La construction européenne qui se dessine sous nos yeux et que l’on a imposée aux français, est loin d’avoir donné les résultats satisfaisants et prometteurs, que l’on avait pourtant espérés dès le début à son sujet. Beaucoup sont déçus, et les multiples conséquences néfastes résultant des décisions prises à Bruxelles, ont partagé les français en deux camps désormais. Il y a ceux qui sont pour une autre Europe, et ceux qui considèrent bien au contraire, que les 27 états membres de l’union européenne, sont devenus une Babel ingérable, dont il faut sortir au plus vite par l’application de l’article 50 du traité de Lisbonne.
C’est une bien fâcheuse position où d’un coté nous avons des europhiles, qui veulent une autre Europe, et de l’autre, des eurosceptiques partisans eux, d’une sortie, qui serait la seule solution envisageable à leurs yeux.
Avons nous le choix pour une autre Europe ?
Vouloir une autre Europe, c’est exiger une harmonisation entre les 27 états membres. Pour ce faire, il faut impérativement, qu’il y ait un accord total et sans faille entre tous les états. Dès lors, on voit bien la difficulté que cela entraîne de facto. Et cet accord exigerait également un« nivellement » politique, culturel, sociologique, fiscal, économique… imaginez quelques instants, ce que serait l’étendue de la tâche à accomplir, si on devait demander à l’Allemagne, la locomotive de l’Europe, de simplement céder un peu de sa souveraineté économique, au profit d’autres états membres. Impossible !!… me direz vous, car la mère MERCKEL s’y opposerait farouchement. Il est aisé de comprendre, que dans cette union européenne, si chacun tire la couverture à soi, c’est que les différences d’intérêts sont multiples et trop grandes, et ce, sur de nombreux points. Autant dire que jouer le jeu de la coopération est quasiment impossible, tant les égoïsmes nationaux et la concurrence, sont forts chez les « démocraties » européennes. Les 27 états membres ne sont donc pas prêts au partage, et que ce soit la dictature ou l’austérité qu’on leur impose, n’y changera rien. Ce qui est vrai par contre, c’est que l’UE n’est qu’une prison des peuples d’Europe, qui nous conduit vers un autre dictature imposée par l’empire yankee : « l’union transatlantique ». En toute logique, si l’UE est une première étape vers ce grand marché, il n’en demeure pas moins vrai que c’est un échec patent, parce que ses fondements même, reposent sur une belle utopie. Gageons que pour la suite, il serait bien malvenu de persister dans l’erreur et manifestement de ce coté là, les événements semblent plutôt donner raisons aux eurosceptiques .
Le pire est à craindre de la monnaie unique.
Parlons de l’Euro… qui n’est pas autre chose qu’une arme de destruction massive de la souveraineté des peuples d’Europe. Une union monétaire entraîne inévitablement une concurrence croissante entre les nations, avec une férocité sans limite. Et sur l’ensemble de la zone euro, la comparaison des prix est instantanée, ce qui augmente la compétitivité, accroît de façon brutale les délocalisations sauvages, même dans les secteurs compétitifs, obligeant les gouvernement a plus de flexibilité et de compromis sur l’emploi. Dans cette logique, nous nous apercevons que c’est le pire qui est à craindre, car cette union est bâtie non pas pour le social et le bien-être des nations européennes, mais uniquement pour l’économie marchande. En outre, depuis que l’euro existe, nous avons des difficultés croissantes pour l’achat de biens de consommation courants et encore c’est sans compter que nous sommes bridés par le droit européen, dans ce mondialisme qui s’impose à nous.
L’urgence d’une sortie de l’Europe est à envisager.
Et franchement lorsque l’on constate l’étendue des dégâts a mettre au compte de l’union européenne, nous n’avons pas d’autres choix que d’en sortir ?… car ce gigantesque bourbier qu’est devenu l’UE, mine la stabilité des nations d’Europe et les contraints à la survie économique. L’Union européenne n’est qu’un vaste échec, parce que ses fondements reposent avant tout sur l’égoïsme marchand débridé et sans humanisme.
L’union Européenne a semé dans l’esprit de beaucoup de français le désarroi, entraînant une désagrégation sociale, de l’exaspération et un amer désenchantement. Alors, dans une France déjà lourdement obérée, cette situation de plus en plus prégnante, contribue à la mise en place d’une dynamique de rejet de l’UE, qui rend caduque tout espoir d’une autre Europe. Nous sommes entré inévitablement dans une logique de défiance vis à vis de ce que les technocrates Bruxellois nous imposent. Ce qui chez beaucoup, se traduit par une rupture avec le modèle européen. Et puisque des non élus décident à notre place et que les français n’ont pas droit au chapitre, inévitablement apparaît une frange croissante de la population aux sentiments nationalistes, souverainistes et patriotes.
Alors si l’Europe est le problème, voici la solution…
C’est pourquoi, fort de ce constat, François ASSELINEAU fondateur de l’Union Populaire Républicaine(UPR), veut redonner espoir aux français. Dans le souci constant d’une éducation populaire, avec pédagogie, il informe, il explique et dit la vérité sur les vrais enjeux auxquels notre pays est confronté. Et ce qu’il dit est étayé par des faits avérés et sourcés, dénonçant la propagande mensongère, si souvent diffusée dans les médias sous contrôle. Intéressez vous à cet homme, il est certain qu’il vous réconciliera avec la politique.
Le temps presse !… il est de notre devoir à nous les Français, de reprendre notre destin collectif en main. Ce message s’adresse à TOUS LES Français, quelque soit leur sensibilité politique, leur appartenance religieuse… les enjeux sont énormes et se jouent en ce moment même. Pour en savoir plus : http://www.u-p-r.fr/