Savez-vous ce qui fait souvent la différence entre l’échec et le succès dans la vie ?
Votre réponse ?
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Réponses :
Il y a beaucoup d’individus qui ont de grandes capacités. Leurs facultés rayonnent par leur génie. Mais, ils sont impuissants à les « exploiter » et réussir dans leurs conduites vers leurs buts.
Pourquoi ?
La plupart sont « versatiles ». Ils changent de directions aux grès des changements qu’ils rencontrent. Ils n’ont pas le pouvoir de – concentrer – leurs talents sur un point… Et cela fait toute la différence entre le succès et l’échec.
Prenons si vous le voulez bien le cas de Joseph II d’Autriche.
Sur sa tombe est écrit :
« Ici repose un monarque qui, avec les meilleures
intentions du monde, n’a jamais effectué un seul plan »
Un autre exemple ! Sir James Mackintosh était un homme de remarquables capacités. Il a excité dans tous ceux l’ont connu les plus grands espoirs. Beaucoup ont suivi avec beaucoup d’intérêt sa carrière… En espérant qu’il allait « éblouir le monde ».
Seulement voilà ! Il n’avait pas de but précis dans sa vie. Par intermittences, il se sentait plein d’enthousiasme pour faire de grandes choses, mais son énergie s’évaporait avant qu’il puisse décider « QUOI FAIRE » !
Ce défaut de caractère lui fût fatal dans sa carrière. Toute sa vie a été ainsi. Il n’avait le « Pouvoir » de choisir un but et de persévérer vers ce dernier. Au contraire, il sacrifiait à toutes les perturbations qu’il rencontrait. Un exemple, dans une simple composition de texte, il « oscillait » pendant plusieurs jours, entre déterminer de l’utilisation du mot : »l’utilité » ou « utilité » pour finir son rapport.
Point d’action à mettre en oeuvre dès maintenant :
> Comprenez qu’un « talent » exploité dans une seule direction, produira infiniment « PLUS » de résultats que « 10 talents dispersés ».
> Vous avez des talents, des qualités, des points forts. Ne les dispersez pas tout azimut.
> Concentrez vos « talents » vers UN but et vous réussirez 10 fois plus que les autres aux talents plus élevés.. mais qui s’éparpillent !
(c) Didier Pénissard 2009