LA PUISSANCE ET LA PENSEE DU GAGNANT
Le proverbe, « tel homme pense en son cœur, tel il est » n’embrasse pas seulement l’être humain dans son entier, mais dans son être très large s’applique a toutes les conditions et a toutes les circonstances de sa vie. Un homme est littéralement le reflet de ce qu’il pense, son caractère étant la somme de toutes ses pensées.
James Allen
La puissance du gagnant, c’est l’homéostasie et le travail, la relation psychosomatique, l’harmonie entre le corps et le mental. Le gagnant souffre comme les autres, mais il travaille sans cesse à maintenir l’équilibre entre son corps et sa pensée. Il n’utilise jamais des termes négatifs : « c’est au dessus de ma force », « je n’y arriverai jamais ».
Le gagnant reste toujours positif, il sait aussi qu’il ne peut pas gagner s’il ne joue pas. Ce qui importe pour lui, ce n’est pas ce que les autres pensent plutôt ce qu’il pense de lui-même. Le gagnant sait que les échecs sont des professeurs. On pourra apprendre beaucoup d’eux si l’on veut se servir de l’expérience.
Le gagnant comprend que s’apitoyer sur son sort ne mènera nulle part qu’à la défaite. Il réagit avec courage face aux difficultés. Sa puissance se trouve dans son bon état d’esprit parce que pour réussir dans la vie, il faut un mental de gagnant.
L’homme est maitre de ses pensées, il transforme sa vie comme une pate à modeler, en lui se trouve le pouvoir générateur de sa propre destinée. Ayez en vous l’attitude d’un gagnant car dans le monde, il y a deux catégories d’hommes : les gagnants et les autres.
Vous manquez de confiance en vous ! Vous avez peur, vous hésitez. L’abondance et le Succès vous éloignent. Vous êtes pris au piège, enfermé dans une prison que vous avez construite vous-même dans votre pensée. Vous vivez dans un monde illusoire, détaché de la réalité. Vous espérez gagner au loto pour devenir riche. Vous attendez qu’un million de dollars vous tombent du ciel sans effort.
Alors, Changez votre façon de penser et d’agir, et le monde changera avec vous. Vous travaillez dur peut-être, mais vous manquez un degré d’enthousiasme. Comme l’eau bout à 100 degrés et un degré de moins, ce n’est que de l’eau chaude. Mais à partir de cette puissance maximale, elle devient une puissance capable de faire fonctionner des machines lorsqu’elle est vapeur. N’oubliez pas que vous êtes nés pour gagner, levez-vous, regardez le ciel car vous êtes créé à l’image de Dieu. Nous avons tous une étincelle de sa puissance. Et rappelez-vous que nous avons la puissance nécessaire pour gagner.
La force et la faiblesse, la puissance et l’impuissance, la foi et la peur de l’homme réside dans son mental. Garde ton cœur plus que toute chose car de lui viennent les sources de la vie, dit la bible. En d’autres termes la puissance d’un homme se trouve dans ses pensées. James Allen enseigne que l’homme peut choisir ses pensées, et il devient le reflet de ce qu’il pense :
Les pensées de peur, de doute, et d’indécision se cristallisent en habitudes de faiblesse, de lâcheté et d’hésitation, qui se solidifient en circonstances d’échec, de pauvreté et de dépendance servile. Les pensées indolentes se cristallisent en habitudes de saleté, et malhonnêteté pour se solidifier en des circonstances grossières et de mendicité. Les pensées de haine et de critique se cristallisent en habitude d’accusation et de violence pour se solidifier en des circonstances de préjudices et de persécution.
Les pensées égoïstes de toutes sortes se cristallisent en habitudes d’égoïsme pour se solidifier ensuite en des circonstances plus ou moins pénibles. D’un coté, de merveilleuses pensées de toutes sortes se cristallisent en habitudes de grâce et de gentillesse qui se solidifient en circonstances géniales et lumineuses.
Des pensées pures se cristallisent en habitude de tempérance et de maitrise de soi qui se solidifient en circonstance entrainant détente et paix. (…….) une certaine ligne de pensée dans laquelle on persiste qu’elle soit bonne ou mauvaise, produit surement les résultats qui s’imposent au niveau des caractères et des circonstances, mais il peut choisir ses pensées, indirectement mais sûrement, former les circonstances de sa vie.