Selon Wikipedia, « le virus Ebola appartient à la famille des filovirus, qui regroupe des virus à l’apparence filamenteuse caractéristique. Des chauves-souris frugivores de la famille des ptéropodidés constituent vraisemblablement le réservoir naturel du virus, mais d’autres mammifères peuvent être infectés. Chez l’homme et les autres primates, il provoque la maladie à virus Ebola, et a causé plusieurs épidémies ».
Depuis plusieurs mois, le virus touche le continent africain. Désormais la communauté internationale s’allie pour mener ce combat, entre les Etats Unis, l’Union Européennne et l’Organisation Mondiale de la Santéd’importants moyens ont été mis en place.
Récemment un médecin de l’OMS a faillit mourir de son engagement sur le terrain:
«Les personnes ayant contracté le virus disposent d’anticorps spécifiques dans leur sang, nous avions supposé que cette transfusion de plasma allait laisser un peu de temps supplémentaire à Ian»
«Ian est la preuve que même dans un état critique, on peut guérir d’Ebola».
C’est pourquoi, Ian Roberts et Anders Perner écrivent désormais dans The Lancet:
« Les centres Ebola doivent faire plus que mettre en place des quarantaines ».
« Il nous faut éviter le nihilisme thérapeutique ».