La crise financière de 2008 a mis l’assurance crédit sur le devant de la scène. Face à l’augmentation exponentielle du nombre d’impayés, les entreprises ont massivement souscrit des assurances risque client.
Parallèlement, les garanties avaient alors quelquefois baissé, obligeant les Finances publiques à intervenir pour soutenir les compagnies d’assurance trop fortement mises à contribution.
Les temps étant redevenus plus cléments (jusqu’à quand ?), l’assurance risque client a retrouvé des niveaux de garanties tout à fait acceptables.
L’assurance crédit : rappel du principe
Une facture est émise. Si vous avez souscrit une assurance client, le recouvrement de cette facture est garantie en cas de défaut de paiement. L’accompagnement est à 3 niveaux : préventif, par des enquêtes sur l’état financier des sociétés avec lesquelles vous souhaitez faire affaire ; correctif, par des procédures de recouvrement amiable puis judiciaire ; palliatif, par l’indemnisation (jusqu’à 90% des sommes dues) en cas d’échec du recouvrement.
Le coût de l’assurance risque client peut être forfaitaire ou fonction du CA de l’entreprise. Une assurance client comme la SFAC propose en effet les deux solutions, privilégiées par les entreprises par rapport à leur cas particulier.
Face à l’incertitude de la conjoncture économique, politique et sociale, il est aujourd’hui primordial de bénéficier d’une couverture poste client optimale. La non solvabilité est devenue « monnaie courante » et peut conduire à des catastrophes (faillite, liquidation…) si elle n’est pas étroitement surveillée. Inutile de rappeler que les créances clients équivalent à près de 40% des actifs d’une société. Comment une société peut ne pas assurer plus d’un tiers de son actif ? C’est absolument impensable et, pourtant, combien d’entreprises courent-elles ce risque inconsidéré.
Recouvrer ses impayés, c’est garantir ses actifs
Lutter contre les impayés passe par le recouvrement dès l’échéance de la facture restant à devoir. Cette démarche permet des indemnisations plus rapides, particulièrement intéressantes pour votre trésorerie. Vous pouvez désormais vous intéresser à votre cœur de métier, sans vous soucier des conséquences de tel ou tel contrat âprement négocié. Stratégique quand on sait que près d’un cinquième des faillites est du aux défaillances de paiement. Confier son assurance risque client à des compagnies telles que la SFAC autorise la pérennité de son entreprise, même en pleine conjoncture défavorable.
