une roue qui tourne…

La société a été pourrie par notre faute.
Nous l’avons laissé à l’abandon, et nous avons suivi des règles que l’on nous a donné sans donner notre opinion.
moi, je croyais que mon pays était celui des droits de l’homme, me serais trompée ou m’aurait on menti?
Je pensais que la liberté d’expression était acquise, mais la question se repose.
La faim et la violence sont devenus nos moteurs pour avancer dans la vie et grace à ca on se fait du fric sur notre dos.
Lors de mes consultaions, ce n’est plus l’amour et la famille qui inquiètent mes clients, mais l’avenir professionnel, la stabilité de l’emploi, la situation financière ou la chance au loto, c’est déprimant.
Voilà où nous en sommes aujourd’hui, nous récoltons ce que nous semons.
Ainsi, nous parlons de bon ou mauvais karma, sauf que là ce n’est plus individuel mais général. C’est une justice spirituelle.
Là où ca cloche au niveau individuel, c’est quand on fait tout pour que ca aille, quand on se préoccupe du bien être des autres, on rend service, on fait des concessions, on fait même des sacrifices, et qu’on s’en prend plein la gueule quand même…
Alors, on fait une pause, une rétrospection, on se demande qu’est ce qu’on a fait de travers et à quel moment?
Un exercice assez compliqué, j’avoue…
Bon courage a vous qui êtes sans cette passe…sincèrement.