Photos, histoires, réflexions et liens : la réalité est mondiale et les utilisateurs le veulent. Le partage est meilleur parce qu’il nous permet d’être en contact avec un public qui n’est pas seulement virtuel : au-delà de l’écran, les amis, les parents et les étrangers peuvent apprendre à nous connaître. Le partage nous rend plus unis et plus empathiques, mais qu’est-ce qui nous pousse à le faire ?
Parce que le monde partage
Les chiffres parlent d’eux-mêmes : selon des données récentes, Facebook compte jusqu’à 2 milliards d’utilisateurs actifs chaque mois, tandis que sur Instagram, il n’y en a « que » 800 millions et 1,5 milliard sur WhatsApp. Si l’on limite ces statistiques à l’Italie, les chiffres s’élèvent à 28 millions d’utilisateurs qui utilisent Facebook, au moins une fois par mois et 21 millions d’utilisateurs qui se connectent au moins une fois par jour. De plus, le site https://www.parabuscarpareja.com compte des milliers d’utilisateurs.
Les raisons de cette utilisation massive des réseaux sociaux se trouvent dans les racines de l’esprit humain, qui non seulement doit être reconnu par la communauté dans laquelle il est inséré, mais qui veut aussi s’identifier aux uns et se distinguer des autres.
Une étude menée par l’agence Fractl sur les raisons qui poussent habituellement les utilisateurs à cliquer sur « j’aime » ou « partager » du contenu sur Facebook social est éclairante. L’enquête a porté sur un échantillon de plus de 2 000 personnes et, outre le fait qu’il s’agit d’un contenu diversifié, les raisons qui poussent les utilisateurs à le partager peuvent être regroupées en cinq catégories générales.
Divertir le public
48 % des utilisateurs interrogés ont déclaré qu’ils partageaient du contenu sur Facebook pour stimuler leurs amis. Plus généralement, l’objectif se recoupe avec la volonté de susciter l’intérêt du réseau lui-même pour des contenus considérés, subjectivement, comme intéressants dans tous les domaines, qu’ils soient ludiques, culturels ou informatifs.
Se définir soi-même
A chaque action, un utilisateur affirme sa personnalité – au moins virtuelle. 17 % des répondants ont déclaré partager du contenu sur Facebook pour exprimer leurs intérêts, en partageant du contenu lié à des questions qui leur tiennent à cœur ou qu’ils jugent pertinentes. Par le partage, les utilisateurs essaient de communiquer aux autres ce qui est important pour eux et qui l’est. En deux mots : le personal branding.
Renforcer l’empathie
L’utilisateur veut partager … des émotions ! Zuckerberg le sait et réagit en proposant des options dédiées à l’expression de différentes réactions, à la fois en termes de statut personnel et pour laisser un feed-back immédiat au contenu partagé par d’autres.
En fait, les contenus qui exigent une réponse émotionnelle ont une proportion plus élevée de partage ; de plus, les émotions positives impliquent plus d’interactions que les négatives. Vous pouvez aussi partager vos émotions sur www.myseniordatingsite.com
Être utile aux autres
11 % des répondants ont déclaré partager des contenus à des fins éducatives. Le contenu éducatif comprend le partage d’informations ou de contenu pouvant fournir des connaissances aux contacts qui forment un réseau. Le pourcentage d’utilisateurs qui partagent à des fins d’information peut sembler relativement faible, mais l’éventail s’élargit considérablement, en parlant plus généralement de « contenu utile » : 55% des utilisateurs ont déclaré vouloir partager quelque chose qui sert aux autres.
Notre référent Olivier Bonnet nous cite l’exemple des influenceurs, dont le but n’est pas d’enseigner, mais plutôt de partager des informations, un mode de vie, une pensée qui a apporté des améliorations significatives dans la vie de ceux qui la partagent.
Autres raisons de partager
Par ailleurs, 11 % des répondants ont répondu « autre » : ce groupe comprend ceux qu’ils partagent pour convaincre leurs amis de leurs actions, pour promouvoir la sensibilisation aux sujets sur lesquels ils sont informés, ou même pour savoir ce que leurs amis pensent d’un certain sujet.
De plus, les données, correctement contextualisées, révèlent quelque chose de plus : l’utilisateur veut se dire sans être catégorisé, ni laisser ses motivations et son psychisme se dévoiler.