Les « ennemis » de l’érection

Stress

Dépression

Hypertension

Diabète…

les causes des dysfonctionnements érectiles sont multiples.

Si l’alcool désinhibe et redonne confiance aux timides, consommé à l’excès il peut surtout vous donner envie… de dormir plutôt que d’honorer votre partenaire.
Plus sérieusement beaucoup de causes peuvent freiner et affaiblir la libido :

– Un traumatisme crânien
– La nuisance sonore
– Certains médicaments (anxiolytiques, somnifère, anti-hypertenseur) ; en discuter avec votre médecin.
– La chute du taux de testostérone dûe à certaines infections, insuffisances testiculaires ou suite à une abstinence prolongée.
– Les pesticides : laver toujours à l’eau vos fruits et légumes frais.
– La réglisse : à des doses de consommation courante, entraîne une baisse de la libido chez les hommes. L’explication avancée par les auteurs mettrait en cause le principe actif de la réglisse (l’acide glycirizique) qui diminuerait la synthèse de testostérone par le biais de
réaction chimique.
– L’alcool
– Le cycle des saisons : le printemps éveille les sens alors que l’automne freine les ardeurs !
– Les champs magnétiques


Autres moyens pour remonter la libido

La lumière

Le repos
Un voyage
Un parfum stimulant

Le sport

Le sport en chambre, discipline olympique ?!

Comme un sportif de haut niveau à l’hygiène de vie « normalement » exemplaire, les performances sportives, comme celles au-dessous de la ceinture, c’est 20% de technique tout au plus mais assurément 80% de mental ! Pensez au yoga, au stretching et toutes les activités nécessitant un contrôle de soi accru (danse gymnastique, art martial etc…)

Les amis de l’érection

« un esprit sain dans un corps sain »

Si l’on connaît assez bien les coupables, il est plus difficile de savoir comment préserver sa vitalité sexuelle. Le sport, c’est la santé (sexuelle) ! Sédentarité, tabac et obésité font mauvais ménage avec l’entretien de votre capital santé. En revanche, la pratique régulière d’une activité physique ou d’un sport semble protéger d’éventuels troubles de l’érection à l’âge mûr. Il n’est jamais trop tard pour bien faire ! Le sport entretient la virilité. Sédentarité, tabac et obésité font mauvais ménage avec les performances sexuelles masculines. Mais attention, ne faites pas n’importe quel sport ! Passé quarante ans, les
hommes qui pratiquent régulièrement une activité physique ou un sport ont moins de chance d’être victimes de troubles de l’érection. Tels sont les résultats d’une récente étude américaine réalisée sur 1 709 hommes âgés de 40 à 70 ans entre 1987 et 1989, confirmés entre 1995 et 1997 sur 1 156 hommes. Pour préserver une érection satisfaisante, ces chercheurs ont constaté qu’il faut s’adonner en moyenne à trente minutes de sport par jour.

Poignées d’amour et tabac, deux ennemis de l’érection Si le sport rend viril, il contribue aussi grandement à garder la ligne. Et en matière d’érection, mieux vaut rester mince que s’empâter. En effet, une autre étude réalisée par une équipe de Harvard aux Etats-Unis auprès de 1 981 hommes de 51 à 88 ans dont 30 % souffraient d’une dysfonction érectile a montré que les hommes dont le tour de taille dépasse 1,07 m (taille 50) ont deux fois plus de risque d’avoir des troubles de l’érection que ceux dont il est de 81 cm (taille 40-42) seulement. Par ailleurs, l’effet néfaste du tabac a été également démontré chez les hommes
souffrant de problèmes érectiles. Hygiène de vie, sport et régime diététique sont donc les meilleurs alliés de votre pénis.

Mais attention au vélo mal adapté ! Si le sport peut vous aider à rrêter de fumer, à préserver votre tour de taille et à garder une érection digne de votre jeunesse, la pratique du cyclisme sur un vélo qui n’est pas adapté à votre morphologie peut avoir des conséquences sur vos capacités sexuelles. Les traumatismes subis pendant l’enfance sur certains vélos (vélo trop grand, selle trop dure, cuissard non rembourré) peuvent en effet perturber l’avenir sexuel des hommes. Trois études américaines réalisées chez des cyclistes semblent démontrer que certaines impuissances pourraient s’expliquer par un accident de vélo survenu pendant l’enfance. Selle étroite et relevée, barre supérieure et vélos trop hauts seraient aussi responsables d’accidents du périnée qui ont entraîné des troubles de l’érection ou une impuissance à l’âge adulte. Voici donc une bonne raison d’acheter des vélos adaptés à la taille de vos enfants, de préférence sans barre et selle à bec. Le sport entretient la virilité et peut dans certain cas doper la sexualité. Mais passé la quarantaine, la pratique du vélo n’est pas non plus sans risques, car la position assise sur la selle pendant de longues heures peut réduire la vascularisation et l’innervation de l’appareil génital. Ces traumatismes sont connus aussi bien chez l’homme que chez la femme et sont à l’origine de difficultés érectiles et/ou orgasmiques. Pour vos randonnées cyclistes soyez attentif à la qualité de votre matériel ou préférez la position de la « danseuse » !

Les aliments choisissent le sexe

Des études sur la sélection préconceptionelle du sexe ont amené des scientifiques à changer les modes alimentaires de certaine espèce animale peu après avoir été fécondée, ceci afin d’influer sur la nature du sexe, aurait aboutit à des résultats plus que probants chez les bovins et batraciens.Rapporté chez l’homme, une étude médicale des années 70 montra qu’une majorité des mères qui avaient donné naissance à un fils pratiquaient une alimentation pauvre en calcium riche en potassium et fortement salée et à l’inverse l’alimentation d’une mère qui avait donné naissance à une fille était composé de plats peu salés riches en calcium et magnésium et pauvre en potassium!
On a longtemps pensé que ses résultats avaient pour conséquence la modification d’un environnement ionique des spermatozoïdes dans l’appareil génital de la femme, mais rien n’est encore confirmé.
Certains établissements hospitaliers sérieux adoptèrent ce concept alimentaire avec des résultats correct mais discutable sur le plan de la santé chez la femme et peut être chez le futur nouveau-né.
Il est donc conseillé aux femmes de ne pas suivre trop longtemps ce type de régime. Dés que la grossesse est déclarée la future mère doit retrouver une alimentation équilibrée. De telles pratiques doivent rester la propriété de décision médicale compte tenu des contre-indication telles que problème de tension artérielle et d’insuffisance rénale qui peuvent subvenir suite à ses excès.


Sport et sexualité font-ils bon ménage?

Nous allons déterminer dans quelles limites on peut le définir, car en la matière les préjugés ont la vie dure ! Réalisons d’abord qu’une absence totale d’activité physique, éventuellement couplée à une alimentation trop riche en glucides et lipides, favorise l’augmentation du tissu adipeux.
Celui-ci devient alors un « piège » à hormones et va limiter le bon éveil sexuel (libido).
Cependant à l’inverse un athlète qui a abusivement limité les graisses animales et se retrouve trop bas en taux de graisse corporelle voit ses sécrétions hormonales diminuer, ce qui va également affecter sa libido. Le cholestérol a donc un rôle essentiel dans la synthèse des hormones sexuelles masculines et féminines car il en constitue le noyau chimique central.

Le sport rend cependant plus attractif par le façonnage musculaire et l’élégante souplesse qui se dégage d’un corps entraîné ; mais à l’extrême l’excès d’entraînement peut avoir un mauvais effet sur la libido et la performance sexuelle par l’érosion hormonale excessive
qu’il va alors provoquer.

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