La solution à la dépendance affective ? Un bon coach !
La dépendance affective est un grand vide qui s’est crée dans l’enfance et qui ne cesse d’augmenter au fur et à mesure que vous essayez de le remplir et que vous vieillissez. Parce que vous ne le remplissez pas de la bonne façon : alcool, drogue, nourriture, jeu, sexe, travail, site internet de rencontres, facebook, les enfants, l’argent, la médication, etc. et une autre personne sont autant de pièges dans lesquels vous tomberez. Mais d’où vient ce vide ? Il prend racine dès la conception, lorsque vos parents se trouvent dans l’incapacité de vous donner Reconnaissance-Affection-Protection. Ces trois éléments forgent la confiance, l’estime et le leadership, puisqu’au travers de la Reconnaissance, votre famille vous envoie le message que vous existez, vous êtes un membre du clan, au travers de l’Affection que vous êtes aimable et estimable et au travers de la Protection, prenant soin de vous, ils vous indiquent que vous êtes précieux pour eux. Vous grandissez donc convaincu que vous existez par vous-même sans avoir à le valider auprès des autres, qu’on peut vous aimer puisque vos parents l’ont fait donc vous vous aimez aussi et vous prenez soin de vous : de votre mental et votre corps. Puis ils vous enseignent à être des leaders, des chefs de clan à votre tour : futur père ou future mère.
Les parents se sont souvent retrouvés en vide eux-mêmes, bien incapables de transmettre et donner ce qu’ils n’ont pas reçu de leurs propres père et mère. Vous partez donc handicapés, la confiance et l’estime en berne, prêt à vous jeter sur la première personne qui passe pour combler votre vide ou/et vous tombez dans l’une des compulsions citées plus haut. La dépendance affective, c’est le manque d’estime et de confiance qui sont la clef de toute vie réussie, professionnelle comme privée ou sociale. Le bonheur frappe ceux qui y croient parce qu’ils l’ont côtoyé, pas ceux qu’on a élevés dans le négatif, l’anxiété, le rejet, l’abandon ou les humiliations. Vos relations avec les parents ont été souffrantes, vos ex avaient les mêmes travers que votre conjoint actuel, votre couple est un éternel bras de fer dont vous êtes l’unique perdant, vous sentez que votre vie vous échappe et que la peine devient de plus en plus étouffante ? Réagissez !
Vous n’êtes pas responsable de vos mauvaises programmations : celles que les adultes qui vous ont mal encadré et les événements malheureux qui vous sont arrivés vous ont infligé. Vous êtes donc parti dans la vie avec une mauvaise perception de vous-même (je ne vaux rien ou pas grand-chose) et une mauvaise perception des relations affectives (on vous a rejeté enfant, vous serez donc rejeté adulte), qui vous fait croire qu’aimer c’est souffrir : faux ! Aimer, c’est être heureux ! En revanche, vous êtes responsable de ne pas déprogrammer ce passé douloureux, parce que ça se déprogramme ! C’est là que le coach entre en lice. Un coach est un entraîneur qui vous entraîne au bonheur, déprogrammant vos mauvaises programmations, vous enseignant de nouveaux comportements et de nouvelles stratégies optimisant vos habiletés et votre joie de vivre. Mon métier est d’enseigner une philosophie de vie qui me réussit, pour construire la vôtre. Nous développerons ensemble votre confiance et votre estime en séparant l’expérience des émotions négatives : comme quand on sépare le jaune et le blanc dans un œuf. Vous renaîtrez à 20 ans, 30 ans, 40 et 50 ans ou plus, avec la bonne stratégie de vie reposant sur autant d’années d’expérience qui valent de l’or. Ce qui ne vous a pas tué, vous a rendu plus fort !
Le bonheur existe et, quel que soit votre passé et vos souffrances, vous pouvez y accéder en choisissant un bon guide : un coach qui vous aura démontré qu’il est sorti gagnant des tempêtes qu’il a traversé et qu’il est capable de vous guider vers vos propres rivages de sérénité. Et si vous souhaitez savoir d’où je (re)viens, je vous propose de lire « Le syndrome de Tarzan » (Béliveau éditeur) pour comprendre que quoi que vous ayez fait, jamais je ne vous jugerai : j’ai fait bien pire que vous !