Classé dans le registre des vingt pays les plus étendus du monde, le Québec est un socle terrestre ayant un débit important de cours d’eau. Entre quatre saisons très contrastées marquant son climat, ce pays connaît un printemps doux et bref, un automne frais et coloré, des étés un peu chauds et souvent très humides, et des hivers très froids, longs, neigeux, et aussi très humides. En clair, c’est une région qui connaît principalement des situations climatiques enclines à l’humidité dans la majeure partie de l’année. Conséquemment, les constructions obéissent dans la plupart de cas aux besoins de s’en protéger et de respecter les conditions climatiques des lieux. Telles sont en général les raisons encourageant la réalisation continue des toitures dites froides dans ce cercle, pour ne s’intéresser qu’à ce cas parmi tant d’autres. Ce modèle de toits s’inscrit dans le rang de ceux-là dits plats, selon qu’ils sont réalisés dans l’horizontal ou de façon inclinée dans une pente très négligeable ne dépassant pas cinq (05) à dix (10) pour cent.
Le toit plat au Québec en effet, est confectionné avec un système d’isolation ne s’accommodant qu’aux conditions climatiques assez fraîches, comme c’est le cas dans la sphère terrestre ici désignée. Leurs modèles regroupent des versions les plus simples des toitures plates et facilement réalisables, mais néanmoins réalisés sous la houlette des professionnels du métier. Cette aisance ou facilité cheminant leur installation cautionne par ailleurs leur caractère moins coûteux et le fait qu’ils sont directement posés sur la structure du bâtiment censée les supporter. Leur adaptation aux seules conditions climatiques assez fraîches est due au fait que ses versions de toitures entraînent une condensation importante qui peut mettre à mal la structure du bâtiment support. Ce qui suppose qu’elles sont proscrites à l’évidence dans les régions exposées à de violentes chaleurs pendant une bonne partie de l’année. Or, la situation du toit plat au Québec affiche des signaux verts quant à la validation de leur réalisation dans cette partie nord-américaine.
Sinon signifions que ces versions de toits offrent des possibilités d’installation des systèmes de chauffage dans le bâtiment sans toutefois nuire à la structure support du bâtiment. Il est donc légitime qu’elles soient celles qu’on retrouve dans un bon nombre de maisons dans le terrain québécois. Il faut bien que les habitants de cette zone puissent se mettre dans le conditionnement climatique de leur région par le moyen le plus évident qui soit. L’option de s’offrir un prototype de refroidissement de toit plat au Québec étant de l’ordre de ces moyens de protection contre la fraîcheur qui est imposée par l’atmosphère, les habitants de cette région ne se font pas prier pour recourir à cette version de toiture, surtout qu’elle n’est pas fort coûteuse, et est souple dans sa réalisation. C’est donc une aubaine et un moyen légitime de protection efficace contre les climats froids et humides. Toutefois, comme signalée brièvement très haut, leur mise en exergue ne doit en aucun cas être menée par un premier venu, fût-il le propriétaire de la maison, à moins qu’il soit de ceux ayant une formation conséquente dans le domaine ?
La facilité d’installation de ce modèle ne réside pas dans l’aisance à échafauder la structure selon un ordre de calculs techniques et de positionnement stratégique, mais plutôt dans le caractère non complexe des différents matériaux à prendre en compte dans le montage. Or, seules les personnes ayant été initiées aux calculs et à la maîtrise de l’art de montage de telles structures sont les mieux indiquées dans un tel travail, lesquelles personnes sont enrôlées dans les entreprises spécialisées dans ce dossier relatif à la gestion du toit plat au Québec. Elles sont connues disposant également leurs services dans les réparations et les rénovations des structures de ce type. En voilà qui signifie l’importance d’emprunter à leurs services en vue des réalisations entourant la toiture froide chez les Québécois pour plus d’assurance.
