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JEÛNER : JUSTE UNE MODE OU UN BON MOYEN DE PRENDRE SOIN DE VOTRE SANTÉ ?

JEÛNER : JUSTE UNE MODE OU UN BON MOYEN DE PRENDRE SOIN DE VOTRE SANTÉ ?

Comme vous le savez, je prends grand soin de ma santé tant physique que mentale. Ce ne sont pas toujours les cordonniers les plus mal chaussés. Personnellement, j’applique ce que j’enseigne au quotidien et l’un des principes est de vous traiter comme un sportif de haut niveau. Bien sûr, il y a plusieurs niveaux : vous n’êtes pas obligé de vous entraîner pour un marathon ou la compétition « Ironman ». Nous n’avons pas tous la même passion pour le sport. Marcher au lieu de prendre l’ascenseur ou la voiture est un bon exercice, danser, faire le ménage en grand, aller travailler en vélo sont autant de façons de bouger et il en existe bien d’autres. Personnellement, j’aime le sport et il fait partie de mon équilibre : le jogging en forêt est ma tasse de thé. Rester actif est donc essentiel et il est également important de vous occuper de votre corps : c’est une machine qui demande de l’entretien, tant à l’extérieur qu’à l’intérieur. Et comme toute machine, il a besoin de carburant qu’il doit traiter à longueur d’année. Quel que soit votre âge, vous n’avez peut-être jamais donné un temps de repos à votre organisme au niveau de l’appareil digestif : il a fonctionné chaque jour de votre vie. Que diriez-vous d’envisager une pause réparatrice qui permettrait à votre corps de faire un « reset » de l’intérieur, à travers des réparations et des rénovations ? Le jeûne est tout indiqué.

Voici les informations que j’ai récoltées pendant mes recherches sur le web et qui m’ont paru suffisamment pertinentes pour que j’entame un jeûne hydrique (eau uniquement, mais vous pouvez également prendre des tisanes ou autres liquides) de sept jours et ce depuis 2015. Entre autres, les renseignements recueillis proviennent du site de PranaHvital. C’est à vous de sentir si c’est une expérience à tenter dans votre cas, avec avis médical si vous n’êtes pas en bonne santé. Il faut également respecter des consignes afin d’optimiser cette expérience. Je vous raconterai, à la fin de cette chronique, comment j’ai vécu la première expérience de sept jours de jeûne.

Qu’est-ce que le jeûne ? C’est une méthode de désintoxication naturelle devenue traditionnelle,  procurant une perte de poids, favorisant un décrassage général, l’élimination des déchets venus de notre environnement polluant (alimentation, consommation de stimulants, pesticides, engrais, médicaments…), permettant ainsi un renouveau physiologique, psychologique et vital (énergie vitale). Mais s’il y a perte de poids, il ne doit cependant pas être utilisé dans le cadre d’un régime : ce n’est pas du tout la philosophie du jeûne.

Le jeûne a toujours fait partie intégrante des grandes médecines traditionnelles comme méthode préventive (hygiénique) ou curative (thérapeutique). Jeûner est un processus opératoire naturel : l’animal malade jeûne spontanément, se met au repos et parfois même se purge ! L’enfant, non encore soumis à nos rituels de « surbouffe », jeûne dès qu’il est fiévreux ou mal portant : c’est un réflexe naturel. Ainsi, vous mettez sur « pause » le processus épuisant de la digestion pour laisser la possibilité au corps de réparer ses fonctions ou/et organes défectueux. Si l’on admet qu’une majorité de nos maladies sont dues directement ou indirectement aux produits toxiques provenant des fermentations et des putrescences gastro-intestinales causées par des excès alimentaires ou, plus fréquemment encore, par une alimentation irrationnelle non adaptée à notre tempérament (morphophysiologique) et à nos capacités digestives, alors le jeûne est la méthode souveraine pour recouvrer la santé.

Physiologie du jeûne – La physiologie du jeûne est aujourd’hui bien connue et confirme en tous points le bon sens populaire ou la sagesse des anciens. En mettant le corps au repos, le jeûne annule les efforts digestifs, mécaniques, sécrétoires et nerveux. L’organisme économise ainsi une quantité insoupçonnable d’énergie et peut alors la consacrer à ses fonctions de purification, d’élimination, de filtrage et de réparation. Nous entrons dans les processus de guérison, intuitive et naturelle, moyens d’épanouissement et d’harmonie. Le jeûne est une véritable autolyse : faute d’apport de nutriments d’origine étrangère (alimentation) « l’intelligence du corps » par l’autolyse va détruire les tissus de mauvaise qualité pour en retirer les substances permettant aux organes de fonctionner normalement. Déchets et surcharges sont donc éliminés et recyclés, en commençant par ceux disponibles physiologiquement (sucres), puis en puisant dans les réserves (graisses) et continuant par les kystes, lipomes, dépôts de cholestérol et autres surcharges pathologiques profondément emmagasinés. Nos émonctoires (foie, intestins, reins, poumons, peau), libérés de l’épuisement imposé par nos digestions interminables, se régénèrent et ainsi donc drainent, filtrent, nettoient, transforment et éliminent. En bref, l’organisme n’ayant plus à assimiler peut se consacrer uniquement à ses fonctions d’élimination et de régénération.

