Comme je vous l’indiquais hier je viens d’arriver à Montréal de ma France natal. Jusqu’ici tout va bien. Mais j’aimerai vous racontez notre voyage.
En effet nous sommes 4. 2 humains (Flo et moi-même) et 2 chats (coquine et platon). Nous avons décoller de Bordeaux le 11 Février 2011 pour Montréal via Paris par Air France. Tout d’abord à l’aéroport de Bordeaux nous étions entourés de notre famille pour faire un dernier bisou avant un long moment. Puis vient le moment d’attendre l’avion dans la salle d’embarquement avec chacun notre sac à dos et une caisse à chat, car ils ont voyagé en cabine avec nous. Et là c’est le drame, moi qui ne suis pas plus émotif que cela, je me mets à pleurer tout ce que je peu… Je m’étais préparer au départ, à la séparation, à la tristesse, mais pas du tout à cela. Imaginez Flo (mon amie depuis plus de 6 ans) qui avait dû me voir pleurer 2 fois en 6 ans peut-être. Mais le drame ne s’arrête pas là.
Une fois dans l’avion avec nos chats pour un Bordeaux-Paris qui restera dans les annales, du moins les miens. Pourquoi? Car pour Platon, qui pèse 5 kilos, nous avions acheté exprès une cage en tissu Air France pour la modique somme de 34€, alors que les cages en dur certifiées IATA coûtais 35€. Cette caisse housse possède 2 fermetures éclairs, 1 sur le dessus, et 1 sur le côté carré. Le chat n’étant que très moyennement heureux de prendre l’avion a explosé une fermeture et à essayé de sortir de sa cage. Résultat j’ai passé le vol dans les toilettes avec le chats. Pour l’atterrissage le chat à été mis dans une caisse où le personnel de bord conserve la nourriture. Atterrissage à Paris réussi! Flo se lève et récupère le chat dans ses bras pendant que je récupère les sacs (un sac à dos de 11 kilos, un sac de sport de 12 kilos) et les vêtement (un manteau, Trois vestes, Deux écharpes) enfin bref la galère.
Nous nous rendons dans un point de vente Air France pour récupérer une autre sacoche et intervertir les chats. Platon « le gros » dans la caisse en dur, et Coquine « la fine » (3,2 kilos) dans la sacoche en tissu. Pourquoi nous ne l’avions pas fait plus tôt? Car à la base, la limite de poids pour les animaux en cabine est de 6 kilos cage de transport compris. Platon avec la caisse faisaient 7,4 kilos donc impossible. Bref. Une fois cette aventure terminée nous avons embarqué pour le vol pour Montréal. Petit détails qui a son importance, je suis fumeur, et là je n’ai pas pu fumé. En fait ma dernière cigarette remontait de 11h15 à Bordeaux et j’ai bien compris que je n’aurai pas l’opportunité de fumé avant d’être à Montréal, soit 12 heures après ma dernière.
Nous embarquons dans le Boeing 747 à destination de Montréal avec du retard. Le décollage ce passe bien sauf que pour 200€ par chats la compagnie ne concède pas de place pour les animaux. Donc 7h30 de voyage avec chacun une cage sur les genoux. Je commençais vraiment à être agacé, normal non?! En plus de tout cela dans l’avion nous nous sommes retrouvé avec les jeunes des Boxers de Bordeaux (Équipe de Hockey) qui allait à Québec via Paris et Montréal afin de disputé un tournoi de hockey international. Je précise qu’ils ont entre 12 et 14 ans, et qu’au bout de 40 minutes de vol ils étaient seul car leurs parents ont picolés comme des éponges et ne se sont pas occupés de leur progéniture. Cette même progéniture qui pendant 7h30 à crier, rigoler très très fort, … et que l’hôtesse de l’air à bien essayer de calmer à 4 reprises mais sans effets. A baffer ces gamins!!!!!!
Après ce long voyage, nous atterrissons à l’Aéroport international Trudeau de Montréal! Enfin! 18h30 heure locale donc pour notre organisme, minuit! En sortant de l’avion et après une heure d’attente pour le contrôle des visas et passeports nous avons passé un long moment (45 min) avec la douanes pour le contrôle des chats (vaccin, passeport, carnet de santé, et si dans les cages il y avait bien des chats….). Après tout ça, ils nous fallait prendre un taxi pour arrivé à l’appartement. Chose faite nous emménageons si l’on peu dire avec un matelas gonflables, trois valises, deux sacs et deux chats. Il était 20h30 à Montréal soit 2h30 pour nous. Nous étions fatigués, nous avions faim et nous sommes aller nous cherché au coin de la rue des sandwichs, une bouteille de soda pour le repas du soir. Heureusement nous avons eu une très bonne surprise. NOS VOISINS! La dame est venu frappé à notre porte en nous expliquant qu’elle et son mari connaissent l’immigration car ils avaient immigrés à l’île St Martin (Guadeloupe) il y à quelques années. Elle nous invite à venir le lendemain matin prendre un café avec eux. Merci beaucoup.
Du coup nous n’avons pas pu appeler nos parents pour les rassurés mais au information Française aucun avion ne s’étaient écrasé donc ils ont attendu le lendemain matin pour nous, vers midi en France. Quelle aventure!
La suite bientôt……
FoX-LaSalle
2011/02/22