Une moustiquaire est un accessoire de protection de choix pour lutter contre les divers insectes. Son efficacité dépend, cependant, d’un certain nombre de facteurs, dont la qualité de la maille, le facteur de respirabilité et également de la qualité des produits d’imprégnation. Pour les adeptes d’expédition dans la forêt, mieux vaut se munir d’un accessoire de tête. Celui-ci se décline en différents modèles, selon le type d’insectes, contre lequel on se protège. Mieux vaut également ne pas se procurer d’un accessoire préimprégné.
Les différents facteurs d’efficacité d’une moustiquaire
L’efficacité d’une moustiquaire est à attribuer à trois facteurs bien définis. En premier lieu, il y a la qualité de la maille utilisée. Celle-ci doit alors être bien serrée, pour qu’aucun insecte ne puisse se filtrer. Le facteur de respirabilité vient en second lieu. Pour cela, il suffit que l’accessoire soit percé de jour. De cette manière, la circulation de l’air à travers les mailles sera optimisée. Les utilisateurs seront ainsi à l’abri des risques liés à l’insuffisance d’air, surtout si un bébé dort avec ses parents. Et enfin, et non des moindres, il y a la qualité et la dose du produit imprégné. Ces deux critères participent pleinement à l’assainissement de l’air à l’intérieur de l’accessoire, outre la vocation première des produits qui est de retenir les insectes en dehors d’un certain périmètre de sécurité.
Les moustiquaires de tête, de véritables casques de protection
Une moustiquaire de tête constitue un accessoire indispensable pour les adeptes d’une expédition dans des zones infestées de petits insectes, comme les diptères, les maringouins, les anophèles et les lucioles.
Pour se protéger contre les attaques des diptères, les concepteurs ont conçu un accessoire doté d’une double armature, pour une bonne tenue. Celle-ci permet aussi d’éviter que le filet ne s’accole au visage. Il y a aussi un tissu de coton équipé d’un support qui doit être rendu élastique, afin de protéger exclusivement le haut de tête. Certains modèles bénéficient d’une finition avec un cordon de serrage comme bordure.
Il existe aussi des modèles spécifiques destinés à protéger la tête contre les maringouins. L’accessoire est alors replié dans une calotte en tissu. Deux fixations à chaque côté s’ajoutent à un élastique, pour resserrer le bas. Ce type de moustiquaire est surtout réputé pour son côté pratique. Elle s’avère, en effet, très peu encombrante.
L’accessoire permettant contre les anophèles est assimilable à un manchon doté d’un autobloquant qui permet de le régler. Il suffit alors de rouler l’accessoire sur un chapeau de tout genre. Celui-ci est aussi adapté à tout type de coiffure.
Comme celui protégeant contre les anophèles, l’accessoire mettant à l’abri des lucioles est aussi de forme manchon. Une couture plate le permet de refermer sur le haut de la tête. On peut trouver des modèles dotés d’un bas en élastique.
Pourquoi éviter les moustiquaires préimprégnées ?
Deux raisons bien déterminées peuvent dissuader les acheteurs de se procurer une moustiquaire préimprégnée. Primo, la durée de vie des produits d’imprégnation s’avère très restreinte. Ce critère est commun à tous ces produits, qu’ils s’utilisent par pulvérisation, ou bien par trempage. Au moment d’acheter l’accessoire, son efficacité peut donc être en passe de disparaitre. Cette raison pousse aussi de nombreuses boutiques à retirer des accessoires préimprégnés de leurs rayons. Leur renommée ou et celle de l’entreprise de conception seraient aussi menacées. Second, certains produits d’imprégnation constituent aussi un facteur de risque pour les ouvriers chargés de manipuler les accessoires dans les usines. Bon nombre d’entre eux se sont, en effet, plaints de diverses irritations, notamment au niveau des muqueuses nasales, de la gorge, mais aussi des mains et des avant-bras.