La chirurgie esthétique peut aussi être au service du développement personnel. Si l’on entend par développement personnel, toutes les méthodes et les théories qui permettent l’épanouissement de l’individu, on trouvera normal d’intégrer les intégrations de chirurgie esthétique à ce sujet.
Que fait une femme, un homme qui subit une opération ? Il satisfait un besoin négatif. C’est l’envie d’en finir avec un regard fatigué, c’est l’envie d’en finir avec des seins tombants par exemple. Au-delà de la satisfaction de ce besoin négatif, il y a une quête indirecte d’épanouissement.
Oui, car on peut se sentir mal à l’aise d’un défaut esthétique. La chirurgie par la correction qu’elle opère, réinvestit du positif dans l’économie de la conscience et du rapport de soi à soi.
Ce n’est pas anodin si on va aussi faire sa chirurgie esthétique en Tunisie quand on a pas les moyens. Cela veut dire qu’on comprend l’effet bénéfique attendu d’une intervention et qu’on souhaite en profiter en se donnant les moyens de son objectif. Si la chirurgie plastique est trop chère en France, pourquoi ne pas aller en Tunisie ?
C’est une volonté pratique mise au service d’un besoin compréhensible de mieux-être.