Premièrement, je ne crois pas qu’il y ai réellement des gens qui ne pourront pas poursuivre leurs éducations à l’université. Voici pourquoi : c‘est la classe moyenne qui sera touchée par la hausse des frais de scolarité, ça, tout le monde s’entends pour le dire. Hors, la classe moyenne au Québec (et dans tous autres pays industrialisés) vie au dessus de ses moyens. Les ménages québécois vivent dans des maisons qu’ils ne peuvent pas se payer, se promènent des voitures qu’ils n’ont pas les moyens de se procurer et font des voyages qu’ils ne peuvent se permettre. La société ne sait plus économisé et, avec le crédit, c’est de pire en pire. Certain me diront qu’il est faux d’affirmer que tous se vivent ainsi, mais pourtant, ils dépensent. Un étudiant moyen ( classe moyenne donc ) possède un forfait de cellulaire à 42 $ / mois et va veiller au moins une fois par mois, pour y dépensé environ 40$. Ce sont donc, à mon avis, des dépenses équivalent à au moins 82 $ / mois qui pourrais être sauvé. Ce que je souhaite, c’est obtenir une responsabilisation social. Si tu dois payé pour certains de tes services, en étant jeune, tu comprends mieux la valeurs de ce service et tu apprends davantage à économisé ton argent, c’est l’exemple typique des enfants rois qui, une fois adulte, dépense tout.
Puis, je trouves qu’au Québec, nous sommes chanceux, nous avons gagné à la loterie. Certes, certain gagnant du 6/49 reçoivent 18 millions, d’autres seulement deux, mais iront-ils se plaindre ? Bien sure que non! En étant né ici, et non ailleurs dans le monde, j’ai eu accès à l’éducation et au soins de santé gratuit. Jusqu’à mes 18 ans, ma majorité, je n’ai, ou mes parents n’ont, jamais eu à déboursé quoi que ce soit dans ces deux domaines, ou presque. Le gouvernement paie présentement 87% de la valeurs des études supérieurs, en moyenne, je ne comprends pas où il y a matière à se plaindre. Je suis adepte de cette sage parole de John F. Kennedy, « Ne vous demandez pas ce que votre pays peut faire pour vous mais ce que vous pouvez faire pour votre pays ». Il serait peut-être temps , en temps que citoyen, de contribué à la richesse de notre pays, plutôt que de mendier encore et encore.
Ensuite, je ne crois pas que l’accès aux études est avantageuse pour une société. Dans les provinces canadiennes où les études sont les plus chers, elles ont un taux de décrochage inférieur au Québec, un taux de participation et de diplômation supérieur au Québec, sans vraiment avoir de salaire moyen plus élevé… Il est donc faux d’affirmer que le fait de payer plus cher des études feras fuir les étudiants. Au contraire, les statistiques tendent à montrer que les étudiants abandonneront l’école davantage.
Par exemple, dans les pays où l’éducation est gratuite, ou même ceux où ils sont payé pour étudié, le taux de diplômation est faible. La raison est fort simple : l‘être humain fait plus attention à ce qu’il obtient par sacrifice. Un iPhone (500$) seras plus précieux qu’un MP3 (30$). Le sacrifice engendre un engagement, c’est inévitable. Si nous demandons donc à nos jeunes de participé financièrement à leurs études, ils seront plus déterminé à les continuer, pour ne pas gaspiller leur investissement. Je vois les études supérieurs comme un investissement puisque, pour un endettement moyen de 14 000 $, un diplômé universitaire gagnera entre 600 000 et 1 000 000 de plus dans sa vie.
De plus, si chaque hausse de frais de scolarité précédente on vu suivre une diminution de la fréquentation des étudiant aux études pots-secondaires dans les années qui suivirent, l’histoire montrent que tout est rentré dans l’ordre en moins de 5 ans, c’est ce qu’on appelle le temps d’acclimatation. Par exemple, lorsque la Playstation 3 est sortie sur le marché, sont coût était si faramineux que peux de gens l’ont acheté lors de la sortie. Puis, lorsqu’ils ont compris que c’était la valeurs réel du produit, à savoir, une console de jeux vidéos avec une lecteur Blu-ray, les ventes ont moussé. Les étudiants s’habitueront au prix des études lorsque l’augmentation sera terminé et l’inflation rattrapé, puis poursuivis.
Pour ceux qui ne gagneront pas beaucoup d’argent plus tard avec leurs diplômes, par exemple les étudiants en art, je sais que c’est triste, mais ils ne peuvent pas se plaindre qu’ils n’étaient pas au courant, ils sont déjà au courant qu’ils ne feront pas beaucoup d’argent. Si l’argent n’est pas pour toi une priorité, tu ne peux pas exigé à ceux qui en ont fait une priorité de payer pour toi. À un certain moment, tu choisis de faire ce que tu VEUX dans la vie, ou de faire un truc qui ne te DÉPLAÎT PAS, et qui est un tant soit peu payant. Il serait juste que ceux qui choisissent leurs métiers en fonction de l’argent obtienne ce qu’ils veulent, de l’argent. C’est un peu complexe comme point de vue, mais je n’apprécie guère la mentalité « dans la vie on fait ce que l’ont veux ». Parce que, pour moi, il y a les loisirs et le travail. Ceux qui veulent faire d’un loisir leurs gagne–pain doivent faire les sacrifices en conséquence.
