SOUFFRANCES : JE NE SUIS PAS HEUREUX, ALORS QUE J’AI TOUT POUR L’ÊTRE – POURQUOI ?!
Pourquoi êtes-vous malheureux, souffrant d’insatisfaction chronique, de tristesse, d’anxiété, alors que votre Environnement (1er Niveau Logique) est tout à fait épanouissant ? Vous avez parfois le bon job, un beau logement, peut-être un conjoint formidable, mais quelque chose coince… Vous vous tapez alors sur la tête, comme le fait d’ailleurs votre entourage qui vous dit (ce que vous vous dites aussi !) : « Mais tu as tout pour être heureux ! » Et vous faites la liste de tous les malheurs de la Terre pour vous stimuler : rien n’y fait. Le malheur des uns ne fait pas le bonheur des autres. Vous tentez alors de faire le tour de tout ce que vous avez de beau dans votre vie, ce qui est une excellente stratégie, sauf quand la souffrance prend ses racines dans l’enfance, par mauvaise programmation… Résultat : vous culpabilisez encore plus, ce qui rajoute à votre peine, puisque vous n’êtes même pas foutu, avec tout ce que vous avez, d’en profiter !
Rassurez-vous : si vous êtes dans ce cas (ou si un proche l’est), ce n’est pas votre responsabilité. On s’entend que j’exclus les pleurnichards nés et les « Calimero » ! Je parle uniquement de vous, qui éprouvez, alors que vous cherchez à le régler, de l’insatisfaction chronique, une profonde tristesse ou encore de l’anxiété, qui sont autant de symptômes, « mines de fond » dans l’océan de votre enfance, qui remontent à la surface, quand vous vous y attendez le moins. Incapable d’accéder à la joie, à la gaieté, par mauvaises croyances inculquées par vos parents, dans votre enfance, parents tellement négatifs et anxieux que vous avez grandi dans une noirceur dont vous ne pouvez plus vous débarrasser. Cette lourdeur vous suit dans chaque situation, chaque événement, même gai, car on ne vous a pas appris à être heureux, à apprécier la vie, à jouir de la moindre minute de sérénité.
Quand on dit que l’argent ne fait pas le bonheur, c’est vrai. Qu’il y contribue, c’est vrai aussi. Il fait partie de l’abondance. Parmi ma clientèle, j’ai des personnes très riches, connues, en pleine ascension professionnelle, mais qui sont incapables de se réjouir de toute cette réussite. Incapables de comprendre pourquoi ils sont ainsi, jalousés par les autres, critiqués aussi, ils traînent comme une âme en peine une souffrance qu’ils ne sont pas capables d’expliquer. Pourtant, c’est simple : dans leur enfance, personne ne leur a appris à être heureux, personne ne leur a enseigné la joie, mais plutôt les responsabilités, surtout celle du bonheur des parents et, parfois, des frères et sœurs, le devoir, les obligations, la peur d’être frappé par un père alcoolique ou une mère dépressive (ou l’inverse !). Souvent, un père très autoritaire, parfois violent verbalement ou physiquement vous a mis sur le qui-vive très tôt, toujours prêt à éviter un mauvais coup ou une mauvaise parole… La perception que vous avez eue de la vie, depuis votre naissance, est que sur Terre, tout n’est que souffrance. Ce que pensaient sûrement vos géniteurs. Ils vous ont simplement transmis leur propre misère, que vous portez aussi.
Quand vous ne comprenez pas ce qu’il vous arrive, alors que tout va bien, quand votre vie bascule, alors que vous aviez tout pour être heureux et que ce mal de vivre vous pousse soudain dans toutes sortes de compulsions, détruit votre couple, vous fait perdre votre emploi, parce que vous n’êtes plus capable de gérer cette anxiété grandissante qui ronge votre âme, vous vous brisez sur les rochers, poussé par une mer déchaînée qui ne vous laisse plus aucun répit. Parce que la souffrance augmente, l’anxiété aussi. Même si vous cherchez à les anesthésier par la médication. Le pire étant de ne pas savoir pourquoi. Eh bien, laissez-moi vous dire que vous n’êtes pas fou, ni ingrat, ni égoïste ou toute autre chose que vous aurez entendue ou que vous vous serez dite : ce n’est pas votre responsabilité d’être ainsi, mais c’est votre responsabilité d’en sortir. Il faut simplement mettre à jour le mécanisme qui enraille votre vie et le faire sauter. La joie de vivre, la gaîté, ça s’apprend. D’ailleurs, vous êtes très doué : quand mon client ou ma cliente apprend pourquoi il/elle est ainsi, il/elle se sent tellement soulagé(e) de ne pas en être responsable ! Puis en déprogrammant ce passé qui sclérosait, la personne laisse chez moi les tonnes qu’on lui faisait porter et qui ne lui appartenaient pas. Elle devient si légère, qu’elle vole vers le bonheur !
