Autre chose est possible
Avoir un objectif précis c’est être tout le temps heureux, en bonne santé et dynamique. On caresse un ou des rêves vers lesquels on tend un peu plus chaque jour de notre vie et cela nous rend heureux et nous pousse à prendre soin de notre corps. Toute réussite, toute success story a pour essence une chose, un état d’esprit. Cet état d’esprit permettra de trouver la bonne idée, de la concrétiser, de ne jamais se laisser décourager et d’avancer encore et encore.
Les gens sont nombreux à être par nature pessimiste et préfèrent flotter dans leur train-train routinier. Ces messieurs et mesdames pessimistes, nous devons nous en méfier, car la plupart du temps, ils nous mettront des bâtons dans les roues juste parce que notre réussite met en lumière leurs échecs, leurs limites mais aussi le côté terne et sans objet de leur existence. C’est comme une petite voix qui leur suggère de ne rien entreprendre, que ce serait folie que de vouloir réaliser quoi que ce soit. Oh comme je les comprends ! L’idéal que je décris est, pourquoi se le cacher, un paradis réservé à quelques uns ; l’élite qui a su repousser toujours plus loin les limites de la médiocrité.
Que de temps perdu à se « pâmer » de jalousie et d’admiration pour des êtres qui n’ont rien de plus que nous si ce n’est leur volonté à toujours voir le verre à moitié plein et même totalement plein parfois (à moitié rempli d’eau, à moitié rempli d’air).
Nous devons apprendre à ne pas nous complaire dans des contentements faciles. Nous devons avoir en horreur toute facilité quelle qu’elle soit. C’est en apprenant à intégrer et à faire nôtre les désagréments induits par le laisser-aller que nous ayons le désir de changer.
Le moindre obstacle, faute d’une motivation suffisamment forte, nous fait abandonner l’objet de nos désirs. Nous ne devons pas nous décourager, même lorsque tout nous crie que ce que nous voulons est impossible, même lorsque la fatigue et la lassitude nous gagnent. Il faut s’habituer à la difficulté et à l’épreuve au point qu’elles deviennent notre meilleure amie.
Quand on commence, c’est difficile et on est très vite découragé. On est en général détesté et haï par les siens, on est jalousé par ceux qui sentent que vous irez loin. Tout temps non utilisé pour faire ce que vous aimez ou tendre vers vos objectifs est du temps perdu à jamais
Comme le disait Milton Friedman, célèbre économiste « There’s no such thing as a free lunch » = « Les repas gratuits n’existent pas ». Il faut comprendre par là que tout a un prix, et qu’on a rien sans rien.
Cessons de rechercher des modèles des mentors, cherchons à être nous-même un modèle pour les autres. La volonté forte est admirée de tout le monde, parce que celui qui l’a est au-dessus de la mêlée et du coup chacun se dit que, s’il l’avait, il n’aurait plus de limite pour quoi que ce soit.
Si nous avons tendance à nous comparer aux autres, c’est un signe de manque de confiance en nous. Pourtant, nous avons une personnalité tout aussi riche sinon plus. Apprenons tout simplement à nous connaître et avoir confiance en nous. C’est un challenge réservé aux femmes et aux hommes qui refusent que la réalité leur tombe dessus comme une chape de plomb. Il faut en d’autres termes rester zen et avoir une attitude combative en tout temps et en tout lieu. C’est par conséquent un défi hors du commun « …et pourtant réalisable de vouloir réussir alors que rationnellement l’on ne possède pas les armes nécessaires pour s’en sortir honorablement. Dans cet environnement précaire, où le talent ne suffit plus, il faut être « fou » pour avancer encore malgré tout, oui, il faut avoir défié la pesanteur que les autres subissent, pour entrer dans cette vision parfaite de votre réussite future. Il faut entrer dans une dimension élevée de votre propre être pour l’exploiter au mieux de ses performances même dans le chaos le plus total. ».