« Tu prends cette foutue porte et tu fonces! »

Attablée au Monrouge, modeste restaurant tenu par un homme si gentil qu’il en est émouvant, je feuillette un magazine féminin et tombe sur l’interview d’un mannequin international qui confie que son leitmotiv est le suivant : « tu prends cette foutue porte et tu fonces, sans (trop) réfléchir »… Instinctivement, j’ai eu l’impression qu’elle s’adresse à moi.

Le 11 novembre, une nouvelle vie s’offre à moi… Big Ben, Trafalgar, Picadilly et bière à gogo… Londres, je t’aime. Il est tant de m’affranchir du passé, de prendre mon indépendance, D’AVOIR UN BUDGET, de vivre MA vie sans culpabilité et sans jugement et de me soigner… ( c’est une autre histoire, je vous en dirai plus par la suite). Oublier O., m’éloigner pour aller mieux et non « fuir ».

 

Emporter le meilleur, laisser le pire derrière soi…  vers le chemin de la maturité?