La plus grande des richesses, c’est la paix intérieure, la sérénité, être bien dans sa peau ou appelez cela comme vous le voulez : l’extérieur (l’Environnement) doit être épanouissant. Le bon job, le bon logement, aimer votre corps (poids, couleur de cheveux, coupe), ce que vous êtes, avoir le bon conjoint ou être heureux célibataire. Mais vous pouvez être milliardaire, avoir le palais des mille et une nuits, avoir un physique de rêve et tout ce que vous voulez, si vous n’êtes pas bien à l’intérieur de vous-même, tout le reste n’a plus aucun poids dans la balance : vous souffrez, point ! Bien sûr, il y a les pleurnichards, les plaintifs, les victimes et les envieux qui ne sont jamais satisfaits de ce qu’ils ont, car ils en veulent toujours plus : c’est leur besoin de reconnaissance qui les pousse à épater la galerie et comme il y a toujours plus riche ou plus beau, ils passent leurs journées à jalouser, à envier, à ‘bavasser’ sur le dos de ceux qu’ils méprisent d’être au-dessus d’eux. Ne manqueriez-vous pas de confiance en vous, par hasard ? Vous pensez qu’il faut être au-dessus des autres pour mieux régner, pour mieux écraser et vous détestez qu’on soit au-dessus de vous. Il n’y a, au-dessus de vous, que ceux que vous y mettez ! Ça aussi, c’est une mauvaise programmation que de vouloir dominer par tous les moyens.
Cette paix intérieure à laquelle vous êtes nombreux à aspirer, par instinct, parce que vous savez que vous la méritez, elle est le secret d’une vie réussie. Quand elle est bien installée, vous devenez inébranlable, d’autant que vous attirez le positif, puisque vous l’êtes. Je demande toujours à mes clients ce qu’ils attendent de moi : l’un me confia « Je veux que tu m’aides à traverser les épreuves qui vont se présenter sur ma route ». Ce à quoi je répondis « Tu n’en as pas eu assez des épreuves, tu en veux encore ?! ». Sa croyance était (et peut-être que la vôtre l’est aussi…) que dans la vie, il y a TOUJOURS des épreuves ! Ah bon et pourquoi ? Depuis que je tiens mes 6 Niveaux Logiques bien alignés (cf le DVD « Comprendre la Vie »), je n’en ai plus des épreuves : j’ai bien appris mes leçons (que j’ai parfois payées très cher !), j’ai compris où il ne faut pas mettre les pieds, comment gérer ma vie et mon territoire, donc je n’ai plus besoin de prendre des coups sur le nez pour comprendre. J’ai tout compris ! Du coup, il ne m’arrive plus rien de négatif et quand une porte se ferme cela ne signifie pas que c’est négatif, mais l’Univers me montre la voie : ce n’est pas par là qu’il faut aller ! Ne confondez pas « épreuves » et événements reliés à l’usure : une toiture qui fuit, une voiture qui tombe en panne (juste, hier, c’est ce qu’il m’est arrivé !), une plomberie qui lâche, ce ne sont pas des « épreuves » : vendez votre voiture et vous n’aurez plus de problème, louez un appartement et c’est le propriétaire qui s’en chargera. Mais est-ce vraiment ce que vous voulez ?! Une épreuve, à mes yeux, c’est perdre un être cher (par rupture ou décès), avoir une maladie grave, être condamné par les médecins, voir sa maison brûler, perdre votre emploi et ne pas en retrouver, faire faillite, etc. Et encore, laissez-moi vous dire que tout cela n’arrive généralement pas aux personnes positives et bien souvent ces événements vous remettent les pendules à l’heure et vous recentrent. Quand j’ai failli mourir, piétinée par tout un peloton de chevaux, pendant une course à Maisons-Laffitte, quand je me suis retrouvée en soins intensifs, j’ai compris que la vie était belle et que j’étais en sursis : ça m’a recentrée ! D’autant plus que je n’en ai gardé aucune séquelle, ce qui est un véritable miracle.
J’entends souvent cette phrase « les gens heureux sont heureux partout ». Faux : les gens heureux sont heureux où ils sont heureux : dans le bon Environnement. Si je faisais la bêtise de retourner vivre en France, pour suivre un compagnon, je ne serais pas aussi heureuse là-bas que je le suis ici, sur ma belle propriété de St-Jean-de-Matha et à Montréal. Mon pays, c’est ici maintenant, au Québec. Donc, pas question pour moi de retourner vivre en France. Y faire des séjours, oui. Imaginons que le Canada décide d’expulser tous les émigrés, même ceux ayant la citoyenneté canadienne (c’est mon cas !) : je devrais donc quitter le pays. Là, c’est une obligation, alors, puisque je suis bien à l’intérieur de moi, je trouverais un autre endroit qui me satisfera et contribuera à mon Environnement, parce que j’y serais obligée. Mais je ne retournerais pas pour autant vivre en France ! Faites-vous la différence ? Si la vie vous oblige à aller ailleurs, vous trouverez un équilibre ailleurs, mais pas n’importe où : vous choisirez en fonction de ce qui sera épanouissant pour vous, comme lieu géographique.
Alors si vous avez réalisé que quelque chose vous empêche d’être heureux, même si vous avez tout pour l’être, sachez que vous pouvez vous débarrasser du fardeau qu’on vous fait porter, dans votre brouette, (un chapitre du « Syndrome de Tarzan » s’intitule « Pousse ta brouette et tais-toi ! ») et que vous ‘trimbalez’ depuis trop longtemps. Vous pouvez la décharger (si, si, demandez à mes clients !) et la laisser là, car vous n’en aurez plus besoin : plus personne ne pourra mettre, dans votre brouette, ce qui lui appartient, ni ne pourra monter dedans, parce que c’est bien ça qui entrave votre bonheur. Vous libérer de votre brouette, c’est votre responsabilité et, croyez-moi, c’est facile à faire !
Commandez le nouveau DVD « Comprendre la Vie », et téléchargez le guide « Arrêtez de souffrir, construisez votre bonheur », pour développer confiance et estime chez vous. En vente exclusive sur le site www.pascalepiquet.com
Prenez, une fois par jour, une dose de bonne humeur: suivez Pascale Piquet sur Twitter ! Abonnez-vous : www.twitter.com/pascalepiquet