LE COUPLE, C’EST MATHÉMATIQUE !

Le couple, c’est mathématique !

 

Pour ceux qui, comme moi, détestent les maths, je vous fais le pari que vous allez comprendre les équations suivantes, symbolisant ce qu’un couple doit être et ne doit pas être, selon moi. Vous me direz si mes calculs sont justes et si vous trouvez les mêmes résultats que moi.

 

Commençons par ce qu’il ne doit pas être :

 

1 – 1 = 0

 

Le « 1 » symbolisant une personne heureuse et le « -1 » symbolisant une personne malheureuse, vous comprenez que le négatif  l’emporte toujours sur le positif. Je m’explique : si vous êtes une personne enjouée, dynamique et positive et que vous rencontrez un « handicapé du bonheur » qui n’est pas capable de voir le bon côté des choses, qui critique tout le temps, ronchonne, se plaint et ne veut faire aucune des activités que vous lui proposez, je ne vous donne pas six mois avant que vous soyez découragé et aussi amorphe que l’autre. Vous ne pouvez pas rendre positif quelqu’un de négatif. Il doit le faire lui-même. Pire, plus vous lui proposerez de bouger, plus il restera statique ! Bien sûr, vous avez le droit de ne pas me croire : essayez donc ! Ou alors, vous êtes déjà dans cette situation : décrochez ! Vous vous êtes « acoquiné » avec un négatif et il est temps de comprendre que si vous avez attiré votre extrême, Tarzan est pendu à sa liane au-dessus de votre tête ! (Pour ceux qui n’ont pas encore lu mon livre « Le syndrome de Tarzan » (Béliveau éditeur), le personnage de Tarzan symbolise la dépendance affective).

 

Poursuivons avec l’équation suivante :

 

– 1 – 1 = – 2

 

Les chiffres parlent d’eux-mêmes : vous êtes deux handicapés du bonheur associant votre négativisme. Imaginez deux naufragés qui ne savent pas nager, perdus au milieu d’un océan déchaîné et qui s’agrippent l’un à l’autre : ils vont couler deux fois plus vite ! Comment faire pour réaliser que vous êtes un négatif ? Depuis quand n’avez pas :

 

          fait un compliment à quelqu’un,

          eu une crise de fou-rire,

          prit plaisir à faire quelque chose,

          sourit,

          fait plaisir à quelqu’un

          rendu service

          considéré tout ce que vous avez de beau dans votre vie,

          remarqué les qualités des personnes qui vous entourent,

          joui de la vie 

 

Au contraire, vous souffrez, vous êtes la victime de tout le monde, vous vous « bouffez le nez » avec la personne qui partage votre vie, que vous critiquez à longueur de journée, vous vivez de la frustration, de la colère, de l’injustice. Tarzan a pris possession des lieux et dort entre vous : Allumez ! Vous n’avez plus accès au plaisir ni à la joie car on ne vous les a peut-être jamais enseignés ou on les a étouffés. Votre brouette est tellement chargée de tout de que les autres vous font porter, que les roues se tordent sous le poids de la charge : il y a longtemps que vous ne pouvez plus la soulever. Pire, vous vous enfoncez plus profondément dans le sol chaque fois que vous essayez ! Souvenez-vous que vous n’êtes pas responsable de vos mauvaises programmations, cependant vous êtes responsables de ne pas les déprogrammer quand elles vous font souffrir ou/et font souffrir les autres.

 

 

Un couple, ce n’est pas non plus :

 

1 + 1 = 1

 

La fameuse fusion que beaucoup me brandissent sous le nez : ça sent la dépendance affective à 100 kilomètres à la ronde ! L’un qui se fond dans l’autre, Desperado devant l’Eternel et l’autre Trou noir affectif assoiffé de sang et d’oxygène ! Vous ne vivez, ne respirez, ne jouissez qu’à travers l’autre, accroché à lui comme à une bouée de sauvetage : je n’existe plus sans toi ! Quand l’autre vous laisse tomber, c’est la panique à bord, car vous ne savez pas ce que vous aimez ou n’aimez pas puisque vous étiez dans les chaussures de votre partenaire de névrose : l’ombre de son ombre ! Alors vous venez me voir, un énorme point d’interrogation dans les yeux, désarticulé, anéanti, incapable de respirer par vous-même. Demandez-vous comment vous réagiriez si votre conjoint s’en allait. Si vous ressentez une profonde terreur, si vous croyez qu’il ferait nuit tout le temps, que vous tomberiez dans un immense vide sans fond, que vous ne seriez plus capable de fonctionner, vous avez réussi le test haut la main : vous êtes en dépendance affective !