À la lumière des connaissances empiriques vieilles comme le monde, des recherches, travaux et thèses de doctorat en médecine, nous pouvons affirmer que :

– Le jeûne, vécu dans de bonnes conditions climatiques et psychologiques (c’est également une quête spirituelle), d’une durée établie en fonction de l’énergie vitale du sujet (3 à 20 jours !), n’affecte aucunement la santé. Bien au contraire !

– Le jeûne hydrique (avec consommation d’eau et de tisanes) n’est pas éprouvant sur le plan biologique et émonctoriel comme le serait un jeûne sec.

– La formule sanguine ne montre pas de signe pathologique en fin de jeûne.

– L’hypothermie est constante chez les jeûneurs (baisse des dépenses et ralentissement thyroïdien).

– Les pertes de poids varient considérablement d’un sujet à un autre.

– L’analyse des sécrétions ou excrétions (selles, urines, sueur, crachats) témoigne de l’intense activité émonctorielle engagée.

– Les capacités intellectuelles sont aiguisées.

– L’immunité est renforcée.

– Une perte d’appétit est systématiquement éprouvée entre le 2e et le 3e jour de jeûne.

– Une amélioration des fonctions sensorielles est régulièrement rapportée : ouïe plus fine, odorat plus sensible, vision plus subtile.

– La quasi-totalité des vitamines, minéraux et oligo-éléments est préservée.

– Le retour à la « vraie faim » correspond à un épuisement des réserves énergétiques du jeûneur et donc à la rupture du jeûne. Les grands épuisements et asthénies ne se rencontrent que chez le jeûneur forcé (privation, torture) ou stressé (grève de la faim). Dans de bonnes conditions, le jeûneur conserve des activités douces et normales.

Si vous avez tenu trois jours, c’est déjà fantastique ! Et si vous en sentez la possibilité, allez jusqu’à sept, comme je le fais : c’est une grande fierté aussi. Mais attention de ne pas perdre trop de poids, sinon, l’organisme ira chercher le carburant dans vos muscles. Personnellement, je m’arrange pour prendre du poids avant le jeûne.

Dangers du jeûne :

Les véritables dangers du jeûne sont essentiellement liés à des expériences isolées, mal documentées et non accompagnées par des praticiens expérimentés, à une énergie vitale trop faible pour assurer une autolyse bienfaitrice, à de mauvaises conditions climatiques (trop froid ou trop chaud), psychologiques (grève de la faim, profils phobiques ou névrotiques alimentaires, conflits avec les proches, etc.), ou à un fanatisme rencontré dans certains milieux «rétractés» dans lesquels l’individu confond les mécanismes d’expression centrifuge du jeûne (crise curative) avec les symptômes pathologiques d’épuisement ou de lésion organique. Il est important de savoir discerner la phase positive du jeûne où les forces vitales travaillent de concert pour purifier et régénérer l’organisme (le potentiel énergétique va croissant) et la phase négative du jeûne où les forces diminuent et ne peuvent plus assumer ce travail (le potentiel énergétique va décroissant). Alors doit intervenir la reprise alimentaire progressive. Poursuivre un jeûne dans ces conditions serait s’abandonner à une autolyse néfaste, dangereuse et stupide.

Contre-indications « absolues » du jeûne :

– Diabète maigre

– Grossesse (jeûne de plus de 24h)

– Malade épuisé, dévitalisé, sous-vital

– Peur du jeûne

– Malade sous médication chimique lourde (l’autolyse provoque un relargage massif des molécules chimiques amassées dans les tissus : iatrogénicité incontrôlable !)

– Myopathies

– Néphropathies

– Cancers et toutes maladies lourdes si le potentiel énergétique est insuffisant pour enclencher l’autolyse (pas de guérison possible sans un minimum de force vitale).

