L’arthrose cervicale (douleur cou et omoplate)

On m’a diagnostiqué avoir de l’arthrose cervicale, on m’a dit que c’était psychologique, on m’a comparé à d’autre qui était handicapé, mais personne à su si on pouvait me faire du bien. J’ai consulté une psychologue pour gérer mes émotions, on m’a prescrit du repos. J’ai consulté un ostéopathe, pour ensuite aller en acupuncture. On a même pensé à un problème d’occlusion de ma machoire. J’ai alors fait observer ma machoire par un spécialiste pour me proposer si j’avais le choix entre enlever mon mal de cou et dos ou ma migraine quel choix j’opterais. J’ai dit je viens pour un problème de dos, les migraines je suis né avec alors je vie bien avec. On m’a donc dit que le résultat n’était pas garanti alors on m’a proposé un posturologue de bonne réputation ça tombais bien j’avais mal au pied depuis longtemps et les orthèses que j’ai fait faire n’avait rien changé. Une rencontre avec le posturologue me permettait enfin de croire que je pourrais m’en sortir. Selon cet homme on allait en venir à bout. Son équipe multidisciplinaire m’a fait vivre de belle expérience. 2 soins par semaine, 1 soin de somatothérapie et un soin d’auriculothérapie. Incroyable comme médecine. J’ai adoré. Après 3 mois et pas encore mes semelles orthopédique suite à une blessure à la main du concepteur, on a cru bon me dire que sans les orthèses le résultat ne sera jamais concluant. Bon à savoir quand ta plus une cenne et que tu souffre autant qu’au début. Lors des rencontre, on m’a parlé du manque de professionnelle dans ce domaine et j’avoue que ma formation en activité physique me servait pas beaucoup et je voulais trouver une façon d’utilisé toute ces connaissances de formation pour vivre de ce métier en tant que professionnelle de la santé. J’ai cherché des écoles de massothérapie pour savoir si je pouvais continuer à travailler en même temps que faire un cours dans le domaine. Je suis allé au centre Lattitude de Québec pour une séance d’information que j’ai adoré. Je me suis donc permis de vivre une séance de massage. J’ai bien aimé mais on ne m’a pas vendu un service selon mes besoins. Je recherchais du shiatsu ou tout autre soin pointu pour écraser ma douleur, mais ça ne semblait pas exister à ce moment là. Une fois cette expérience vécu je me suis dit si je n’ai pas reçu le service que je recherchait, il doit avoir beaucoup de gens dans la même situation que moi, j’ai pris la décision de faire ma formation 1 an plus tard. L’école qui m’a permis de me rassurer en me confirmant la possibilité de faire les cours avec un horaire facile pour continuer mon travail de seveur à été MKO à Québec. Je suis surpris aujourd’hui de tous les bienfaits de la massothérapie et j’ai eu une grande amélioration de mes douleurs grace au massage. Par contre, j’aimerais connaître un massothérapeute comme moi je le consulterais toutes les semaines. Le côté positif de cette situation me permet de me hisser auprès d’un secteur qui est généralement réservé à une catégorie de gens qui forme L’Élite de notre société et ce grâce à mes douleurs j’ai le privilège de faire du bien là ou j’en ai pas eu par manque de compréhension et de connaissance. Le vécu ne pourra jamais être surpassé par la simple connaissance théorique. Quand je pense que j’ai même pris de l’effexor (antidépresseur) pour diminuer les douleurs musculaires, une ostéopathe avait eu de bon résultat avec ce médicament pour des douleurs similaire. Moi aussi je crois avoir eu de bon effet mais pas au bon endroit. Je me sens la tête comme jamais je me la suis senti auparavant et en plus ça m’a permis pour la première fois de ma vie à ne pas stresser d’avoir des dettes. Et j’ai pris 40 livres en 1 an. Moi qui s’entraîne depuis toujours et qui avait de la difficulté à prendre 5 livres. J’ai arrêté tout cela et j’ai recommencé à consulté cette fois-ci en ortothérapie et un guérisseur à Drummondville massothérapeute et incroyablement bon. Il m’a fait énormément de bien. Je consulte un ortothérapeute maintenant à Ste-Marie. Il m’a conseillé l’acupuncture, j’ai suivi son conseil. Depuis 6 mois je me sens mieux que toutes les 7 dernières années dont j’ai souffert à me faire dire que j’avais rien ou que c’étais de l’arthrose cervicale irréversible. FOUTAISE, il y a toujours une solution c’est juste que dans l’inconnu la compétence se mesure en disant je ne sais pas quoi faire et non à dire c’est irréversible. Il n’a jamais une seul solution ce n’est pas possible le corps et un tout physique, émotionnelle et biologique. Il faut combiner le savoir, la compréhension et la logique pour atteindre un résultat. On a besoin de conseil pas d’incertitude. Je suis de ceux qui informe et dirige au meilleur de ma connaissance et je suis convaincu le le bien-être et un état accessible en tout temps. Il suffit de prendre du temps pour nous, de nous à nous.