Ma conscience de richesse progresse plus vite que jamais…

J’ai appris hier qu’Yves Saint Laurent et Pierre Bergé étaient des mécènes bien plus importants qu’on ne le croit. On connaît la fondation – et l’aide permanente et sous toutes formes – apportée aux jeunes artistes, mais il n’y avait pas que ça. Le désir de promouvoir la culture était tellement fort que dans leur élan de la rendre accessible à tous, ils ont acheté un théâtre à Paris, l’ont complètement reconstruit, décoré pour en faire un lieu paraît-il sublime, (« paraît-il » car on ne sait pas de quel théâtre il s’agit), puis ils l’ont revendu 1 franc symbolique à l’état. Ils n’ont pas voulu médiatiser l’histoire, ni même que l’on cite leur nom le jour de l’inauguration. Ceux qui sont au courant de cette histoire et savent où se trouve le théâtre ont le devoir de se taire. Un devoir d’élégance envers ces deux hommes qui ne faisaient pas ça dans le but d’en tirer une quelconque gloire mais qui savaient qu’en rependant la rumeur, d’autres le ferait à leur place.

C’est fou n’est-ce pas ?

C’est tellement beau aussi.

Devenir riche, pour eux, ne devait pas être une affaire de business, ni de plan comptable, mais une affaire de culture, de passion, reposant sur ÊTRE plutôt que sur FAIRE ou AVOIR.

On pourrait croire que je parle là de caractères altruistes, d’artistes géniaux et originaux, de cas particuliers en somme, mais non. Pierre Bergé est un homme d’affaires, je le rappelle.

Il n’y a rien qui nous différencie de ces deux hommes, RIEN.

Nous sommes de la même constitution.

Nous avons juste des barrières qu’ils n’ont pas.

Ce que nous croyons savoir de l’argent et des gens riches nous empêche de progresser.

Que diraient vos éducateurs de cette histoire de théâtre et d’anonymat ?

Ma mère dirait « Ils y ont forcément un intérêt quelque part »

Mon père aurait trouvé ça génial et m’aurait raconté cette fois ou il a aidé quelqu’un pour rien, sans se rendre compte qu’en fait il a été le dindon d’une escroquerie qu’il n’a pas comprise.

En règle générale, ma famille aurait trouvé ça bizarre ou louche. Ils auraient fini par critiquer une pseudo intention malsaine cachée derrière tout cela. Eux qui aiment la gratuité, n’auraient pas réussi à concevoir un geste qui le soit.

Et vôtre famille, qu’auraient-elle dit ?

Tracez les grandes lignes de ce qu’auraient pensé vos parents, votre famille, les adultes les plus influents de votre enfance.

Une fois que vous avez tracé ces grandes lignes, relisez-les et comprenez que rien n’est vraiment étonnant dans l’idée que nous avançons les deux pieds sur les freins.

Posez un doigt sur le front et dites à haute voix.

Je me dissocie de cette façon de voir l’argent et les gens riches.

Je pardonne à mes éducateurs de n’avoir pas été aussi positifs que j’aurais aimé.

Je pardonne papa et maman, complètement et définitivement.

Je pardonne tous ceux qui ont relayé ces croyances négatives.

J’ai conscience que chacun a fait ce qu’il a pu.

Désormais, je crée ma propre autonomie financière.

Je suis libre de considérer la vie et l’argent avec un regard neuf et positif.

Je suis libre de gérer bien mieux ma vie financière.

Je suis libre de devenir aussi riche que je veux.

Je suis libre d’être riche à millions.

Aujourd’hui, cherchez les failles, faites des retours dans le passé, entendez les discours de vos éducateurs… Considérez que ce sont les paroles de gens perdus, j’ai envie de dire malades, dans le sens « gangrenés par des pensées qui les tiraient vers le bas » et dont, malheureusement, ils n’étaient pas conscients.

Pour vous détacher de cette contagion, il faut cesser de leur attribuer la vérité.

Comprenez que ce qui est saint, c’est la pleine santé, la pleine énergie, le sentiment d’être complet et rempli. Ce qui est saint, c’est la liberté et non la frustration. Ce qui est saint, c’est la potentialité et non l’impuissance. Ce qui est saint, c’est le développement et non la sclérose.

Comprenez que vous êtes désormais libre d’être en pleine forme !

Lorsque vous localisez les pensées négatives de vos éducateurs, ce, sans jugement, bien entendu, posez un doigt sur votre front et affirmez.

« Ma conscience de richesse progresse plus vite que jamais et déjà, partout autour de moi, le monde me propose des opportunités de développement et de richesse. Désormais, je suis Riche, que je le veuille ou non. »

Excellente journée. LM

Extrait d’une newsletter quotidienne envoyée gracieusement aux fan d’une page coaching facebook de Laurent Marchand.

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