chemine…

Les mathématiques, l’art et la méditaion sont les trois piliers sur lesquelles se fonde mon existence. tout est nombre et Dieu est le grand mathématicien de l’univers.  

Chaque part de ce que nous appelons  hasard dans la création artistique, n’est en fait que l’interaction de jeux mathématiques complexes qui apportent leur quote part à l’oeuvre en devenir. 

le hasard n’existe pas et c’est d’ailleur ce que les mathématiques conventionnelles démontrent,  » Dieu ne joue pas aux dés » il semble cependant le faire et notre entendement limité s’y perd…

 

Créer c’est organiser l’espace et le temps ou le temps et l’espace, musique, peinture ou sculpture, synesthésies des arts dans un fusionnement des dimensions, à la recherche de l’absolu, une bien belle quête..  

Un arret hors du temps et de l’espace,  c’est la méditation… profonde retrouvaille avec l’être intérieur, cette belle âme humaine dont nous voyons si peu la lumiére et qui pourtant rayonne toujour  sur le monde des hommes…

Se ressourcer à la quintescence de l’être; à ce qui fait de nous des Dieux enfermés dans des corps de bêtes;  là est pour moi le secret de ce qui se crée de beau, de grand et pourtant de si simple qu’il s’illumine comme un enfant à traver nos  oeuvres les plus modestes.

 

Passer quelque chose du genie des nombres, qui construisent à chaque souffle l’univers dans l’ harmonie d’une beauté dont l’essence nous fascine, cette beauté chaleureuse qui nous fait homme dans le grand tout.;  c’est donner à la vie cette dimension cosmique dont nous ne devons pas faire l’economie, faute de se perdre dans la terreur du neant..

 

Ansi se poursuit peu à peu le chemin qui vaut mieux que le but dont nous ne savons rien…mais éspérons tout…

Cheminons donc cherchant sans relache la belle simplicité de l’art, son emotion forte, architecturé d’inaccessibles geometries, pénétré de l’esprit des couleurs des sons et des formes, respiration de l’infini, cerclé de lumiére, prisonnier de la toile, mais  libérez par nos sens dont le plus beau fût imagé par st Ex : 

« on ne voit bien qu’avec le coeur »