La Loi Est Important Pour Les Avocats Au Quebec

On sait que la persistance d’une société libre et démocratique dépend de la reconnaissance de la notion que la justice est fondée sur la primauté du droit, s’est échoué dans le respect de la dignité de l’individu et de la capacité de l’individu au cours de la raison éclairée sur l’autonomie gouvernementale. Donc mise à la terre la justice rend possible la loi, pour que par le biais de cette loi la dignité de l’individu atteint respect et protection. Sans elle, les droits individuels sont soumis à la puissance sans retenue, le respect de la loi est détruit, et l’autonomie rationnelle est impossible.

Les avocats au Quebec, en tant que gardiens de la loi, jouent un rôle vital dans la préservation de la société. L’accomplissement de ce rôle exige une compréhension de leur relation avec et la fonction par les avocats au Quebec le système juridique. Une obligation qui en découle des avocats au Quebec est de maintenir des normes élevées de conduite éthique. Dans l’exercice de responsabilités professionnelles, un avocat suppose nécessairement différents rôles nécessitant l’exécution de nombreuses tâches difficiles. Pas toutes les situations qui guettent l’avocat ne peuvent être prévues, mais des principes éthiques fondamentaux sont toujours présents pour l’orientation. Dans le cadre de ces principes, un avocat doit avec courage et clairvoyance être capable et prête à former le corps du droit aux relations changeantes de la société.

Le code d’éthique professionnelle indique le chemin vers l’aspirant et prévoit des normes pour juger le transgresseur. Chaque conscience de l’avocat doit fournir la pierre de touche permettant de tester le degré auquel les actions de l’avocat s’y dépassent les normes minimales. Mais en dernière analyse, c’est le désir pour le respect et la confiance des membres de la profession et de la société qui l’avocat dessert qui devrait inciter à un avocat le pour le plus haut degré d’éthique. L’éventuelle perte de ce respect et la confiance est la sanction ultime. Tant que ses praticiens sont guidés par ces principes, la Loi continuera d’être une profession noble. Il s’agit de sa grandeur et sa puissance, qui ne permettent d’aucun compromis.

Le code d’éthique professionnelle se compose de trois parties distinctes mais interdépendantes, les canons, des considérations éthiques et des règles disciplinaires. Le Code est conçu pour être les deux un guide inspirant pour les membres de la profession et le fondement de l’action disciplinaire lorsque la conduite d’un avocat tombe au-dessous des normes minimales requises dans les règles de discipline. Évidemment les chanoines, considérations éthiques et des règles disciplinaires ne peuvent s’appliquer à des non-juristes. Cependant, ils définissent le type de conduite éthique que le public a le droit d’espérer non seulement des avocats, mais aussi de leurs employés non professionnels et associés à toutes les questions relatives à l’emploi professionnel. Un avocat devrait être en fin de compte responsable de la conduite des employés et associés dans le cadre de la représentation professionnelle du client de l’avocat.

Les canons sont exposés des normes axiomatiques, exprimant en général termes les normes de conduite professionnelle devraient d’avocats au Quebec dans leurs relations avec le public, avec le système juridique et avec la profession d’avocat. Ils incarnent les concepts généraux dont sont issus les considérations éthiques et des règles disciplinaires. Les considérations éthiques sont ambitieuses en caractère et représentent les objectifs vers lesquels doivent tendre tous les membres de la profession. Ils constituent un ensemble de principes sur lesquels l’avocat peut s’appuyer pour l’orientation dans de nombreuses situations spécifiques.

Les règles disciplinaires, à la différence des considérations éthiques, sont obligatoires dans le caractère. Les règles disciplinaires indiquer le niveau minimum de conduite au-dessous duquel aucun avocat ne peut tomber sans faire l’objet de mesures disciplinaires. Les règles disciplinaires devraient s’appliquer uniformément à tous les avocats, quelle que soit la nature de leurs activités professionnelles.