Nous savons aujourd’hui, grâce aux nombreuses recherches sur le sujet, que chaque cellule émet et reçoit des ondes. Il en est de même pour les cellules humaines.
Ainsi, Luc Montagnier, prix nobel 2008 de médecine et découvreur du rétrovirus du Sida, a constaté que lorsque du sang infecté était filtré de telle façon que plus aucune bactérie ni virus ne pouvait subsister dans la solution, certaines structures vivantes réapparaissaient spontanément après une vingtaine de jours. Autre découverte aussi surprenante : ces bactéries et virus qui émettent des signaux électromagnétiques dans le milieu… alors qu’ils en ont été extraits ! Ces découvertes lui font dire que « l’information génétique peut-être transmise de l’ADN à quelque chose qui est dans l’eau« . « Ceci est un pas de plus dans la science fiction. Je crois que Jacques Benveniste avait beaucoup d’idées très audacieuses. Moi, je suis un peu son tracé « a t-il conclu.
Cette découverte rendue publique en 2007, est venue, une fois de plus, nous instruire sur l’immensité de la complexité de la condition humaine et de ses mécanismes.
Cependant, cela vient confirmer certaines théories quantiques, auxquelles j’hadère, qui déclare que nos cellules sont porteuses de mémoires en lien avec nos lignées ancestrales, nos expériences foetales, l’inconscient collectif… Ces mémoires sont logées dans notre ADN et se réactivent au fur et à mesure de notre vie, en fonction des situations que nous vivons et des résonances qu’elles engendrent.
Fabuleux n’est-ce pas !
L’ADN que nous connaissons tous et qui rend chaque individu unique, par des critères singuliers et détectables par prélèvement, représente en fait 3% de la totalité de l’ADN humain… Les chercheurs ont d’ailleurs appelé les 97% restants « l’adn poubelle » dans un premier temps ! Au vue de l’importance de la « zone poubelle »… certains se sont intérrogés et en sont arrivés à déterminer que cette portion de notre ADN est la partie qui contient l’ensemble des mémoires de l’humanité…! Rien que ça !
Cet éclairage n’est pas des moindres. Nous y sommes. C’est la clé. Car ne nous a t-on pas répété que chacun d’entre nous appartient au grand TOUT ? Que tout est en nous ? Effectivement, vu sous cet angle, notre Adn et ses mémoires collectives est la pour nous rappeler cela.
Mais plus encore. Il contient l’ensemble de nos mémoires ancestrales, prénatales et même karmiques. Au-delà de notre singularité, nous sommes le témoignage vivant de l’humanité, au coeur de nos cellules, au coeur de notre Adn.
L’ensemble de ces mémoires se réactive au fil de notre vie et des situations que nous rencontrons. Ainsi, notre amour pour les voyages en mer, peut venir d’un lointain ancêtre marin. Cependant, lorsque ces mémoires négatives s’activent, si par exemple, ce même ancêtre est décédé à 45 ans lors d’un de ses voyages, nous pouvons développer, à partir de cet âge, une phobie de l’eau, des bateaux… Cette mémoire va alors se réactiver à travers nos gènes comme en hommage à cet ancêtre. Quel hommage me direz-vous ! Oui certains portent de sacrés fardeaux mais ce n’est pas une fatalité. Ces mémoires, qui apparaissent souvent comme une leçon d’âme, ont comme raison d’être, pour peu que nous soyons un minimum croyant, de nous inviter à entreprendre un parcours initiatique, tel un alchimiste, afin de transformer nos vieilles blessures (ou celles de nos ancêtres qui vivent à travers nous), en joie de vivre.
Plusieurs méthodes existent pour entreprendre un travail en libération des mémoires cellulaires. Toutes nous invitent à accéder à une nouvelle compréhension de nous-même, à évoluer sur notre chemin.
Certains ne ressentiront pas le besoin de réaliser un tel travail. D’autres y seront fortement appelés… et seront souvent « guidés » vers la méthode qui leur correspond le mieux.
Dans tous les cas le voyage sera merveilleux, sacré. Une rencontre avec l’humanité, au travers de nos cellules…
Fanie – Créatrice de la méthode LMC©