Contre-indications « relatives » du jeûne :

– Hypotension artérielle non chronique

– Maigreur installée (bien que des jeûnes courts puissent stimuler des reprises de poids)

– Névroses dépressives, anxieuses, boulimie, anorexie

– Travailleurs de force

– Cirrhose évolutive

– Tuberculose évolutive

– Crises curatives

J’imagine que ce qui vous effraie le plus dans cette expérience, c’est lutter contre la faim. Souvenez-vous de ceci : ce n’est pas votre corps qui a faim, c’est votre tête. Le corps peut rester 40 jours sans manger et plus, mais passé 40 jours votre vie serait en danger. C’est vous qui avez besoin de vous récompenser ou de vous réconforter avec la nourriture (à méditer !). Rassurez-vous, nous sommes des machines incroyables. La graisse stockée dans notre corps (le tissu adipeux) contient beaucoup d’énergie. En l’absence de glucides (vous ne vous alimentez plus), le corps puise directement dans les graisses, pour les transformer en corps cétoniques qui serviront d’énergie. Et la beauté des corps cétoniques, c’est qu’ils coupent la faim. Au bout de deux jours ou trois, parfois moins, votre tête/corps ne réclament plus vos repas habituels et la sensation de faim n’existe plus.

Mon expérience

Bien préparée, ayant diminué la quantité absorbée par repas ainsi que supprimé certains aliments (il faut vous renseigner pour connaître le processus, je ne vais pas tout vous « mâcher » !) un peu avant les sept jours de jeûne hydrique, prête psychologiquement et spirituellement, ayant également éliminé la peur d’avoir faim en la remplaçant par la curiosité de voir ce qui va se passer, je n’ai jamais ressenti le besoin de manger. Il faut dire que je m’y connais en préparation mentale et que j’ai un profil physique particulier. De plus, je ne suis pas fan de sucre et je ne quitte jamais la table le ventre plein (je sais m’arrêter avant) : ça aide ! Par ailleurs, ma démarche est également spirituelle : jeûner signifie ne plus dépendre de rien ni de personne (je reste seule pendant les sept jours, je ne parle à personne, mes proches sont au courant et respectent ce silence), en dehors de l’oxygène et de l’eau. Je suis un électron libre, en apesanteur. De plus, je ne me sens jamais fatiguée, sauf quand je me promène en forêt (2 fois par jour) et que je dois grimper une côte : le manque de carburant se fait sentir, donc j’aborde les chemins ascendants lentement. En dehors de ces efforts physiques (un effort accélère le rythme cardiaque), je n’ai jamais d’étourdissement ou de sensation d’épuisement et d’apathie, je vis au même rythme que d’habitude, en évitant les efforts physiques. Je me repose, lis, regarde des films, prenant également le soleil sur ma terrasse (je jeûne au début de l’été uniquement pour ne pas avoir froid). Aucun rendez-vous avec la cuisine, le frigo, la nourriture : la journée est totalement libre, sans penser aux repas ni à l’heure qu’il est, juste boire de l’eau et profiter de ce repos complet, de mes promenades et de l’instant présent. C’est également l’occasion de me recentrer sur moi, ma vie, mon avenir. Le troisième jour, je ressens une sorte d’euphorie reposant sur ma grande fierté de prendre soin de moi et de vivre ces sept jours dans la plus grande détente : je ressens une immense joie d’être simplement en vie et en bonne santé, sentant mon corps travailler à rénover les outrages que j’ai pu lui faire subir pendant toute l’année. Ce sont de vraies vacances, pour mon corps et moi !

Je dois également préciser que je suis habituée à pratiquer le jeûne intermittent : depuis le repas du soir jusqu’au lendemain à 12h, je ne mange pas et saute parfois même le repas de midi et ne m’alimente que le lendemain soir. Vous  pouvez aussi jeûne pendant une seule journée, c’est déjà une bonne chose. Après un week-end d’agapes, je jeûne le lundi suivant pour reposer mon organisme. Considérez que vous êtes constitué de 75 millions de millions de cellules toutes plus loyales les unes que les autres et qui veillent au bon fonctionnement de vos organes, autant d’employées fidèles que vous feriez bien de chouchouter en leur donnant du repos : avouez que votre organisme mérite, lui aussi, des vacances bien méritées.

Si l’aventure vous tente, prenez soin de le faire dans les meilleures conditions et pour les bonnes raisons. Si c’est pour une expérience de trois jours, c’est réalisable par vous-même (encore une fois, avec avis médical si vous n’êtes pas en bonne santé), mais si vous souhaitez tenter l’expérience de trois semaines, il faut absolument le faire avec un encadrement professionnel. Personnellement, j’ai décidé de faire un jeûne hydrique de sept jours, une fois par année (toujours pendant l’été) et un jeûne intermittent pendant toute l’année (du repas du soir au lendemain midi ou encore 24h), notre corps a besoin d’une pause syndicale, lui aussi !

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