L’une des activités ludique, qui depuis plusieurs années à acquis ses lettres de noblesse, c’est bien le maquettisme plastique.
Autrefois, un loisir que l’on pratiquait à l’abri dans son petit coin. Venant même à acheter sa maquette en prenant soin de passer inaperçu parmi les gens.
Avec bonheur, aujourd’hui, toute cette forme de dérision c’est envolée. Les salons, les médias et les précurseurs du maquettisme ont soulevé le voile. Reste toujours les inconditionnels de l’individualisme, qui ne connaissent pas le plaisir et l’enrichissement de partager cette activité. Tout aussi bien dans un domaine du maquettisme autre que le sien. Nous en apprenons tous les jours, même après plus de nombreuses années de pratique et de participation aux diverses manifestations.
Mais vers quel choix s’orienter ? Tout dépend de votre centre d’intérêt. Bon nombre de maquettiste pratique une certaine discipline sans pour autant le pratiquer dans le réel. Un maquettiste dans le domaine des véhicules blindés, n’est pas systématique un militaire et vice-versa.
Avant de vous lancer dans le maquettisme plastique, l’une des premières opérations consistera d’orienter son choix : l’aviation (militaire ou civile), les véhicules militaires, l’auto, le camion, la moto ou la figurine…
Le militaire et l’aviation sont déjà très largement majoritaires dans le monde du maquettisme plastique. La figurine étant un domaine particulier, qui n’entre pas systématiquement dans le domaine de la maquette plastique.
En effet certaine production étant moulée en métal et sans assemblage. Sans pour autant dédaigner cette forme de miniature.
Quant au monde de l’automobile, camion et moto, il n’as pas le même engouement. La maquette plastique automobile existe depuis plusieurs dizaines d’années. La moto est venue un peu plus tard, mais celle-ci et en perte de vitesse. Quant au camion, c’est une discipline relativement récente.
Malheureusement dans la majorité des cas, la maquette offerte à Noël – une grosse pièce de préférence – fini en haut d’un placard à peine assemblée. Puis au bout de quelques années dans la poubelle, à cause d’un manque de savoir faire.
