Voilà une question que se posent de nombreuses personnes.
Les chiffres d’abord.
Pour savoir, interrogez les chiffres !
Nous sommes le 26 mars 2009.
Le 2 janvier 2009, en clôture, le CAC 40 était à 3.052,00 points.
Le 2 février, il était descendu à 2.930,05 points, ce qui représente une baisse de 3,99 % par rapport au 2 janvier.
Le 2 mars, il n’était plus qu’à 2.581,46 points, ce qui représnete une chute de 11,89 % par rapport au 2 février et de 15,41 % par rapport au début de l’année. Sur deux mois, donc !
Mais,…
Le 25 mars, le CAC était revenu à 2.893,45 points, ce qui représente une progression de 12,08 % en 18 séances de Bourse, ce qui signifie que le CAC 40 ne perd plus que 5,19 % par rapport au début de l’année.
Alors… investir ou non en Bourse ?
Evidemment oui !
Pour deux raisons :
• vous maîtrisez la technique de la VAD (vente à découvert), auquel cas vous pouvez faire de beaux profits rapidement lorsque la Bourse descend, comme elle l’a fait de janvier à mars ;
• la VAD ne vous plait pas et vous préférez acheter d’abord puis vendre ensuite.
Dans ce cas, faits appel aux warrants de type «Put».
Ils vous permettent de gagner de l’argent lorsque les actions baissent
Vous connaissez bien la VAD ?
Vous pouvez gagner.
La technique de la VAD est simple : elle consiste à vendre en opération initiale une action que vous ne possédez pas puis à l’acheter réellement lorsque, justement, elle a suffisamment baissé.
Ce n’est pas une opération diabolique, c’est en fait une sorte de «crédit à la consommation» que vous fait votre broker, généralement à propos des plus «grosses actions» du marché parisien, celles qui connaissent toujours quotidiennement un mouvement suffisant d’achat et de vente.
Les warrants, ça vous dit ?
Les warrants sont des produits dits «dérivés».
Ils n’ont pas d’existence réelle.
Des actions d’Air France, par exemple, vous rendent réellement propriétaire – bien que virtuellement aussi – d’un siège ou d’un morceau de siège d’avion, par exemple.
Là, ce n’est pas du tout le cas : ce sont des inventions purement mathématiques.
Leur durée d’existence est faible : un an et demi environ en moyenne, alors qu’une action est valable pendant toute la durée d’existence de la société.
Les warrants présentent un énorme avantage : ils sont en quelque sorte liés à une action, à un indice, à une parité de devises, à une matière première, etc. et surtout ils vont par deux !
Pourquoi par deux ?
Parce qu’il existe deux catégories de warrants, des warrants dits «Call» et des warrants dits «Put».
Vous allez comprendre tout de suite pourquoi vous pouvez gagner de l’argent avec ces petits produits, généralement peu chers, souvent moins de 0,50 euro l’unité, voire parfois beaucoup moins, …
Le Call warrant associé à une action, un indice, etc., vous permet de gagner de l’argent quand son support (l’action, l’indice ou autre) monte.
Le Put warrant, lui, vous permet d’en gagner quand son support baisse.
Voilà bien une seconde manière de gagner de l’argent lorsque la Bourse de Paris baisse !
Et si vous n’êtes ni «risque tout» ni «amateur de produits dérivés» ?
Faites comme la plupart des investisseurs en Bourse : achetez des actions et revendez-les ensuite.
Vous avez constaté le rebond du CAC depuis le 2 mars.
Encore quelques chiffres, au hasard.
Du 2 mars au 25 mars 2009, voici l’évolution de quelques actions (ces chiffres sont bruts, leur réalité dépend de votre broker et des frais qu’ils vous compte, évidemment) :
– Air Liquide : de 55,97 euros en clôture à 63,20 euros, soit + 12,91 % ;
– Alcatel Lucent, de 1,02 euro à1,45 euro, soit + 42,15 % ;
– Renault, de 10,74 euros à15,65 euros, soit + 45,71 % ;
– Total, dont on a tant parlé, de 35,32 euros à 38,87 euros, ce qui ne représente qu’une «modeste» progression de 10,05 %.
Que conclure ?
Que la Bourse, même en des temps aussi agités que ceux que nous connaissons actuellement, «vaut le coup» !
Bien amicalement,
Guy
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