L’Abondance Des Chaussures Au Québec

Au Canada, les fabricants des couvres pieds sont nombreux. Ceux qui sont des commerçants et qui se lancent dans la vente de ces marques sont également nombreux. Les populations qui aiment s’en approprier ne cessent de passer des commandes sur les nouveautés. Tous ces éléments contribuent à la montée de la surproduction sur le marché. Les raisons pour lesquelles les anciens stocks sont souvent non vendus sont multiples. L’apparence d’une nouvelle marque meilleure que celle qui existe déjà sur le marché. Comme les innovations sont accélérées au rythme de l’évolution de la technologie, les nouvelles marques sont toujours plus performantes et les anciennes s’accumulent. On se retrouve ainsi avec une abondance des chaussures au Québec qui ne sont pas vendues.

Les souliers ordinaires peuvent ne pas être démodés ou même si c’est le cas, le goût de certaines personnes peut y rester sur cette marque. Cet amour ou cet attachement à un soulier ne se matérialise pas lorsqu’il s’agit du travail. Sur un chantier en construction, la nature du travail impose souvent l’usage de telle ou telle autre marque ou catégorie des bottes qu’il faudrait nécessairement porter. Dans ce sens, l’entrepreneur qui sera responsable du chantier fait souvent la commande d’une gamme spécifique concernant uniquement la nature de son travail. Si c’est un chantier de construction des infrastructures pétrolières par exemple, l’accent sera mis sur les crampons afin d’éviter les glissements. S’il s’agit d’un chantier pour la construction des ouvrages et des installations électriques, l’accent sera mis sur la nature des souliers qui protégeront les travailleurs contre l’électrification. Dans tous les cas, c’est l’entrepreneur qui sera responsable de passer la commande des bottes en rapport avec le niveau de sécurité ou de protection recherchée sur son chantier. Lorsque le chantier est gigantesque, l’usine de fabrication de bottillon en fera un grand nombre et lorsque les travaux seront terminés, l’on se retrouvera encore avec une abondance des chaussures au Québec. Cette abondance sera plus fatale lorsque les bottes mises en vente ne seront pas toutes vendues.

Les habitants de cette région canadienne ne procèdent pas à l’achat des bottes au hasard, ils respectent des critères liés à une catégorie spécifique de protection. Cela revient à dire que certaines marques ne seront jamais vendues tant qu’un chantier de construction faisant appel à leur usage ne sera pas entamé. Les magasins qui vendent ces chaussures au Québec sont donc soumis à la loi des circonstances. L’abondance de ces bottes sur les lieux de vente peut-être soit bénéfique, soit une perte pour celui qui prend le risque de s’investir dans ce domaine. Le bénéfice survient en cas d’une forte demande et en cas de la création des nouveaux chantiers. Le besoin de la sécurité sur les lieux du travail oblige les entrepreneurs à se tourner vers ces magasins de vente. Quant à la perte, c’est souvent la nature de la botte qui peut pousser à son abandon. Lorsqu’elle apporte un mécanisme de protection limitée, la botte qui le défiera dans ce sens sera plus sollicitée et le vendeur risque de garder pour longtemps ces anciennes qualités, à moins qu’il ne procède à la recherche du marché extérieur.

L’abondance des chaussures au Québec ne peut tout de même pas être une source de fatalité pour les commerçants. Au regard de l’ampleur des travaux de construction, cette belle région canadienne est devenue un très vaste chantier en construction. Les travaux publics comme les travaux privés n’en manquent pas et les ouvriers auront toujours besoin de ce matériel pour leur protection. Certaines personnes gardent ces bottes pour la facilitation de leurs tâches quotidiennes ou pour l’exécution des travaux urgents. Un ouvrier ne doit pas attendre qu’on lui offre les bottes, il pourra s’en approprier de lui-même.

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