Pour Noël, combien de cadeaux de Noël sous le sapin ? Et à quel prix ?
Des chiffres inquiétants
Pour Noël, le Québécois dépense en moyenne 791,00$ par année pour ses cadeaux de Noël… sans compter les retardataires qui attendent à la dernière minute, et dépensent 2 000,00$ par année en cadeaux de Noël. Ils ne sont pas nombreux, vous croyez? Figurez-vous qu’ils représentent 67% des Québécois… inquiétant, n’est-ce pas?
De leur côté, les Canadiens dépenseront 20 milliards de dollars en cadeaux de Noël… encore plus inquiétant, vous ne trouvez pas?
Peut-on diminuer les dépenses liées aux cadeaux de Noël?
Oui, évidemment, en se posant les bonnes questions :
Devez-vous absolument acheter des cadeaux à tout le monde?
Devez-vous acheter des trucs inutiles?
Devez-vous vraiment acheter plusieurs cadeaux à Monsieur X ou si seulement un ne ferait-il pas tout aussi l’affaire?
La planification
La planification n’a rien de sorcier, et permet de se limiter quant aux nombre de cadeaux à faire et du montant à y accorder. Bref, avant de parcourir les magasins, dressez une liste sur papier des cadeaux que vous devez acheter et des montants que vous allouez à chacun. Allez faire vos achats à l’aide de cette liste. Et surtout, RESPECTEZ À LA LETTRE VOTRE LISTE! Sinon elle ne vous aura servi à rien!
Combien de cadeaux?
En moyenne, les Canadiens offriront des cadeaux à 10 personnes en moyenne, soit 13 cadeaux au total. Fait surprenant : le conjoint est pour la majorité des gens la personne pour laquelle il est le plus difficile de magasiner!
Quels sont les cadeaux les plus populaires?
Les cadeaux les plus populaires sont : les vêtements, les cartes-cadeaux, les certificats-cadeaux, les jouets, les livres, les articles de musique et les appareils électroniques.
Le temps le plus merveilleux de l’année
Malgré tout l’argent dépensé pour les cadeaux de Noël à chaque année, la majorité des gens s’entendent pour dire que le moment le plus agréable des fêtes est le temps passé avec la famille et les amis, et non l’échange de présents.
Il y a matière à réflexion à ce sujet, n’est-ce pas?