Soumis à la guerre, à la violence et aux difficultés sanitaires et alimentaires, les jeunes africains ont, dans beaucoup de zones du continent, besoin d’une aide urgente. Bien souvent insuffisants, les moyens financiers et humains des gouvernements ne permettent pas de combler le déficit d’éducation et de soin. L’humanitaire et les œuvres de bienfaisance constituent en ce sens un soutien précieux, comme c’est le cas de l’association Children of Africa, créée par Dominique Ouattara en 1998.
Comment garantir aux jeunes africains un avenir et des conditions de vie décentes ? Voilà la question que se sont posés les créateurs de l’association Children of Africa. Ayant pris conscience que la jeunesse africaine nécessitait une attention toute particulière, Dominique Ouattara, rejoint par sa fille Nathalie Folloroux, aujourd’hui vice-présidente de l’association, a mis en place un ensemble de programmes destinés aux plus jeunes. Ayant pour devise, « l’espoir d’un monde meilleur », l’association s’intéresse tout particulièrement à l’éducation et à la santé. Nathalie Folloroux, avec une formation de communiquant, tente ainsi de mobiliser l’opinion publique sur ces enjeux sensibles.
En effet, l’humanitaire apparait comme un élément fondamental pour venir aux secours des Etats africains, souvent défaillants en la matière. Cependant, certains Etats semblent prendre le problème avec un réel sérieux. C’est ainsi le cas de la Côte d’Ivoire, qui vient de signer une convention avec Children of Africa, lui promettant ainsi du personnel et des moyens financiers dans le cadre de la gestion du tout nouveau hôpital mère-enfant de Bingerville, qui devrait permettre un meilleur suivi des grossesses et la réduction de la mortalité maternelle et infantile.
Autre combat mené par l’association, la lutte contre le travail des enfants reste nécessaire. C’est pourquoi l’association invite les Etats africains à développer un arsenal législatif massif et efficient pour lutter contre ce fléau. Dans le cadre de ces efforts, l’association s’engage aussi à développer l’éducation. En effet, l’absence d’école et de sensibilisation des familles mènent bien souvent les enfants sur le chemin du travail dès leur plus jeune âge, ce qui constitue un risque social et physique majeur, les enfants étant cantonnés à des tâches délicates et éprouvantes.
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