Une jeune fille âgée de 16 ans fait l’objet d’un enlèvement pour assassinat.
Un jeune majeur répondant aux initiales (FS) l’avait courtisée dans le but d’entreprendre une relation amoureuse. D’après diverses sources, ce dernier est leurré par une partie dissimulée de ses desseins. Son but est conduire cette jeune fille, encore mineure, pour être assassinée, puis de lui enlever ses organes en signe de représailles au père. Celui-ci est défenseur des droits de l’homme.
Le père de la jeune fille a déposé une plainte auprès de la brigade de gendarmerie territoriale compétente de LAMTAR et un PV a été dressé. Le document a été transmis au Procureur de la République, et un procès a été programmé en séance devant le Tribunal de première instance de BEN-BADIS (WILAYA DE SIDI BEL ABBÉS).
Le conseil a inculqué au jeune majeur (FS) par sa défense, que son client déclare devant le Tribunal, qu’il fréquentait bien la jeune fille depuis quatre (4) ans, c’est-à-dire avant d’atteindre l’âge de la majorité légale. Le tribunal a trouvé qu’il s’agit d’un subterfuge, pour sauver l’accusé de la condamnation par le Tribunal de céans.
A l’appel, le jugement rendu par le Tribunal de première instance, a été maintenu et le présumé criminel est disculpé.
Sachez qu’aux moments des faits le jeune (FS) était majeur.
Le père de la jeune fille envisage déposer une plainte devant le COUR AFRICAINE DES DROITS DE L’HOMME ET DES PEUPLES et aurait saisi les ONG de droits de l’homme locale et internationale.