« Ce n’est pas le diable qui fabrique les monstres, mais les monstres qui ont fabriqué le diable pour cautionner leurs immondes barbaries » Pascale Piquet
Ayant grandi dans la religion protestante (je parle du protestantisme initié par Calvin et Luther et non des « ramifications » ou devrais-je dire des « gourmands » ou « drageons » qui ont poussé partout…), aujourd’hui « pascalepiquétiste » à tendance bouddhiste (comprendre : j’ai ma propre spiritualité), j’ai appris que le ‘diable’ n’existe qu’en chacun de nous : le Bien et le mal sont la dualité qui nous habite (le loup blanc et le loup noir, comme l’évoquent les Amérindiens) et nous les nourrissons. Les personnes malveillantes et monstrueuses se revendiquent toutes du satanisme (trop facile !), alors que les personnes bienveillantes ne se rassemblent pas forcément sous la bannière de Dieu : ce qui les réunit, c’est le respect de soi et le respect de l’autre, le respect de l’Humain, le tout dans la Lumière.
De l’âge de 11 ans à l’âge de 15 ans, bien qu’ayant un statut de protestante, je suis allée en pension chez les religieuses catholiques. J’en suis ressortie avec la peur du diable. Cependant, imprégnée des apprentissages du catéchisme protestant, j’ai réussi à m’en défaire et à me ramener à la raison, après être sortie de cette pension.
Je vous pose une seule question : dites-moi pourquoi les catholiques ont des prêtres exorcistes et des paroissiens possédés du démon, alors que dans la religion protestante, il n’y a ni l’un ni l’autre ?
De mon point de vue de coach, je ferai référence à ce que j’enseigne à mes clients en coaching et vous en tirerez les conclusions qui feront écho en vous : « Ce que tu crois existe. Ce que tu ne crois pas n’existe pas ». Me croyez-vous ?
www.pascalepiquet.com Coach certifiée – La spécialiste de la dépendance affective & du Bonheur !