fusion. Je les ai ! Et, croyez-moi, c’est une toute autre dimension.

Et vous, continuerez-vous à « baiser » et prostituer votre corps pour remplir un vide ou choisirez-vous, réflexion faite, d’attendre l’amour pour connaître de nouveaux horizons ?

Coaching par Skype & en personne, détails : www.pascalepiquet.com

Dès le premier appel, vous vous sentirez déjà mieux !

Montréal : (00 1) 514 248 7392 / St-Jean-de-Matha : (00 1) 450 886 0585

VOTRE COACHING PRIVÉ À DISTANCE PAR SKYPE
Où que vous soyez dans le monde, Pascale peut vous coacher !

Pascale Piquet

Auteure et conférencière

Dès le premier appel, vous vous sentirez déjà mieux :

www.pascalepiquet.com

Sans vous déplacer, recevez un « coaching » dans le confort de votre domicile avec des séances organisées en fonction de votre emploi du temps.

Quoi de plus simple et facile ?

Quels que soient les problèmes engendrés par votre manque de confiance et d’estime (la dépendance affective), vous pouvez les régler rapidement en faisant appel à la spécialiste qui, grâce aux nouvelles technologies, vous rendra visite dans votre salon !

L’efficacité du coaching par skype a été démontrée et les résultats sont très satisfaisants : quel soulagement de pouvoir faire appel aux services de Pascale Piquet avec autant de simplicité et facilité. Le bonheur est à portée de votre main, il suffit de le décider et de prendre rendez-vous avec la spécialiste de la dépendance affective qui se tient à votre disposition pour répondre à vos questions.

Le bonheur est un chemin qui se choisit, laissez-moi vous accompagner, même à distance !

Appelez Pascale au:
00 1 450 886 0585

Dépendance affective et dépendance amoureuse…
Vous reconnaissez-vous ?

VIE PRIVÉE

  • Vous vivez avec une personne qui vous fait souffrir, mais vous n’avez pas la force de la quitter ?

  • Vous venez de rompre, que ce soit votre décision ou la sienne, et vous souffrez le martyre ?

  • Vous souhaitez rompre mais vous ne savez pas comment vous y prendre ?

  • Vous êtes célibataire et la solitude vous pèse car vous désespérez de trouver la bonne personne ?

  • Vous ne voulez plus de relations affectives car vous avez déjà trop souffert ?

  • Vous êtes prisonnier d’un triangle amoureux, que vous soyez l’amant, la maîtresse ou que ce soit vous qui trompiez votre partenaire ou elle/lui qui entretient une relation avec une tierce personne et vous voulez en sortir ?

  • Vous vivez de l’insatisfaction chronique, vous traînez une tristesse depuis votre enfance, dont vous ne réussissez pas à vous débarrasser ?

  • Vous souhaitez améliorer votre situation professionnelle ?

  • Votre vie vous échappe ? Vous cherchez le bonheur ?

  • Vous souhaitez développer votre confiance et votre estime ?

  • Vous aimeriez vaincre la dépendance affective ?

  • Vous souffrez du rejet et de l’abandon ?

VIE PROFESSIONNELLE

  • Vous subissez du harcèlement au travail ?

  • Vous avez peur de tomber en épuisement professionnel (burnout) ?

  • Vous éprouvez des difficultés d’intégration dans votre équipe de travail ?

  • Vous souhaitez apprendre à manager une équipe ou développer vos habiletés dans ce domaine ?

  • Vous avez des difficultés à trouver un emploi stable ?

  • Vous désirez changer d’orientation professionnelle ?

  • Vous avez des difficultés à vous faire respecter ?

  • Vous souhaitez apprendre à résoudre les conflits ?