La cérémonie musicale mondiale récompensant les meilleurs artistes du moment, les Grammy Awards 2010 ont eu lieu hier, et furent pour ainsi dire d’une rare exception.
La chanteuse Beyoncé Knowles – qui a eu le privilège de chanter pour Obama et ayant vendu près 123 millions d’albums – arrivait déjà à la cérémonie avec 10 nominations, contre 8 pour Taylor Swift, nouvelle révélation country de l’année.
Un record inégalé pour la première, un record inespéré pour la seconde qui vient à peine de débarquer dans l’industrie musicale, avec pour ainsi dire un zeste de fracas!
Une soirée rythmée par des prestations musicales d’une qualité irréprochable dont les principaux auteurs, Pink, Lady Gaga ou encore Beyoncé se sont brillament illustrées, telles des étoiles d’une magnificience de scintillement!
Une cérémonie également ryhtmée par la rare attribution de 6 awards à une artiste en une seule soirée, à savoir Beyoncé!
Et de convenir de dire que la diva du R’n’B ne le déméritait pas, non pas tant que sa prestation de « If I Were A Boy » à arracher de subreptices larmes mêmes dans les yeux les plus hargneux, que le succès de son album aux tubes désormais légendaires dont « Single Ladies », parodié par les plus grandes stars ( Obama, Justin Timerlake, Joe Jonas, Katy Perry, Teyana Taylor, Chris Brown et même par notre petite frenchie Anais), et justement révélateur de son unique « double-talent » : une voix hors pair, hors du commun des mortels, hors du temps de l’univers, de par une puissance rappelant l’incandescence d’un feu de bois doublé d’une beauté et fraîcheur encore plus fraîche que celle de la rosée de l’aube.
Masi Beyoncé, c’est aussi une danseuse classique, qui s’appuie sur ces saines bases afin de se perfectionner plus qu’elle ne le fait dans la danse contemporaine, se démarquant des autres « artistes » qui se le prétendent.
Beyoncé? Une belle étoile, une belle planète, un bel univers, une immense galaxie dans laquelle on jouierait d’y scintiller, mais pas moins qu’elle même, compte tenu de son merveilleux éternel scintillement qui ne peut que poser notre existence en génuflexion, lui étant magnifiquement redevable, et pour l’éternité.