Lutter Contre la Dépression et le Stress par la Méditation

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La méditation est utilisée depuis de milliers d’années en médecine naturelle, et cela, dans de nombreuses civilisations. Elle se pratique différemment selon qu’elle provienne d’un pays ou d’un autre, d’une croyance ou d’une autre, d’un maître à penser ou d’un enseignant Yoguique.

En fait, il existe de nombreux exercices de méditations et tous ne conviennent peut-être pas à la dépression nerveuse. Considérant que la méditation doit parfois se pratiquer seul, il est préférable alors de l’abandonner plutôt que de la proposer à quelqu’un qui souffre de solitude.

En d’autres termes, la méditation n’est pas un remède facile qu’il suffit d’aller chercher dans un livre ou auprès de n’importe quel Maître. Toutefois, il nous est facile de trouver dans nos sociétés actuelles des techniques de méditation tout à fait adaptées à nos besoins. Vous pouvez en effet pratiquer le yoga, qui reste une technique physique, mais qui s’accompagne toujours de moments de détentes guidées, favorisant le calme et la relaxation. On trouve aussi dans le Taï shi Shuan une méditation dite en mouvement. C’est une gymnastique d’origine chinoise. Elle est à la fois un art martial et une méthode de relaxation.

Une personne déprimée tirera un grand bienfait de ces pratiques, tout d’abord parce qu’il ne lui sera pas demandé de faire le moindre effort sur le plan mental, ce qui l’éloignera de son habitude de ruminer ses pensées. Elle sera occupée à des mouvements et à ressentir son corps, sans jamais le brusquer.

L’inconvénient de la méditation zen par exemple, c’est qu’il faut faire le vide dans sa tête, ne plus penser à rien et fixer un mur. Bien souvent, une personne déprimée pensera énormément pendant ce temps de silence sans mouvement et risquera de se morfondre davantage.

Par contre, il existe des méditations comme celles que préconise Osho, la méditation sans tête par exemple, qui consiste à s’imaginer ne plus avoir de tête. Alors, on abandonne toute idée de penser ou de raisonner ou de comprendre quoi que ce soit. On doit alors passer son temps à s’imaginer sans tête. C’est sans doute plus facile que de s’imaginer sans pensées.

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