 

 

Et enfin mon équation préférée :

 

1 + 1 = 2

 

Deux personnes affectivement autonomes, heureuses chacune de leur côté et qui, quand elles sont ensemble, additionnent, voire multiplient leur bonheur. Vous avez les mêmes croyances, le même mode de vie, le même rythme : si vous croyez en vous, ayant confiance en l’Univers et que vous êtes dynamique et explosif, ne vous « acoquinez » pas avec une personne qui manque de confiance, qui ne croit en rien et qui est lente et amorphe. Vous me suivez ? Je sais que vous aimez les contes de fées où les princes épousent les bergères et les princesses les bergers, mais dans la vie, ça ne marche pas. La différence d’éducation, d’instruction, le niveau de vie, la maturité, les perspectives d’avenir, tout peut vous séparer. C’est la névrose qui va vous rapprocher : ce sera votre seul point en commun. Je sais, plusieurs veulent m’étrangler quand je tiens ce genre de discours, mais j’ai payé pour apprendre. Aller chercher quelqu’un de votre rang ou un petit peu plus élevé, mais si vous choisissez l’opposé, au bout de quelques temps, les différences vous rattraperont et vous taperont sur les nerfs. Entendons-nous bien, je parle d’être dans la même énergie et avoir la même vision de la vie. Il peut y avoir une différence de revenus financiers, cependant vous aurez la même volonté de travailler (vs l’un qui se repose financièrement sur l’autre) et vous aurez les mêmes habilités à en gagner et à en être fier. C’est une équipe qu’il faut former et non une situation de remorquage ! Une femme au foyer forme une très belle équipe avec son conjoint : elle se consacre aux enfants, à leur éducation, veille à leur bien-être, ainsi qu’à celui de son conjoint pendant que celui-ci rentre de l’argent et apprécie, l’esprit libre de se consacrer entièrement à son travail, tout ce que son épouse fait à la maison. Ca c’est une belle équipe ! Bien sûr, il consacre également du temps à sa famille, sachant faire la part des choses. Et si l’une n’a pas de revenus, l’autre ne le remorque pas : chacun fait ce pour quoi il est doué et ils se complètent à merveille.

 

Afin de vous proposer un exemple concret, je prendrai mon cas : je veux le même que moi : qui est stable financièrement, cultivé et éduqué, curieux de la vie et entrepreneur, prêt au bonheur à deux, pour l’avoir vécu en tant que célibataire. Avez-vous remarqué que je parle de stabilité financière ? Je n’indique aucun niveau de revenus. Je me suis beaucoup endettée par le passé pour « sponsoriser » des conjoints qui se laissaient vivre, à mes crochets. Cette époque est révolue. Mais vous qui n’avez pas le même niveau de revenus que votre conquête et qui essayez de la suivre dans ses voyages et ses activités, en combien de temps allez-vous, ou vous êtes-vous ( !), endetter ?! Dans une belle relation équilibrée, si l’homme a plus d’argent que sa conjointe et qu’il lui offre des voyages et bien d’autres choses car il en a les moyens, j’applaudis des deux mains ! Il partage son abondance avec la femme qu’il aime. Si c’est Madame la plus riche est qu’elle agit à l’identique, gâtant son mari, pourquoi pas ? Mais quand s’installe une relation de domination, quand l’argent achète l’autre ou le corrompt, Tarzan se cache derrière les rideaux de la chambre à coucher !

Bien sûr, quand j’expose mes calculs en conférence, il y a toujours un petit malin qui me dit  que 1 + 1 = 3 symbolisant 1 personne heureuse + 1 personne heureuse = 2 personnes heureuses et le couple (3) et je suis très confortable avec cela : du moment que le résultat en égal ou supérieur à 2 !

 

J’aimerais, pour finir, vous rappeler quelques principes : Vous n’êtes responsable de personnes (en dehors de vos enfants mineurs) que de vous-même et vous ne pouvez sauver personne que vous-même. Si vous roulez à 100 kilomètres/heure et que vous souhaitez former un couple, prenez quelqu’un qui roule à la même vitesse. Et quand vous croisez un beau ténébreux qui souffre ou une belle en détresse, laissez-les sur le bord de la route, il y a des dépanneuses pour cela : un bon coach ! Si vous êtes heureux et que vous voulez être heureux en couple, choisissez quelqu’un qui est heureux aussi. Quant aux fameux SCC (Sacrifices, compromis, concessions), je vous engage à les laisser de côté. Trouvez une zone de confort, un modus vivendi gagnant/gagnant avec la personne que vous aimez, au lieu d’accepter l’inacceptable ou ce qui vous dérange, pour garder l’autre. C’est de la graine de frustration que vous êtes en train de planter et un beau jour, vous vous retrouvez avec un baobab au milieu du salon !

 

Souvenez-vous de cette phrase simple et pleine de bon sens : qui se ressemble s’assemble. Allez chercher la même personne que vous, un Roi ou une Reine, si vous considérez être un Roi ou une Reine (qu’est-ce qui vous en empêche ?!), choisissez le meilleur des hommes ou la meilleure des femmes pour vous et… laissez donc tomber les Deux de Pique névrosés. Faites monter les enchères, vous valez bien mieux que ça !

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Pascale Piquet

Auteure et conférencière

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Dépendance affective et dépendance amoureuse…
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  • Vous souhaitez rompre mais vous ne savez pas comment vous y prendre ?

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  • Vous subissez du harcèlement au travail ?

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  • Vous éprouvez des difficultés d’intégration dans votre équipe de travail ?

  • Vous souhaitez apprendre à manager une équipe ou développer vos habiletés dans ce domaine ?

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  • Vous désirez changer d’orientation professionnelle ?

  • Vous avez des difficultés à vous faire respecter ?

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