Enfin, je crois que la classe moyenne ne devrais pas demander au québécois plus aisés de payer pour elle, car elle fait parti de la classe riche mondial. Suivant cette logique, la classe moyenne québécoise devrait payer pour l’éducation dans les pays pauvre, eux qui n’ont même pas accès à l’éducation de base. Si nous ne dépensions pas pour des conneries en occident, nous pourrions payer l’éducation de base (primaire, voir peut-être secondaire) à la Terre entière. Je ne vois pas pourquoi on lutte pour ne pas payer 7% de plus (20% au lieux de 13%) de la valeurs réelles de nos études SUPÉRIEURS, alors que certain n’ont même pas d’éducation PRIMAIRE.
Pour ceux qui estime l’éducation SUPÉRIEURS comme des ÉTUDES et donc, que cela devrait être GRATUIT parce que c’est un DROIT, je leurs répondrai qu’il s’agit plutôt d’une formation, et donc, qui n’est pas indispensable à l’éducation.
Considérant que l’éducation plus accessible ne forme pas plus de diplômé, et que nous sommes en moyen de payé nos études supérieur (évalué à 8,8 semaines de travail à temps plein chaque année, en 2016-17, alors que nous disposons de 16 semaines de congé, ajouté à cela une possibilité de travail 10h/semaine pendant l’école sans que cela affecte nos études, j’arrive à une possibilité d’amasser environ 12 000 $ / année sans nuire à tes études) je ne crois pas que l’on puisse se plaindre de la hausse. Si nous travaillons, nous participons au système économiques québécois et, en plus, nous avons assez d’argent pour vivre ET se payé des études.
Sinon, je ne crois pas que cette grève peut fonctionné, parce que la majorité des élèves ont peur de perdre leurs sessions. Or, le seul moyen de pression que possède les élèves, c’est cette menace de faire annuler une session, qui coûterais vraiment trop cher au gouvernement. Si les élève « choke » avant le gouvernement, ils perdent. Si le gouvernement « choke » avant nous, étudiant, on doit combler plusieurs semaines d’étude en peu de temps (pouvant allez jusqu’à 8 semaine en 4 par exemple, puisque le mandat des professeur fini le 15 juin). Il peut, par la suite, annoncé une nouvel hausse… Les élèves abandonneront pour ne pas faire une autre session condensé.
Donc, pour moi, cette grève est un boycotte, sans moyen de pression, pour des raisons que je trouves surtout égoïste ou non fondé (beaucoup trop de « Moi je suis étudiant en art et je ne pourrai pas payer mes études), afin d’atteindre une égalité social, mais pas mondial. Je ne trouves pas que l’on se bat pour de les bonnes raisons, et encore moins pour les bonnes causes. Et je crois que je n’ai pas à mentionné les idées stupides de certains manifestants. « Peu importe la raison, bloquer un pont, c’est con ».
Pour finir, si nous demandons aux 10% des plus riches de payé pour tout le monde (parce que c’est de plus en plus vers ce quoi on tend), ces « cerveau » iront placé leurs sièges sociales en Ontario ou déménageront carrément. Faire fuir des cerveaux dans le but d’en créer davantage, ce n’est pas stratégiques, surtout si, comme je vous l’ai déjà dit, nous ne formons pas plus de diplômé.
Pour conclure, c’est sur que j’ai mes revendication, un petit ménage dans le système de gestion des universités (qui est déjà amorcé, avec je crois Concordia qui a obtenue une amende récemment) et un taux lier entre les frais déboursé par les étudiants et la valeurs réelle des études (comme un diplôme en médecine coûte plus cher, ils devraient déboursé plus qu’un étudiant en art.
Voilà, merci de m’avoir lu et j’espère que vous comprenez mes convictions et mes raisons.
Je tiens à mentionner que tout ceux qui votent pour la grève, je vous respecte. Je n’ai pas les même conviction que vous, mais ça, c’est idéologique. Mais ceux qui ne se pointe pas au piquetage, je ne les respecte pas du tout. Ils ont une mentalité que j’aime pas du tout, celle que « Les autres le feront pour moi ». Si tu veux une grève, mais tu ne veux pas te lever le matin pour y participé, je considère qu’en fait, tu ne revendique rien, et je te compte parmi ceux qui ne veulent pas de grève. La même mentalité qu’utilisait certains Baby Boomers (« Quelqu’un plus tard paiera pour ce que j’utilise maintenant ») Nous sommes plus tard, et le problème persiste.
Un étudiant socialement responsable.